Surtout que la vraie citation du début c'est:
"Il ne peut en rester qu'un."(Waco, sale agent de l'internationale chevaline

)
Le Grand Wario
13 2 2008 - 10:52
'Tain, un modo qui insulte...Cheval dire à Peav'.
Pardon, je n'ai qu'idées de jeux de mots laids, ces temps-ci 
De toutes façons, regardez ici et là, je ne suis qu'un petit amateur, dans le genre...
John Keats
13 2 2008 - 12:08
bizarre dans mes études on m'a toujours répété que le cheval était une introduction des espagnols.. à tel point que les premiers locaux confrontés à cela en furent traumatisés.
King Kunu
13 2 2008 - 14:35
CITATION(Le Grand Wario @ 13 2 2008 - 10:52)

'Tain, un modo qui insulte...Cheval dire à Peav'.
Pardon, je n'ai qu'idées de jeux de mots laids, ces temps-ci 
De toutes façons, regardez ici et là, je ne suis qu'un petit amateur, dans le genre...Boby est enntechebeul.
ainsi que Devos.
lekaneee
13 2 2008 - 15:55
CITATION(LMD @ 14 1 2007 - 23:57)

CITATION(Cfury @ 14 1 2007 - 23:46)

J'ai hâte que Gibson s'attele à un film sur l'esclavage des Noirs!
Je crois que la vision de Von Trier devrait te satisfaire (le film est passé complétement inaperçu alors que c'était la suite de Dogville), c'est une telle bouillie qu'a la sortie de la projo certains le considérait comme ouvertement raciste.

Vous êtes tous a l’ouest ou quoi ? le générique de fin n’est peut être pas assez explicite ?
C’est un appelle a la rébellion des noirs ce film.
CITATION(lekaneee @ 13 2 2008 - 15:55)

CITATION(LMD @ 14 1 2007 - 23:57)

CITATION(Cfury @ 14 1 2007 - 23:46)

J'ai hâte que Gibson s'attele à un film sur l'esclavage des Noirs!
Je crois que la vision de Von Trier devrait te satisfaire (le film est passé complétement inaperçu alors que c'était la suite de Dogville), c'est une telle bouillie qu'a la sortie de la projo certains le considérait comme ouvertement raciste.

Vous êtes tous a l’ouest ou quoi ? le générique de fin n’est peut être pas assez explicite ?
C’est un appelle a la rébellion des noirs ce film.
certains le considéraitQuand au générique de fin, tout explicite ("provocateur" je dirais, mais bref) qu'il soit, ca n'empeche pas le film d'être une sacré bouillie fort maladroite.
Genre: "Ah finalement on était bien mieux esclaves" (cf perso de Glover). Le seul propos assez clair que j'en ai sorti, c'est comment il brocarde les blancs plein de bonnes intentions qui n'y comprennent rien. Sinon je suis vachement perplexe sur le reste, à force de vouloir être ambigu on raconte un peu n'importe quoi.(Mais ravi que tu ressortes mon message d'il y a un an!)
Beware spoil.
Des fois on est plus con que nature, belle preuve de lucidité dirons certain, mais j'avoue que là... Enfin bon entre le goût évident de Mel pour la torture dans les films où il est le héros et son catholicisme pathologique, j'avais pas des masses envie d'aller me précipiter au ciné voir une énième boucherie façon Mel, surtout après avoir assisté en extrait à la scène où jesus se fait dépecer à coup de fouet devant les torrents de larmes de Monica. Non. Et j'avais grave tord. D'abord parce que hein au lieu de le voir dans mon salon et rater le début je serais sortit de la salle achevé, éclaté, et heureux, vu que la salle c'est donc plus immersif que le salon. Mais peu importe parce que hein, à la fin du film j'étais tout piteux de respect devant l'objet.
Une des plus belle scène de Christophe Colomb de Ridley Scott c'est à mon sens la découverte du village anthropophage, instant de barbarie pur qui vient répondre à une autre barbarie. Ici Mel a fait un paris fou, taper deux heures trente de cette barbarie pure et simple dont Scott ne montre qu'un court instant, cinéma viscéral dans toute l'acceptation du terme et pour autant sans un poil de complaisance. Si les caractère sont bien tranché, les bons et les méchants comme dans tous les films ricains, et si à la limite on peut le regretter on peut aussi se dire que là on est dans le domaine du cinéma survivaliste dont le message final renvoit au bout du compte dos à dos deux civilisations comme deux formes de barbaries, donc un peu plus qu'un simple film survivaliste ou même manichéen. Mais surtout ce qui m'a frappé dans ce film, en dehors de sa violence qui finalement ne m'a pas tant heurté que ça puisqu'elle s'inscrit dans une logique et pas dans la complaisance -ouh là là je connais une andouille qui va devoir réviser son petit cerveau à propos de la violence et pirate...- c'est que Mel depuis Braveheart n'a pas seulement progressé -je n'avais pas des masses aimé ce film dont la "violence" m'avait semblé pas assez ultime -oh merde l'andouille se met à réfléchir...- mais surtout a regarder très attentivement Fellini. Oui, oui, sortons le lourd, Frederico lui-même, et si tu ne me crois pas, compare 5 minutes les plans sur les aristocrates Maya se languissant et ceux de Satyricon. Et j'avoue que ça fait bizarre de voir l'outrance orgiaque de Fellini (et accessoirement de Tinto Brass dans Caligula) débarquer chez ce cinéaste d'habitude si puritain à sa façon. Pas seulement dans le casting, déjà complètement fou, mais également dans le choix des couleurs, des cadrages et de la description d'une déliquessence d'une civilisation repus de sang et de pouvoir.
Puis, au delà de ça, et déjà on serait simplement contant d'avoir enfin vu ça dans un film si américain -pas oublié que ce film n'est pas non plus sortit d'une coproduction européenne audacieuse, et que le marché US n'est pas spécialement ouvert aux bizarreries- on se mange une jolie claque pas tant dans la course poursuite, le jusqu'au boutisme de l'action (oui sa violence mais finalement c'est donc pas si terrible que ça, et puis là où Gibson aurait pu faire dans la complaisance, par exemple en s'attardant sur l'état du cadavre du gars qui se fait bouffer la tronche par la panthère il s'abstient) où la logique classique déjà employé dans Rambo du chasseur devenant chassé il y a cette magnifique conclusion qui donne tout son sens au titre du film (Apocalypse en grec Révélation avec son double sens donné par le christianisme de destruction) où finalement, comme je le disais plus haut, Gibson renvoit deux barabries dos à dos, l'une présente et l'autre à venir (car que fairons d'autre les conquistadors que mettre en esclavage, exploiter et tuer tout ce qui bouge au nom de l'intérêt du Pouvoir et du Religieux) proposant un message finalement assez surprenant venant d'un type si fervent catholique et qui consiste à dire : repartons de rien, et barrons nous dans les bois. Alors certes j'imagine bien que le journaliste de Libé y a vu là un message à caractère créationniste qui situe Patte de Jaguar et sa famille comme une forme d'être pur, sans tâche, innocent, façon l'Adam des origines et sa côte, mais personnelement l'effet que ça m'a fait, en plus doux est un peu le même que le Fuck the World de Rambo, un message presque anar qui tourne le dos aux uns et aux autres et va chercher sa vérité plutôt que de se laisser embarquer dans celle des autres. Un message de liberté. Un message d'autant plus surprenant qu'au fond, ce que laisse entendre toute la scène du sacrifice est l'abus de pouvoir du religieux, la manipulation explicite de l'autorité religieuse dominante sur un pouvoir qui offre le sang des sacrifié pour excuser l'incurie de son organisation. Et qui pour ceux qui connaisse l'histoire des conquistadors renvoie également à la religion tel quel est depuis près de 2000 ans.
Bon il y aurait encore pas mal à dire, sur le regard de la prophetesse qui semble si habitée par son rôle, sur les gueules, les couleurs, et tant de chose encore mais en une seule séance c'est un peu dur de tout capter.
Bref j'ai hâte de le revoir, déjà pour assister à l'attaque du début, et ensuite pour me repaitre à nouveau du magnifique et si fellinien passage dans la ville. Quelle note ? euh 20/6 ça sera assez ?
Très belle critique Pirate, elle m'a fait remémorer ma première vision et cette sensation que Gibson crève l'écran à de nombreuses reprises
Les deux scènes que tu cites (le passage avec la petite lépreuse prophétesse et l'arrivée du "convoi" à la ville maya) m'ont profondément interpellé; et la gamine en effet est totalement habitée par son rôle!
Je pourrais aussi parler de la scène de rencontre avec les "rescapés" par patte de jaguar et sa clique et la discussion qui s'en suit avec son père,; ainsi que l"histoire du papy à la tribu qui trouvent un écho et qui sonnent comme des avertissements...pour le spectateur !
Gibson est décidément très fort.
enfin vu, avec un peu de retard. Grosse claque, c'est couillu, méchant, efficace, un putain de survival qui prend aux tripes. C'est pas dénué de défauts (le Jaguar qui sort du Muppet Show, quelques plans franchement foirés) mais rien de bien grave. Il y a de la rage dans le cinoche de Gibson, une rage qui me gênait à l'époque de Braveheart mais que je trouve de plus en plus intéressante (faut que je remate braveheart) (on retrouve cette rage aussi dans son jeu d'acteur, dans Hamlet, par exemple).
Déjà envie de le revoir.
5/6
Manna Marie Weasley
25 2 2008 - 13:38
Tout pareil que Mister tonton
Et j'ai bien aimé.
Rien a faire des inexactitudes historiques vu j'y connais rien mais j'ai pris un pied d'enfer dans ce survival forestier
J'aurais du aller voir en salles/6
ogamiitto
12 3 2008 - 02:23
Beau
Sauvage
Epique
Intelligent
Je plussoie entierement à la critique de pirate . Le film confronte une tribu voué aux précepte de la nature ( la vie ) à une civlistion soumise à un dieu tout puissant et capricieux ( la mort ) . Je rajouterais qu'il accorde une grande importance aux liens parentaux et à la transmission orale . A ce titre , le conte raconté par le vieux lors de la veillée est tres important puisqu'il expose tout les enjeux du film .
Et c'est un aussi un grand survival eminemment immersif .
6/6
En le revoyant l'autre jour, un autre truc qui est gonflé et qui me plais particulièrement c'est la façon dont la caméra prend son temps, particulièrement dans la ville. Comment elle se ballade, et parle à l'oeil de ce monde dans lequel les sacrifiés viennent de rentrer. Ce n'est pas seulement leur regard, c'est celui d'un cinéaste qui se permet de regarder l'ensemble, s'attardant sur un détail inutile et en même temps signifiant. La scène de la vente des esclave, très courte, et ce type qui hurle de rire en crachant sa mangue, le mendiant qui en profite pour voler, cette aristocrate sur son baladaquin, le nain... etc. vraiment ettonant si l'on considère que le cinéma américain à cette sale tendance à tout souligner avec un ticket justificatif à l'adresse des spectateur, comme pour les prendre par la main et tout leur expliquer.
Découvert ce WE...et franchement j'ai été agréablement surpris, violent, sauvage, beau, une excellente découverte . J'ai trouvé la réal' excellente, le fait d'avoir choisi de tourner le film en VO et avec des gens de la région donne vraiment un ton particulier et réaliste au film. La façon dont sont filmés la jungle et la ville m'ont bluffé.
Le film n'est pas exsangue de défaut (pour moi l'histoire de la femme et de l'enfant du héros n'a pas sa place ici et ralenti le réçit, et je trouve que cela fait trop "cliché". De plus, le "méchant" est vraiment too much - je parle de celui qui surnomme le héros 'presque').
4.5/6
Rockin' bones
12 5 2008 - 19:12
Survival hallucinant.
Description de le civilisation Maya tellement belle que j'ai vu la scène d'arrivée dans la ville plusieurs fois de suite (Pas vu le film en salle hélas).
C'est vivant, certes violent, mais surtout, ce que j'aime dans les films de Gibson c'est cette capacité, grandissante, à retranscrire cette aspect éminemment physique, incarnée à ses personnages. C'est souvent le corps, son volume, sa masse qui sont mis en avant dans ses film et leurs donnent, a mon avis, ce relief particulier.
vu le titre et le carton d'entrée, je m'attendais à une œuvre crépusculaire traitant de la chute de la civilisation maya. raté, gibson n'en montre ni même ne suggère quasiment rien, se contentant de livrer un "simple" survival bourré de thunes. soit.
alors, ça aurait pu être efficace, surtout au vu des références assumées, mais le film, en plus d'être ultra classique dans son déroulement et bardé de clichés jusqu'à saturation, est criblé de défauts. entre autres, des longueurs inutiles (le voyage qui s'éternise), des effets de mises en scènes ridicules (ralentis à outrance, giclée de sang en trop, gamine prophétesse échappée de l'exorciste), des rebondissements grossiers (deus ex machina à la tintin et le temple du soleil, la pirouette finale qui arrive comme un cheveu sur la soupe) et des passages involontairement comiques (le gars qui traverse l'écran avec la panthère accrochée à la tête, le héros qui se mange un arbre, l'accouchement sous-marin). l'intérêt monte d'un cran lors de la traque, furieuse et viscérale, véritable hommage à predator, qui comporte son lot de moments forts et qui exploite très bien l'environnement, mais dont le rythme est malheureusement cassé par un montage alterné superflu.
quelques très bons passages à retenir (la traversée de la rivière, l'arrivée dans la cité, patte de jaguar qui s'extrait de la boue), une caméra constamment en mouvement, régulièrement surprenante, et des acteurs plus que convaincants. des qualités indéniables mais finalement isolées. frustrant au vu du potentiel monstrueux du sujet.
gutbuster
05 9 2008 - 22:05
CITATION(dreef @ 05 9 2008 - 22:44)

des passages involontairement comiques (le gars qui traverse l'écran avec le jaguar accroché à la tête, le héros qui se mange un arbre, l'accouchement sous-marin).

Et bien tu as le rictus facile dis moi
Après le très controversé The Passion of The Christ, Mel Gibson s’attelle à quelque chose de moins polémique: l’annihilation de la civilisation Maya. Je précise car on m'a fais la remarque à plusieurs reprise: c'est un simple constat et non un jugement. Par exemple, en France ce sujet a fait beaucoup moins jaser que la mise à mort du Christ. C'est bête, à titre personnel je trouve le sujet présent bien plus intéressant.
Revenons à nous moutons, à l’instar de son précédent long métrage, le cinéaste ne s’embourbe pas dans une fresque académique et conventionnelle. En effet, l’histoire se place sur une période clé et non étalée sur plusieurs années.
D’ailleurs, le rythme du film est trépidant, on ne s’ennuie pas une seule seconde, c’est du grand cinoche comme je l'aime.
La dernière heure sombre dans une sorte de « survival » violent et bestial, cette partie de chasse dans la jungle luxuriante est très haletante. C’est simple, on n’a pas vu ce genre aussi bien représenté depuis le Predator de John Mc Tiernan; c'est-à-dire il y a plus de 20 ans de ça !
5/6
gutbuster
05 9 2008 - 22:27
CITATION(Gatsu @ 05 9 2008 - 23:18)

C’est simple, on n’a pas vu ce genre aussi bien représenté depuis le Predator de John Mc Tiernan; c'est-à-dire il y a plus de 20 ans de ça !
Je suis pas d'accord, George de la jungle avait bien représenté le genre...
CITATION(gutbuster @ 05 9 2008 - 22:05)

CITATION(dreef @ 05 9 2008 - 22:44)

des passages involontairement comiques (le gars qui traverse l'écran avec le jaguar accroché à la tête, le héros qui se mange un arbre, l'accouchement sous-marin).

Et bien tu as le rictus facile dis moi

autant pour moi, c'est pas un jaguar mais une panthère. erreur corrigée.
c'est la manière dont ces séquences sont mises en scène qui me pose problème : une marionnette sortie du muppet show agrippée à un type qui hurle en traversant le cadre d'une glissade (lol), le héros qui s'écrase lamentablement contre un arbre tel un
georges de la jungle (roflol), le bébé expulsé façon torpille (megalol).
gutbuster
05 9 2008 - 22:53
CITATION(dreef @ 05 9 2008 - 23:40)

CITATION(gutbuster @ 05 9 2008 - 22:05)

CITATION(dreef @ 05 9 2008 - 22:44)

des passages involontairement comiques (le gars qui traverse l'écran avec le jaguar accroché à la tête, le héros qui se mange un arbre, l'accouchement sous-marin).

Et bien tu as le rictus facile dis moi

autant pour moi, c'est pas un jaguar mais une panthère. erreur corrigée.
c'est la manière dont ces séquences sont mises en scène qui me pose problème : une marionnette sortie du muppet show agrippée à un type qui hurle en traversant le cadre d'une glissade (lol), le héros qui s'écrase lamentablement contre un arbre tel un
georges de la jungle (roflol), le bébé expulsé façon torpille (megalol).
Non mais franchement, au risque de paraître lourd (désolé si c'est le cas) je n'vois pas ce qu'il y a de drôle dans ces scènes!
Et la panthere est pas si mal faite!
snoopymaclaine!
05 9 2008 - 22:58
CITATION(Gatsu @ 05 9 2008 - 23:18)

Après le très controversé The Passion of The Christ, Mel Gibson s’attelle à quelque chose de moins polémique: l’annihilation de la civilisation Maya. Je précise car on m'a fais la remarque à plusieurs reprise: c'est un simple constat et non un jugement. Par exemple, en France ce sujet a fait beaucoup moins jaser que la mise à mort du Christ. C'est bête, à titre personnel je trouve le sujet présent bien plus intéressant.
Revenons à nous moutons, à l’instar de son précédent long métrage, le cinéaste ne s’embourbe pas dans une fresque académique et conventionnelle. En effet, l’histoire se place sur une période clé et non étalée sur plusieurs années.
D’ailleurs, le rythme du film est trépidant, on ne s’ennuie pas une seule seconde, c’est du grand cinoche comme je l'aime.
La dernière heure sombre dans une sorte de « survival » violent et bestial, cette partie de chasse dans la jungle luxuriante est très haletante. C’est simple, on n’a pas vu ce genre aussi bien représenté depuis le Predator de John Mc Tiernan; c'est-à-dire il y a plus de 20 ans de ça !
5/6
bah tu dis que le chirst intéresse plsu le français que les mayas: normal, ces couillons de neuneus pacifistes qui se peinture la gueule, c'est pas les héros du plus grand best seller littéraire au monde ...contrairement a ce jesus qui se fait clouer pour avoir trop ramener sa gueule
sinon que dire face a un spectacle barbare d'une si grande ampleure si ce n'est que:
les acteurs sont tous sans exceptions merveilleux: ils sont naturels, à la fois terrifiants et touchants, gibson arrive a rendre attachante une civillisation obscure pour le spectateur moyen, ils échappent aux clichés du genre (réunion de clan ou on se peinture la gueule...)
la caméra est en constant mouvement, elle ne capte que de l'action ( reprise de l'excellente critique de cedric wanted delelée), que ce soit l'interaction entre les personnages ou entre les personnages et leur envirronement, un rythme trépidant qui ne lache pas prise pendant 2 heures!!!
vraiment gibson est un bon, un tres bon real de genre, integre, passioné par "son" histoire (je dis bien histoire car il n'est que cela, un conteur d'histoires merveilleuses ou épiques pas un historien)...et c'est finalement assez rare aujourd'hui!
Johanita
06 9 2008 - 12:23
CITATION(dreef @ 05 9 2008 - 23:40)

CITATION(gutbuster @ 05 9 2008 - 22:05)

CITATION(dreef @ 05 9 2008 - 22:44)

des passages involontairement comiques (le gars qui traverse l'écran avec le jaguar accroché à la tête, le héros qui se mange un arbre, l'accouchement sous-marin).

Et bien tu as le rictus facile dis moi

autant pour moi, c'est pas un jaguar mais une panthère. erreur corrigée.
c'est la manière dont ces séquences sont mises en scène qui me pose problème : une marionnette sortie du muppet show agrippée à un type qui hurle en traversant le cadre d'une glissade (lol), le héros qui s'écrase lamentablement contre un arbre tel un
georges de la jungle (roflol), le bébé expulsé façon torpille (megalol).
Tu as sans dout jamais assisté à un accouchement...
on va pas relancer le débat qui a déjà eu lieu sur les pages précédentes. oui, les accouchements en piscine ça existe, je suis au courant, merci. c'est pas un problème de crédibilité, mais bien de mise en scène et de montage qui rend le truc risible.
Johanita
06 9 2008 - 15:32
Le soucis n'est pas las, tu parles d'expulsion façon torpille. Le travail d'un accouchement est certes long mais la sortie du bébé en elle même est très rapide d'ou ta non connaissance sur le sujet. Dans le genre femme enceinte, A l'intérieur est nettement plus débile...
vareche
07 9 2008 - 00:39
CITATION(Johanita @ 06 9 2008 - 16:32)

Le soucis n'est pas las, tu parles d'expulsion façon torpille. Le travail d'un accouchement est certes long mais la sortie du bébé en elle même est très rapide d'ou ta non connaissance sur le sujet. Dans le genre femme enceinte, A l'intérieur est nettement plus débile...
Oui le problème n'est pas là(mais qu'est ce que je fous là moi, t'as vu l'heure...). voir une seule bonne critique pour un tel pensum est assez risible. Car le problème de mise en scène est bien présent, voir le problème de point de vu. Mel gibson abuse de la bière pas de litterature, il l'avait déjà plus ou moins dit, le risque est de se fourvoyer dans un scénario emprunté et mou du slip, l'autre risque est de mettre une telle conviction dans son propos qu'il perd son sens, qu'il n'est suivi que par une poignée de fan de la passion ou de brave coeur, tatn mieux, mais pour le reste de la plèbe impie, soyons honnête, on baille aux cornettes. Moins académique mais tout aussi reactionnaire le film se camoufle derrière une reconstitution soigné, afin d'eviter une reflexion à la fois sur l'Histoire (que mel ne connait pas), sur l'imaginaire d'un peuple (et sa civilisation) car on est bien pour offrir un spectacle d'horreur, alors restons honnête, evitons le seuil de la prétention (qui ne fait pas peur à simplet), faire de l'horreur pure et avoir une prétention moraliste n'a jamais fait que des films inachevés, t'as là le prototype du film inachevé. L'expulsion du bébé est quand même un grand moment de "faut montrer la chose sans que ça ralentisse la scène precedente, sinon lors du testing y vont me couper ma scène",mi bemol, james horner reussit une trés jolie partition (dommage que grand Nasreth F A Khan soit aussi insidieusement utilisé).
snoopymaclaine!
07 9 2008 - 10:26
mais putain elle est ou la prétention moraliste de apocalypto:
-la religion est clairement nossive: les grands pretres sont des fanatiques qui s'autodétruisent en pensant se faire mousser par la foule, le navire de la fin n'est clairemet pas un signe de sauvetage de patte de jaguar ou de redemption des maya, le heros du film montrant clairement sa mefiance en retournant parmi les siens...la seule prétention moraliste possible est la victoire de l'amour de la famille...
le probleme de gibson est tres simple: sa foi. foi religieuse certes, mais surtout sa foi en sa mise en scene, il n'a aucun recul, c'est clairement un bourrin que l'on peut rapprocher de millius...cela s'en est durement ressentit dans la critique de la passion...
contagion
07 9 2008 - 11:13
CITATION(vareche @ 07 9 2008 - 01:39)

Oui le problème n'est pas là(mais qu'est ce que je fous là moi, t'as vu l'heure...). voir une seule bonne critique pour un tel pensum est assez risible. Car le problème de mise en scène est bien présent, voir le problème de point de vu. Mel gibson abuse de la bière pas de litterature
Puissant argumentaire... Je cherche encore la corrélation entre le goût pour la littérature et le talent de réal', sans doute finirais-je par trouver. Gibson ne cherche pas à livrer un film estampillé historique (de toute manière une gageure au cinéma), mais esquisse une parabole sur l'avidité de l'homme et les mécanismes de la décadence d'une société. Mais en fait, il a surtout accouché (expulsion façon torpille) d'un PUTAIN de survival, jalonné de scènes d'une fulgurance plastique ahurissante (et Dreef, comparer la petite oracle pestiférée, un des passages les plus hypnotiques du film, à un stockshot de l'Exorciste, c'est juste honteux).
M'enfin les goûts zé les couleurs toussa.
gutbuster
07 9 2008 - 11:32
CITATION(vareche @ 07 9 2008 - 01:39)

L'expulsion du bébé est quand même un grand moment de "faut montrer la chose sans que ça ralentisse la scène precedente, sinon lors du testing y vont me couper ma scène"
Bien oui justement! ça servait à rien de montrer "l'expulsion du bébé", comme vous dites, dans son intégralité!
Et je pense franchement que Gibson avait plus peur d'être obligé de couper des scènes beaucoup plus traumatisantes qu'un accouchement
Evil Seb
07 9 2008 - 13:33
Ben voila perso je suizs tout a fait d'accord avec Dreef...nan franchement Apocalypto sté vraiment un bonne comédie. J'aime bien le coup des blagues de cul au début et puis la panthère acheter au King Jouet du coin était vraiment réussie. C'est tout ce dont je me souviens en fait, j'ai oublier tout le reste...
colqhoun
07 9 2008 - 16:49
CITATION(Evil Seb @ 07 9 2008 - 14:33)

Ben voila perso je suizs tout a fait d'accord avec Dreef...nan franchement Apocalypto sté vraiment un bonne comédie. J'aime bien le coup des blagues de cul au début et puis la panthère acheter au King Jouet du coin était vraiment réussie. C'est tout ce dont je me souviens en fait, j'ai oublier tout le reste...
J'ai bien du mal à comprendre les avis vraiment négatifs concernant Apocalypto vu le modèle de narration et de rythme qu'il représente à mes yeux (tous les personnages du films sont attachants, on ne s'ennuie pas une seconde étant donné l'évolution constante du film et la multiplication des enjeux dramatiques), la beauté plastique du film exceptionnelle (moi j'en veux tous les jours des reconstitutions de cités maya à la fois colorées, grandioses et pathétiques, et les costumes sont juste hallucinants), enfin la mise en scène est impressionnante de brutalité dans les batailles et cela sans jamais perdre de vue les personnages, gentils comme méchants.
Pour les histoires de morales fumeuses, revoyez Braveheart qui est mille fois plus plombant au niveau des métaphores religieuses etc... D'autant qu'il est aisé de voir Apocalypto comme un pure divertissement sans être constamment sollicité par un discours gnagnan ou fumeux (au choix), c'est vraiment se priver à la fois du meilleur survival et du meilleur film d'aventure de la décennie.
Le probléme c'est que le discours gnangnan ou fumeux est induit dés la première citation qui ouvre le film.
Après on est d'accord que c'était encore pire dans Braveheart
La panthère avait choqué pas mal de gens à l'époque (c'est la que j'avais pensé à Lenzi), tout comme la façon dont était filmée l'accouchement (d'ailleurs je ne ris pas devant l'Homme à la Caméra).
snoopymaclaine!
12 9 2008 - 21:10
CITATION(LMD @ 12 9 2008 - 18:27)

Le probléme c'est que le discours gnangnan ou fumeux est induit dés la première citation qui ouvre le film.
Après on est d'accord que c'était encore pire dans Braveheart
La panthère avait choqué pas mal de gens à l'époque (c'est la que j'avais pensé à Lenzi), tout comme la façon dont était filmée l'accouchement (d'ailleurs je ne ris pas devant l'Homme à la Caméra).
quoi braveheart? qu'est ce que tu as contre le plus beau film epique du siecle dernier , qui defonce gladiator, film exceptionnel?
c quoi le discours dérengeant dans l'histoire d'un homme qui se bat a la fois pour son amour perdu et son pays??
CITATION(snoopymaclaine! @ 12 9 2008 - 22:10)

CITATION(LMD @ 12 9 2008 - 18:27)

Le probléme c'est que le discours gnangnan ou fumeux est induit dés la première citation qui ouvre le film.
Après on est d'accord que c'était encore pire dans Braveheart
La panthère avait choqué pas mal de gens à l'époque (c'est la que j'avais pensé à Lenzi), tout comme la façon dont était filmée l'accouchement (d'ailleurs je ne ris pas devant l'Homme à la Caméra).
quoi braveheart? qu'est ce que tu as contre le plus beau film epique du siecle dernier , qui defonce gladiator, film exceptionnel?
c quoi le discours dérengeant dans l'histoire d'un homme qui se bat a la fois pour son amour perdu et son pays??
Je pense qu'il parle des tirades de Gibson sur la libeeeertéééééééé, et aussi de la fin qui n'est pas des plus fines (enfin je dis ça, je pleure devant quand même, mais elle est pas fine).
snoopymaclaine!
12 9 2008 - 21:55
CITATION(Elego @ 12 9 2008 - 22:47)

CITATION(snoopymaclaine! @ 12 9 2008 - 22:10)

CITATION(LMD @ 12 9 2008 - 18:27)

Le probléme c'est que le discours gnangnan ou fumeux est induit dés la première citation qui ouvre le film.
Après on est d'accord que c'était encore pire dans Braveheart
La panthère avait choqué pas mal de gens à l'époque (c'est la que j'avais pensé à Lenzi), tout comme la façon dont était filmée l'accouchement (d'ailleurs je ne ris pas devant l'Homme à la Caméra).
quoi braveheart? qu'est ce que tu as contre le plus beau film epique du siecle dernier , qui defonce gladiator, film exceptionnel?
c quoi le discours dérengeant dans l'histoire d'un homme qui se bat a la fois pour son amour perdu et son pays??
Je pense qu'il parle des tirades de Gibson sur la libeeeertéééééééé, et aussi de la fin qui n'est pas des plus fines (enfin je dis ça, je pleure devant quand même, mais elle est pas fine).
euh ans toute sa carriere (acteur compris) gibson n'a JAMAIS été un finaud...(excepté million dollar hotel snif tout le monde s'en fout de mon topic)
Il a jamais été question d'un propos dérangeant en fait, mais "gnangnan et fumeux".
Sinon que Gibson n'ait jamais été finaud certes, même en tant qu'acteur. Mais un acteur de ce genre peut jouer dans un film qui l'est lui, finaud.
CHARLTON HESTON
12 9 2008 - 23:46
Finaud,pas finaud ca reste discutable,il n'empeche qu'il y a un sense de l'epique et une puissance rejouissante chez Gibson, ce type ne rigole pas avec son travail ( en temps que realisateur,l'acteur peut tomber dans la paresse à l'occasion) il fait ce qu'il a en tete avec une hargne troublante et ca paye souvent à l'ecran.
On peut pointer quelques defauts et en debattre,mais Gibson est selon moi devenu un des auteurs les plus passionnants et audacieux de son temps.
Apocalypto ou la Passion,on en pense ce qu'on veut,mais ca reste extraordinairement inattendu et couillu non?
johnny walker
13 9 2008 - 00:39
Je suis d'accord, Gibson est un auteur très intéressant (avec une thématique chrétienne évidente, il raconte l'histoire du Christ à chaque fois de BRAVEHEART à APOCALYPTO en passant par L'HOMME SANS VISAGE). Ses films sont nerveux et très émouvants (LA PASSION DU CHRIST).
gutbuster
13 9 2008 - 09:24
CITATION(johnny walker @ 13 9 2008 - 01:39)

Je suis d'accord, Gibson est un auteur très intéressant (avec une thématique chrétienne évidente, il raconte l'histoire du Christ à chaque fois de BRAVEHEART à APOCALYPTO en passant par L'HOMME SANS VISAGE). Ses films sont nerveux et très émouvants (LA PASSION DU CHRIST).
Ce que j'aime chez Gibson c'est que même si on met cette thématique de côté (oui parc'que sans vouloir offenser personne, la religion rènafout)
ces films restent quand même de putain de film épique et jouissif! (sans parler de la passion, je l'ai pô vu)
johnny walker
13 9 2008 - 10:06
CITATION(gutbuster @ 13 9 2008 - 10:24)

CITATION(johnny walker @ 13 9 2008 - 01:39)

Je suis d'accord, Gibson est un auteur très intéressant (avec une thématique chrétienne évidente, il raconte l'histoire du Christ à chaque fois de BRAVEHEART à APOCALYPTO en passant par L'HOMME SANS VISAGE). Ses films sont nerveux et très émouvants (LA PASSION DU CHRIST).
Ce que j'aime chez Gibson c'est que même si on met cette thématique de côté (oui parc'que sans vouloir offenser personne, la religion rènafout)
ces films restent quand même de putain de film épique et jouissif! (sans parler de la passion, je l'ai pô vu)
Ouais mais avec Gibson, tu peux pas la mettre de côté car c'est fondamentale dans son cinéma pour bien le comprendre (car
L'HOMME SANS VISAGE par exemple n'est pas un film épique).
gutbuster
13 9 2008 - 10:29
CITATION(johnny walker @ 13 9 2008 - 11:06)

CITATION(gutbuster @ 13 9 2008 - 10:24)

CITATION(johnny walker @ 13 9 2008 - 01:39)

Je suis d'accord, Gibson est un auteur très intéressant (avec une thématique chrétienne évidente, il raconte l'histoire du Christ à chaque fois de BRAVEHEART à APOCALYPTO en passant par L'HOMME SANS VISAGE). Ses films sont nerveux et très émouvants (LA PASSION DU CHRIST).
Ce que j'aime chez Gibson c'est que même si on met cette thématique de côté (oui parc'que sans vouloir offenser personne, la religion rènafout)
ces films restent quand même de putain de film épique et jouissif! (sans parler de la passion, je l'ai pô vu)
Ouais mais avec Gibson, tu peux pas la mettre de côté car c'est fondamentale dans son cinéma pour bien le comprendre (car
L'HOMME SANS VISAGE par exemple n'est pas un film épique).
pas vu non plus celui-là
Evil Seb
13 9 2008 - 10:57
CITATION(CHARLTON HESTON @ 13 9 2008 - 00:46)

Apocalypto ou la Passion,on en pense ce qu'on veut,mais ca reste extraordinairement inattendu et couillu non?
Ouais cca c'est vrai, mais c'est juste dommage que inattendu et couillon ne soient pas des synonime de bons et réussites
CHARLTON HESTON
13 9 2008 - 13:03
CITATION(Evil Seb @ 13 9 2008 - 11:57)

CITATION(CHARLTON HESTON @ 13 9 2008 - 00:46)

Apocalypto ou la Passion,on en pense ce qu'on veut,mais ca reste extraordinairement inattendu et couillu non?
Ouais cca c'est vrai, mais c'est juste dommage que inattendu et couillon ne soient pas des synonime de bons et réussites
Ok,mais franchement,un acteur qui torche sur le tard 4 films comme ca ( l'Homme sans visage,Braveheart,Passion et Apocalypto) le resultat te parait à ce point embarassant?
Meme si on apprecie pas c'est quand meme pas ininteressant ni honteux( pour le moins)
Johanita
13 9 2008 - 14:15
Des chefS d'oeuvre tout simplement.
Evil Seb
13 9 2008 - 14:23
CITATION(CHARLTON HESTON @ 13 9 2008 - 14:03)

CITATION(Evil Seb @ 13 9 2008 - 11:57)

CITATION(CHARLTON HESTON @ 13 9 2008 - 00:46)

Apocalypto ou la Passion,on en pense ce qu'on veut,mais ca reste extraordinairement inattendu et couillu non?
Ouais cca c'est vrai, mais c'est juste dommage que inattendu et couillon ne soient pas des synonime de bons et réussites
Ok,mais franchement,un acteur qui torche sur le tard 4 films comme ca ( l'Homme sans visage,Braveheart,Passion et Apocalypto) le resultat te parait à ce point embarassant?
Nan Braveheart c'est très bien et La Passion ca va par contre Apocalypto j'trouve ca chiant (du moins la première heure, apres une fois que le film commence va) et moche (image video et sfx allant du correct au foireux)
CHARLTON HESTON
13 9 2008 - 15:23
CITATION(Evil Seb @ 13 9 2008 - 15:23)

CITATION(CHARLTON HESTON @ 13 9 2008 - 14:03)

CITATION(Evil Seb @ 13 9 2008 - 11:57)

CITATION(CHARLTON HESTON @ 13 9 2008 - 00:46)

Apocalypto ou la Passion,on en pense ce qu'on veut,mais ca reste extraordinairement inattendu et couillu non?
Ouais cca c'est vrai, mais c'est juste dommage que inattendu et couillon ne soient pas des synonime de bons et réussites
Ok,mais franchement,un acteur qui torche sur le tard 4 films comme ca ( l'Homme sans visage,Braveheart,Passion et Apocalypto) le resultat te parait à ce point embarassant?
Nan Braveheart c'est très bien et La Passion ca va par contre Apocalypto j'trouve ca chiant (du moins la première heure, apres une fois que le film commence va) et moche (image video et sfx allant du correct au foireux)
Bon,les gouts et les couleurs,Braveheart etant justement pour moi le moins convainquant des 4( l'Homme sans visage ne me passionne guere,mais la c'est question de sujet,le film lui meme,au dela de son genre un peu academique,est pour moi tres bien fait ) on sent une"patte"(fureur?)naissante dans Braveheart,mais ca cohabite encore avec des scenes a la limite du ridicule comme le discours"freedom,honnor,glory,cookies!",
devenu une figure imposer de l'epique depuis (ca peut marcher hein,mais c'est casse-gueule et dois etre finement penser,la j'ai pas été convaincu) et surtout l'aveu de Marceau à Mc Goan sur "le pere".
En revanche je percois une progression dans l'oeuvre de Gibson,qui laisse de moins en moins de gras film apres film,Passion etait deja tres ciseler et Apocalypto qui a suivi m'a limite ebloui.
Alors,oui,il y a sans doute de quoi redire( le jaguar est pas top,certe) mais il offre des scenes d'une force qui m'a fait oublier ses defauts( il y en aura toujours de toute facon.
On peut en citer plein comme la petite pestiferé ou la cité,ou la cascade,mais moi c'est l'emotion des enfants du village,abandonner pendant que les parent sont emmener a la mort qui m'a vraiment attraper,cette scene m'a mis les larmes aux yeux,je n'attendait pas ca de Mel le sanguinaire et la il m'a bien eu.
CITATION(CHARLTON HESTON @ 13 9 2008 - 15:23)

le jaguar est pas top
c'est une panthère, owned ! j'ai fais la même bourde, parce que ça me semblait plus logique que patte de jaguar se confronte à son "alter ego" félin plutôt qu'avec la copine de mowgli.
sinon, je suis bien d'accord pour reconnaître que les derniers gibson, quoi qu'on en pense (j'ai pas trop aimé
apocalypto mais
la passion du christ m'avait bien plu), font tache dans le paysage hollywoodien actuel, et sans doute que le bonhomme a encore de quoi nous surprendre.
CHARLTON HESTON
27 9 2008 - 14:10
CITATION(dreef @ 27 9 2008 - 14:18)

CITATION(CHARLTON HESTON @ 13 9 2008 - 15:23)

le jaguar est pas top
c'est une panthère, owned ! j'ai fais la même bourde, parce que ça me semblait plus logique que patte de jaguar se confronte à son "alter ego" félin plutôt qu'avec la copine de mowgli.
sinon, je suis bien d'accord pour reconnaître que les derniers gibson, quoi qu'on en pense (j'ai pas trop aimé
apocalypto mais
la passion du christ m'avait bien plu), font tache dans le paysage hollywoodien actuel, et sans doute que le bonhomme a encore de quoi nous surprendre.
Le Jaguar ,egalement appeler plus rarement"panthere d'Amerique"est la seule"panthere"en Amerique de Sud,
attention,la varieté melanique du jaguar n'en fait pas un animal different,ca reste un jaguar,de la meme maniere que la variante noire du leopard Africain ou Asiatique reste un leopard,une mere leopard ou jaguar pouvant avoir des petits tacheté et/ou noire.
Panthere est un terme qu'on accole souvent à la variante melanique du leopard,plus rarement au jaguar,c'est surtout,historiquement une appelation qu'on à accoler à beaucoups de felins à l'occasion ( le jaguar lui meme est famillierement appeler tigré ou léon ) et les grand felins sont classés dans le genre des Panthera (exemple,le lion,panthera leo)
bref,un peu le bordel,il n'empeche: on peut l'appeler"panthere"si tu veut, il n'empeche c'est d'abord,d'un stricte point de vu geographique,un jaguar melanique qu'on est supposer voir dans le film.
heu,bon,desolé de cette digression ,on va pas s'etriper pour un gros chat,hein
(le seul debat zoologique d'importance c'est celui sur les hirondelles d'Afrique et les noix de coco

)
Gibson , malgré une idéologie un peu puante, nous a pondu un vrai chef d oeuvre avec Apocalypto. Ca fesait longtemps que je n'avait pas vu un film dans de grands espaces(la jungle) aussi maitrisé, presque aussi bon qu un Mc Tiernan. Des la premiere scene de poursuite de chasse on est aspiré a travers l'ecran. Sa maitrise du montage dans l'action m'a laissé sur le cul...
Une tuerie
6/6
Ed Wood
27 9 2008 - 20:32
En quoi dans ce film l'idéologie est puante?
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