CITATION(horseloverfat)
n'empèche c'est pas malin:
1/ parce que c'est ton prof.
2/ Parce qu'il a raison
On apprend pas aux apprentits tacherons du futur cinéma la fanfreluche et la transgression direct. Avant d'avoir une écriture "personnelle" on apprend à faire de belles lettres à l'école non ? Là c'est pareil, t'as beau ramener toute ta super culture ciné, là sur le coup t'es à côté de la plaque. (à moins que ce ne soit que des études théoriques pour devenir critique, et là ok je me tais)
C'est comme la règle des 180, des 30, d'utiliser un stead parce que c'est marrant.... évitons de les transgresser directement et de se la ramener derrière en disant ouais mais hitchcock lui, mais Boorman lui, mais spielberg lui... Qui tu es pour te comparer à des mecs qui ont une expérience énorme, qui maitrise leur outil comme peu de réalisateurs ?
Parce que dans ce cas là tu trouveras des exemples pour tout...et tu seras un mauvais cinéaste parce que tu te seras pas enfoncé les règles de base dans ta tête, à vouloir faire le margoulin devant toute ta classe...

O.K. Premièrement, ce n'était pas pour faire mon margoulin devant toute ma classe (qui déteste le zoom d'ailleurs), que j'ai répondu et fait taire mon prof, c'est parceque mon prof, en disant que le zoom, c'était moche, qu'on ne l'uttilise jamais, et que c'est à ne surtout jamais uttiliser dévalorise toute une partie de ma culture cinéphilique et de toute une prtie de la culture cinématographique générale. Combien de réalisateurs, dans de grands films et d'autres petits films non moins excellent, ont - ils usés et abusés des zooms? J'en sais rien mais ca en fait un paquet. J'ai cité Hitchcock, Spielberg et Boorman, parceque ce sont les premiers exemples qui me sont venus à l'esprit. Et ce n'est pas en nous interdisant de zoomer et en nous interdisant d'experimenter que les profs vont faire de nous des réalisateurs au moins corrects.
Deuxiemement, je n'ai jamais eu la prétention d'égaler, où même de me comparer à Hitchcock, Spielberg et Boorman, ainsi que les autres grands, je suis lucide quand à leur talent (que dis-je? leur génie) et leur experience, que je n'ai pas et n'aurait jamais. Cependant, connaissant et ayant quelque peu étudié la mise en scène de ces cinéastes et ayant mes propres références, je peux me permettre, à mon avis, de nier quelque chose de complétement faux. J'ai moi même réalisé quelques court-métrages (pourris, mais là n'est pas le problème), j'ai essayé d'éviter les zooms, sauf quand c'était, à mes yeux, nécessaire, pour l'émotion, la compréhension ou le sens de l'histoire. Ensuite, dans mes scénarios et mes notes d'intention, j'aime prendre des risques et "expérimenter" car je sais que c'est là que je pourrai faire des erreurs, les comprendre et faire avancer mon language cinématographique. Rester lisse, sans défauts, en essayant d'avoir une écriture propre et appliquée, je ne penses pas que c'est ma priorité car je pense avoir au moins le talent nécessaire pour faire avancer une histoire. Cependant, quand onn me fait des critiques, j'essaye de comprendre, et de faire en sorte qu'on ne me les fasse plus. Mais, comme j'ai dit, se contenter de "belles lettres" n'a aucun intêret, et les profs devrait plutôt nous apprendre à prendre des risques et des partis pris tout en les justifiant, ce que je fait, parceque c'est là que l'on peut vraiment commencer à se prétendre réalisateur, en faisant des choix justifiés.
Ensuite, je me suis enfoncer les règles de bases dans ma petite tête d'élève prétentieux (c'est un peu ce que t'as voulu exprimer non?) et je respecte la règle des 180, des 30, etc. Mais pas une règle ridicule (et fausse) comme l'interdiction du zoom même quand c'est justifié.
Et enfin, je voudrais dire que ma formation c'est surtout des études théoriques pour devenir critique, bien que l'on ai quelques exercices pratiques à faire.
Voilà.