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Version complète : BIFFF 2008
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Evil Seb
Voila comme tous les ans, pour une orgie de fantastique, d'horreur, de gore, de bières et d'ambiance c'est a Bruxelles que ça se passe. Pour la deuwXème fois, le festival se tiendra sur le site de Tour&Taxis a Bruxelles, cette année tout le monde aura trouver ses marques et le Bifff repartira comme en 40! Puis Bruxelles c'est qu'a 1h20 de Paris en Thalys icon_mrgreen.gif

Pas encore de programme ni de guest list, ca devrait arriver courant février, mais des dates et l'affiches de cette vingt sixième édition édition sont en ligne.

Le Bifff 2008 se tiendra du 27mars au 8 avril 2008.
booster
peux-tu me dire si les films sont sous-titré ? et surtout dans quelle langue ? Ma maitrise de l'anglais, de l'espagnol ou encore du coréen ne me permet pas de comprendre un film non sous-titré dans ma langue maternelle. merci d'avance
PS : 1h20 de Paris en Thalis, c'est bien, mais moi, je suis à 5h de TGV de Paris... donc, je prefere etre renseigner un peu avant de faire le voyage
Flying Totoro

Le-le-le BIFFF Le BIFFF
Tu kiffes ouais tu-tu-tu kiffes !
ICE_T_62
I'll be back (et plus que l'ouverture cette fois)
Evil Seb
CITATION(booster @ 25 2 2008 - 20:51) *
peux-tu me dire si les films sont sous-titré ? et surtout dans quelle langue ? Ma maitrise de l'anglais, de l'espagnol ou encore du coréen ne me permet pas de comprendre un film non sous-titré dans ma langue maternelle. merci d'avance
PS : 1h20 de Paris en Thalis, c'est bien, mais moi, je suis à 5h de TGV de Paris... donc, je prefere etre renseigner un peu avant de faire le voyage

Sous titrage anglais/francais/néerlandais pour 90% des films projeté...
Evil Seb
Voila le programme est en ligne et telechargeable au format pdf sur cette page. J'ai juste jeter un oeil mais en vrac cette année on pourra voir Rec, Postal, Gong Tau, Mother of Tears, Diary Of The Dead, Doomsday, Black Water, Stuck, 13 Beloved, Dai Nipponjin et Machine Girl!!! (Hell Yeah!!!).

Cette année le Bifff organise une retro horreur allemande et acceuillera deux salles sur le même site ce qui est bien pratique car avant les deux salls étaient super loin les une des autres donc bon c'était bien relou pour enchainé.

Niveau Jury on retrouve entre autre Bong Joon Ho, Brett Leonard, Lisa Marie et Umberto Lenzi. La liste des invités devrait se completer au fur et a mesure...
Movieboy
A y est, la programmation du prochain BIFFF vient d'être dévoilée. Bon comme d'habitude, il faudra chercher ailleurs que sur le site pour avoir des infos précises sur tous les titres présentés, mais pour ceux qu'on connaît, la sélection est plutôt alléchante :

DOOMSDAY, MACHINE GIRL, JOSHUA, BLACK WATER, MOTHER OF TEARS, POSTAL, DIARY OF THE DEAD, OXFORD MURDERS (bouef...), THE EYE, THE DETECTIVE, REC, SHIVER, I KNOW WHO KILLED ME, SHUTTER, PENELOPE, THE FALL, STUCK, FLICK, ISLAND OF LOST SOULS, THE BROKEN, DAI NIPPONJIN, THE SIGNAL, FUNNY GAMES, HAIR EXTENSIONS... et encore une bonne trentaine d'autres !

Les frenchies A L'INTERIEUR, FRONTIERES et EDEN LOG seront aussi présents.

Enfin, le Bifff fait dans la cinéphilie en présentant la version "25e anniversaire" (director's cut ???) de LA FORTERESSE NOIRE de Michael Mann...


Bref, j'ai hâte de savoir si je vais pouvoir y aller... icon_mrgreen.gif
quarx
oh putain, rien que pour Machine Girl, Dai Nipponjin et La forteresse Noire, que j'aurai sans doute pas d'autres occaz de voir sur grand écran, j'aurais aimé y aller.
(mais je peux pas)
(la vie est ainsi faite)
Movieboy
Par contre, juste trois regrets, y a pas MIDNIGHT MEAT TRAIN, THE RUINS et CJ7 au programme... Bon on va pas se plaindre, mais une projection du dernier Kitamura aurait été énorme à Bruxelles...


THE FALL a l'air d'être une ENORME bombe !

Syd
"Tuer encore ?"

Youhou, j'espère pouvoir y être pour les jours les plus alléchants !
Pour les invités, j'ai entendu parler de Neil Marshall, Clovis Cornillac, Alysson Paradis, Alex De La Iglesia et bien d'autres.
Puis Bong Joon Ho dans le jury, ça le fait !
Kyria
Je ne sais pas si il y a beaucoup de belges inscrits mais j'aimerai savoir qui s'est déjà rendu (finalement belge ou autre!?!) au BIFF et qui s'y rend cette année.....Connaitre les avis, les conditions du festival etc....
rolleyes.gif
jason13thh
Bonjour je m'y rends le 28 et le 29 (du 29 au 30 en fait, ma chérie et moi on va faire la Nuit ...et je bosse le 30 à 15h00 ça va être beau lol)

Sinon je suis allé que deux fois avant et j'ai même fait une photo avec Dario Argento mais je la retrouve plus, je pense qu'elle se trouve dans mon autre pc en fait.

Il m'a signé le Mad spéciale Italie aussi et j'ai un peu discuté avec Gunn, le réalisateur de Slither.
Kyria
J'ai très envie de faire toutes les soirées....y a pas mal de films qui m'intéressent mais y a personne pour m'accompagner.....et faut avouer c'est moins marrant seule! Appel aux candidats! ;-)
renardo99
Le BIFFF, j'y ai été l'an passé et c'est juste un EXCELLENT souvenir!
Mon épouse et moi avions gagné des places à un concours, pour le film THE RETURN, avec Sarah Michelle Gellar. C'était la soirée du Bal des Vampires et il y avait plus d'une heure de retard pour la projo. MAis l'ambiance était super sympa, tu fais la file dans un grand hall avec des peintures, sculptures,...qui rentrent assez bien dans l'esprit du festival. T'as du body painting aussi. Et des mecs déguisés se baladent en hurlant parmi les gens. C'est assez surréaliste comme ambiance.
Le film THE RETURN en lui même était assez bof bof, mais, avec l'ambiance dans la salle, j'étais juste mort de rire toutes les 5 minutes! Les gens n'hésitent pas à lancer des vannes pendant le film, et si c'est clairement un truc qui me gonfle habituellement, là, au BIFFF, ça fait juste partie de l'esprit du festival.
Mais surtout, mon souvenir génial de l'an passé, c'est la projection, passé 1 heure du mat' (ben oui, le retard s'est accentué...), de POULTRYGEIST, en présence de Sir Lloyd Kaufman. Un pur film jubilatoire (A QUAND LE DVD BORDEL ?!!!).
Et à quatre heure du matin, reprendre la route pour Liège, fatigué mais heureux comme un gamin qui a veillé tard pour apercevoir Saint-Nicolas.

Je suis on ne peu plus déçu de ne pouvoir y aller cette année (la Nuit Fantastique me tentait bien... REC, voir A L'INTERIEUR sur un grand écran...).

ENfin bref, ALLEZ-Y si vous le pouvez, le BIFFF, c'est un excellent moment!
Evil Seb
Bon ben mes bagages sont prêtes et j'pars demain me taper toute la semaine prochaine, je rentre dimanche prochain, ca risque d'être bien fendard par contre je sais pas trop dans quel état je vais rentrer.

Par contre j'espère que le petity déficit d'ambiance du au nouveau lieu, nouvelles salles etc etc aura été comblé parsque l'année dernière j'ai pas retrouver toute l'ambiance des éditions précédentes au P44.
Paul Kersey
Le palmarès complet

Compétition Internationale du Long Métrage

Le Jury présidé par Umberto Lenzi (Italy) et composé de Joon-Ho Bong (Korea), Thomas Gunzig (Belgium), Brett Leonard (USA), Lisa Marie (USA), Catherine Wilkening (France)

a attribué les prix suivants :

Le Corbeau d’Or : 13 BELOVED de Chookiat Sakveerakul

Les Corbeaux d'Argent : [REC] de Jaume Balaguero & Paco Plaza
STUCK de Stuart Gordon

Mention spéciale : THE SUBSTITUTE d'Ole Bornedal

Prix Pégase du public : [REC]



Compétition Européenne du Long Métrage

Le Jury présidé par Jean-Marie Verhasselt (Belgium) et composé de Nadine Monfils, François Bertrand, Sandrine Deegen, Bruno Forzani, Joëlle Rochette

a attribué le prix suivant :

Méliès d’argent : FRONTIERE(S) de Xavier Gens



Prix du 7e parallèle

Le Jury composé de Thibau Dopchie, Ils Huygens, Nathalie Meyer a attribué le prix suivant :

Prix du 7e parallèle : THE AERIAL d'Esteban Sapir
Evil Seb
Bon ben le Bifff 2008 c'était bien, surtout au début et a la fin en fait...mais c'était quand même mieux avant. Depuis l'année dernière, la salle est plus grande 1200 places contre 800 au P44, on voit mieux et on est plus obligé de se recroqueviller sur son siège si on fait plus d'1m70 mais l'ambiance n'est plus tout à fait la même, limite on se fait engueuler quand on se permet de faire des vannes à voix hautes pendant le films. De plus on nous asucré la course en rafting sur marée humaine, ya moins d'animations dans les travées du fest, on s'est vu affublé d'un nouveau monsieur Loyal n'arrivant pas a la cheville du fameux "Jean Paul" puis surtout les toilets a 50 centimes c'est du racket pur et simple... bref le déficit d'ambiance et d'esprit Bifff se confirme même si une troupe d'irréductibles, dont je fait partie, tente de perpetré l'esprit passé.

Les films maintenant...ben on commence mollement avec The Keep a.k.a la Forteresse Noire de Michael Mann en salle 2...bon ben faudra m'expliquer parceque j'ai pas compris. C'est ça La Forteresse Noire?? Tout ce foin pour ça? Et ben mes cocos y'a certaines choses que je comprendrais jamais...scénario incompréhensible, raccourcis narratifs que même dans un film Cannon on en trouve plus, mise en scène d'une platitude absolue, efets speciaux a la ramasse et la b.o la plus affreuse du monde. Tangerine Dream sans dec... Seuls les comédiens s'en tirent à bon compte. Apres on va encore me dire "film charcuté...chef d'oeuvre dans sa vision définitive...blablablamescouilles" je juge le film que j'ai vu et c"était tout naze. En plus j'était mal assis donc j'avais mal au cul et aux oreilles a cause de l'infâme score du film... Bref c'est pas jojo pour un debut de festival. Ensuite zappage de la sance de 22h Diary of the Dead que j'avais déja vu pour aller s'enfiller une bonne mitraillette à la friterie et c'est le bide plein de patates et de graisse que je me prépare pour un des (le?) films que j'attendais le plus: Machine Girl du fou furieux Noboru Iguchi. Pas de doutes on tiens un des films du festival, completement fou de la pemière a la dernière minutes, du gore, des flingues, des ninjas-yakuzas, des petites pépées, Machine Girl peut etre vu comme le Bad Boys II du V-Cinéma, le blockbuster du genre. Le public est en feu (la meilleur séance niveau ambiance je pense ex aequo avec l'affreux I Know Who Killed Me mais j'y reviendrais) on se lève on hurle tout du long. Bref le film aura marqué les esprits, du moins le mien, je l'atendais de pied ferme et je ne fut en rien déçu. Les amateurs divent se ruer dessus sans tarder. On va se coucher et on ecnhaine sur le samedi avec Dai Nipponjin OFNI japonais de comique Hitoshi Matsumoto qui emploie la technique du vrai faux documentaire pour rendre un hommage touchant et drôle au Kaiju de son enfance. Un film totalement autre à l'humour japonais, tres kitanien dans l'esprit et qui se termine sur un final bien chtarbé qui remets tous le film en question de manière absolument pertinente. Bref un excellent film qui se permet le luxe de transformer Ricky Takeuchi en monstre sauteur géant et de nous montrer des combats entre des génats totalement looser et improbable. Pour simplifier a l'extrême c'est la encontre entre Godzilla et Getting Any filmer par Morgan Spurlock. Une des autres grandes réussites du festival pour ma part. A ce moment la je me dis "Japan rules the world!!". Ensuite on passe dans la grande salle pour The Cottage, petit film anglais avec Andy Serkis et Doug Bradley. Une bonne surpris et un film qui débute par un polar british classique a la Guy Ritchie mettant en scène des bras cassé et une bimbo au langage fleuri dans un huis clos aussi absurde que tendu avant de biffurquer dans une toute autre direction. Surprenant mais très efficace. Le film est drôle, gore, inatendu et porté par un Andy Serkis plus cabot que jamais. Un film dont je ne connaissais et n'attendais rien du tout mais qui au final s'avère extrêment divertissant et prouve une fois de plus qu'il se passe vraiment qlque chose en Angleterre. En plus le réal présent s'est avéré être un excellent chanteur et s'est mis d'emblée le public en poche en faisanty reprendre My Way de Sinatra en karaoké a toute l'assistance. Bien vu mon gars!

C'est bien chauffé qu'on atque la Nuit avec [Rec] présenté par Balaguero accompagné son actrice principal, qui apres Fragiles confirme qu'il est bel et bien le meilleur chanteur du Bifff. Autant le dire tout de suite, j'ai jamzis été fan de Balguero mais force est de constater [REC] à bien calmer tout le monde,moi le premier. La tension était telle dés le début du film qu'on aurait entendu une mouche volé...et je vous parle même pas de la lividité quasi générale des spectateru a la sortie de la salle. L'impression d'avoir vécu ensemble l'histoire qui nous était proposé sur l'écran. Une expréricne de la peur vraiment viscérale. Un horror movi immersif et super flippant. Un peu long à démarrer peut être (ok jepinaille et je sodomise les mouches)mais ponctué par un final vraiment tétanisant. Dur de se remettre apres ça mais en bon bifffeur on enchaine avec A l'Interieur que j'avais déja vu et revu, j'me disait que j'allais en profiter pour pioncer un peu histoire detre en forme pour la suite mais rien à faire j'ai de nouveau été pris par cette histoire. J'aime vraiment beaucoup ce film en tout cas, les réactions de la sale était assez partagée, c'était "wouah c'est vraiment gore et mortel..." ou alors "ptain comment c'est naze...reusement que c'est un peu gore". Voila je vais pas épiloguer sur un film dont j'ai déja parler longuement. Apres ca j'en profite pour aller taper la discut tranquillement avec Alysson Paadios et les producteur du film Franck Ribière et Verane Frediani trés sympa et ravi de l'acceuil du film en tout cas. Il me diront avoir acquis les droits de The Cottage pour le distribuer en dvd. Bonne nouvelle donc. Je rentre alors que Black Water est déja commencer... 4 personns dans un arbre, un bateau retourné et un croco affamé et amorphe...et ca dure pendant une demi heure donc le sommeil me gagne petit a petit, je me réveille juste pour voir le "combat" entre la survivante et la bête. Voila l'an dernier on avait eu Primeval cette année c'est Black Water, dorénavant faudra éviter les films de croco au Bifff. Dernier film de la soirée The House, un ghost movie thai a base de maison hantée et de malédiction emballé par le réalisateur du sympathique Garruda. Bref du classique, je reste éveillé jusqu'au bout, contrairement a la majorité de la salle qui roupille ferme, pour suivre les pérégrinations d'une jeune et jolie journaliste qui enquête sur une maison hantée. C'est pas mal sur le coup mais force est de constater qu'une semaine plus tard j'avais déja tout oublier. Donc voila c'est bon pour se mater un soir ou ona rien a faire mais loin d'être indispensable.

On passe la journée au lit et de retour sur le pied de guerre a 18h pour The Substitute de Ole Bornedal. Non non ce n'est pas une enième suite a la celèbre saga dtv mais une film de S-F adolescente abase d'alien, de conspiration extraterrestre et de salle de classe. Voua savez déja vu ça quelque part? Ouais c'est normal le film passe pour un The Faculty sauce école primaire danoise. Bon c'est sympa au final, ca se laise suivre sans soucis et on a droit a quelque bonne scènes, la salle encore endormie par la nuit d'hier ne réagit pas et le film se déroule dans l'indifférence général...sauf pour le jury qui lui décernera un prix. Voila un film correct à voir à l'occasion mais sans plus. Pause bouffe en se disant "Ouais Doomsday il sort mercredi j'irais le voir a Paris tranquille, viens on va plutot bouffer". Résultat je me suis bien fait niquer mon Doomsday vu qu'il passe déja plus sur Paris une semaine apres la sortie...Vision de Shadow Spirit de Masato Harada, un film apparement de serail killer japonais auquels j'ai entrave quedalle, il a fallu qu'un pote m'explique pour savoir de quoi ça parlais vraiment. L'esthétqiue était sympa tout ça mais passer un film complexe a la narration trész éclatée a une heure du mat' c'est ptetre pas la meilleur chose à faire. Une petite journée en somme apres la débauche de bon film de ce début de Bifff. Lundi c'est aprem shopping au centre commercial bruxellois, petite moisson de skeud avant de s'enfiler X-Cross de Kenta Fukasaku, le fils de qui vous savez, en sa présence. L'affiche et le trailer m'avait fait de l'oeil et au final le film est tres cool et tiens les petites promesses que j'avais placée en lui. Une histoire un peu à la Kitamura m^lant jeune bimbo, malédiction médiéval, foret chiottes public, boogeyman et téléphone portables. Un chassé croisé a la naration alternée entre deux point de vue. Les deux amies se sépare et alternativement on suit le parcours de l'une et de l'autre afin de reconstituer le parcours et l'histoire de chacune. Tres ludique avec un esprit manga pas dégueulasse et quelques scène de fight tres bien troussée X-Cross relève le pari de la petite série B haut la main et s'est avéré une bonne surprise. On sent naître la patte de Kenta et a la vision de ses deux dernies films on se rends compte que Battle Royale II était a 90% le fil de son illustre géniteur. S'en suit une séance de question/reponse et de dédicaces avec Kenta qui me dira que son prochain film sera Sukeban2 suite de son Sukeban a.k.a YoYo Girl Cop. On termine la journée avec The Devil Dare Me To. Film neo zélandais mettant en scène une rouipe de cascadeurs bras cassé et un enfant au destin exceptionnel. Une bonne comédie même si elle n'exploita pas completement tout le potzentiel de son pitch et des tronches cassées de ses acteurs. L'ensemble est drôle et parfois loufoque mais manque un peu de folie et de white trash attitude à mon gout.

La journée de Mardi débute par le fameux et fumeux I Know Who Killed Me featuring Lindsay Lohan. La salle sera en feu durant tout le long du film multipliant les vannes et les quolibets mérités a l'encontre de ce film d'une bétise totale. Rarement vu un pitch aussi bancal. Silvertson pille sans vergogne De Palma et Argento, résultat tout tombe à plat tellement le film est mal écrit et construit. Mention spécial au petit ami de Lindsay Lohan qui a vraiment un trés beau rôle, trés interessant...bref un ratage totale, qui pour moi justifie totalemnt sa réputation de navet intégral. Un futur classique des secondes parties de soirées de TF6 et RTL9. Reste un grand moment de rigolade lors de chaque cri "Bleu" retentissant lorsqu'un un obljet de la dite couleur est visible à l'écran. Enfin cette séance s'est vue attribué mon prix de la meilleure vanne grâce à la vanne de "la chatte rasée". Ceux qui ont vu le film comprendront j'explique pour les autres (La mere possède un chat sphinx donc dépourvu de tout poil sur le corps...oui c'est con mais c'a ma bien fait marrer). Hop apres ca direction la salle 2 pour Pop Skull qui sur papier à tout pour plaire. Un film de Bad trip qui vire à l'horreur shooté en dv pour un budget de 2000$ mais au final on se tape juste un drame existantialiste sur un pauvre gars qui pour se remettre d'une rupture absorbe des cachetons qui le feront bad triper...DV dégueulasse, pas de sous titres, en même temps pour le peu et l'ineptie des dialogues du film c'est pas bien grave, un long trip arty rythmé par une bande son composée de rock hype...Un film de fin d'anne de l'IAD ou de la Femis étalé sur 90 minutes. Un vrai supplice. pour se remettre de ces neux navetons un bon Ittenbach a minuit dans la grande salle. Ittenbach à toukours un des meilleurs spécialiste mondiaux en effets spéciaux mais aussi l'un des pires réalisateurs...mais les amateur de barbque et de gore qui tâche (dont je fait partie) l'apprécient beaucoup. Sur Dard Divorce ce bon Olaf s'est pris pour Tony Scott et réalise son True Romance à lui...c'est excessivement mal réalisé, mal écrit et éclairé au Zippo, les acteur sont tous au plus mauvais mais qu'à cela ne tienne les scène gores viennent remettres les pendules a l'heure. Tres grande scène que celle du tueur se désappant completement afin de découper un cadavre face caméra les couilles et la queue a l'air...grand moment de communion avec son public. Un film totalement Z donc totalement indispensable.

Mercredi c'est relâche et la suite des aventures du Bifff au prochain numéro...
killerbees
CITATION(Evil Seb @ 09 4 2008 - 12:28) *
Bon ben le Bifff 2008 c'était bien, surtout au début et a la fin en fait...mais c'était quand même mieux avant. Depuis l'année dernière, la salle est plus grande 1200 places contre 800 au P44, on voit mieux et on est plus obligé de se recroqueviller sur son siège si on fait plus d'1m70 mais l'ambiance n'est plus tout à fait la même, limite on se fait engueuler quand on se permet de faire des vannes à voix hautes pendant le films. De plus on nous asucré la course en rafting sur marée humaine, ya moins d'animations dans les travées du fest, on s'est vu affublé d'un nouveau monsieur Loyal n'arrivant pas a la cheville du fameux "Jean Paul" puis surtout les toilets a 50 centimes c'est du racket pur et simple... bref le déficit d'ambiance et d'esprit Bifff se confirme même si une troupe d'irréductibles, dont je fait partie, tente de perpetré l'esprit passé.

Les films maintenant...ben on commence mollement avec The Keep a.k.a la Forteresse Noire de Michael Mann en salle 2...bon ben faudra m'expliquer parceque j'ai pas compris. C'est ça La Forteresse Noire?? Tout ce foin pour ça? Et ben mes cocos y'a certaines choses que je comprendrais jamais...scénario incompréhensible, raccourcis narratifs que même dans un film Cannon on en trouve plus, mise en scène d'une platitude absolue, efets speciaux a la ramasse et la b.o la plus affreuse du monde. Tangerine Dream sans dec... Seuls les comédiens s'en tirent à bon compte. Apres on va encore me dire "film charcuté...chef d'oeuvre dans sa vision définitive...blablablamescouilles" je juge le film que j'ai vu et c"était tout naze. En plus j'était mal assis donc j'avais mal au cul et aux oreilles a cause de l'infâme score du film... Bref c'est pas jojo pour un debut de festival. Ensuite zappage de la sance de 22h Diary of the Dead que j'avais déja vu pour aller s'enfiller une bonne mitraillette à la friterie et c'est le bide plein de patates et de graisse que je me prépare pour un des (le?) films que j'attendais le plus: Machine Girl du fou furieux Noboru Iguchi. Pas de doutes on tiens un des films du festival, completement fou de la pemière a la dernière minutes, du gore, des flingues, des ninjas-yakuzas, des petites pépées, Machine Girl peut etre vu comme le Bad Boys II du V-Cinéma, le blockbuster du genre. Le public est en feu (la meilleur séance niveau ambiance je pense ex aequo avec l'affreux I Know Who Killed Me mais j'y reviendrais) on se lève on hurle tout du long. Bref le film aura marqué les esprits, du moins le mien, je l'atendais de pied ferme et je ne fut en rien déçu. Les amateurs divent se ruer dessus sans tarder. On va se coucher et on ecnhaine sur le samedi avec Dai Nipponjin OFNI japonais de comique Hitoshi Matsumoto qui emploie la technique du vrai faux documentaire pour rendre un hommage touchant et drôle au Kaiju de son enfance. Un film totalement autre à l'humour japonais, tres kitanien dans l'esprit et qui se termine sur un final bien chtarbé qui remets tous le film en question de manière absolument pertinente. Bref un excellent film qui se permet le luxe de transformer Ricky Takeuchi en monstre sauteur géant et de nous montrer des combats entre des génats totalement looser et improbable. Pour simplifier a l'extrême c'est la encontre entre Godzilla et Getting Any filmer par Morgan Spurlock. Une des autres grandes réussites du festival pour ma part. A ce moment la je me dis "Japan rules the world!!". Ensuite on passe dans la grande salle pour The Cottage, petit film anglais avec Andy Serkis et Doug Bradley. Une bonne surpris et un film qui débute par un polar british classique a la Guy Ritchie mettant en scène des bras cassé et une bimbo au langage fleuri dans un huis clos aussi absurde que tendu avant de biffurquer dans une toute autre direction. Surprenant mais très efficace. Le film est drôle, gore, inatendu et porté par un Andy Serkis plus cabot que jamais. Un film dont je ne connaissais et n'attendais rien du tout mais qui au final s'avère extrêment divertissant et prouve une fois de plus qu'il se passe vraiment qlque chose en Angleterre. En plus le réal présent s'est avéré être un excellent chanteur et s'est mis d'emblée le public en poche en faisanty reprendre My Way de Sinatra en karaoké a toute l'assistance. Bien vu mon gars!

C'est bien chauffé qu'on atque la Nuit avec [Rec] présenté par Balaguero accompagné son actrice principal, qui apres Fragiles confirme qu'il est bel et bien le meilleur chanteur du Bifff. Autant le dire tout de suite, j'ai jamzis été fan de Balguero mais force est de constater [REC] à bien calmer tout le monde,moi le premier. La tension était telle dés le début du film qu'on aurait entendu une mouche volé...et je vous parle même pas de la lividité quasi générale des spectateru a la sortie de la salle. L'impression d'avoir vécu ensemble l'histoire qui nous était proposé sur l'écran. Une expréricne de la peur vraiment viscérale. Un horror movi immersif et super flippant. Un peu long à démarrer peut être (ok jepinaille et je sodomise les mouches)mais ponctué par un final vraiment tétanisant. Dur de se remettre apres ça mais en bon bifffeur on enchaine avec A l'Interieur que j'avais déja vu et revu, j'me disait que j'allais en profiter pour pioncer un peu histoire detre en forme pour la suite mais rien à faire j'ai de nouveau été pris par cette histoire. J'aime vraiment beaucoup ce film en tout cas, les réactions de la sale était assez partagée, c'était "wouah c'est vraiment gore et mortel..." ou alors "ptain comment c'est naze...reusement que c'est un peu gore". Voila je vais pas épiloguer sur un film dont j'ai déja parler longuement. Apres ca j'en profite pour aller taper la discut tranquillement avec Alysson Paadios et les producteur du film Franck Ribière et Verane Frediani trés sympa et ravi de l'acceuil du film en tout cas. Il me diront avoir acquis les droits de The Cottage pour le distribuer en dvd. Bonne nouvelle donc. Je rentre alors que Black Water est déja commencer... 4 personns dans un arbre, un bateau retourné et un croco affamé et amorphe...et ca dure pendant une demi heure donc le sommeil me gagne petit a petit, je me réveille juste pour voir le "combat" entre la survivante et la bête. Voila l'an dernier on avait eu Primeval cette année c'est Black Water, dorénavant faudra éviter les films de croco au Bifff. Dernier film de la soirée The House, un ghost movie thai a base de maison hantée et de malédiction emballé par le réalisateur du sympathique Garruda. Bref du classique, je reste éveillé jusqu'au bout, contrairement a la majorité de la salle qui roupille ferme, pour suivre les pérégrinations d'une jeune et jolie journaliste qui enquête sur une maison hantée. C'est pas mal sur le coup mais force est de constater qu'une semaine plus tard j'avais déja tout oublier. Donc voila c'est bon pour se mater un soir ou ona rien a faire mais loin d'être indispensable.

On passe la journée au lit et de retour sur le pied de guerre a 18h pour The Substitute de Ole Bornedal. Non non ce n'est pas une enième suite a la celèbre saga dtv mais une film de S-F adolescente abase d'alien, de conspiration extraterrestre et de salle de classe. Voua savez déja vu ça quelque part? Ouais c'est normal le film passe pour un The Faculty sauce école primaire danoise. Bon c'est sympa au final, ca se laise suivre sans soucis et on a droit a quelque bonne scènes, la salle encore endormie par la nuit d'hier ne réagit pas et le film se déroule dans l'indifférence général...sauf pour le jury qui lui décernera un prix. Voila un film correct à voir à l'occasion mais sans plus. Pause bouffe en se disant "Ouais Doomsday il sort mercredi j'irais le voir a Paris tranquille, viens on va plutot bouffer". Résultat je me suis bien fait niquer mon Doomsday vu qu'il passe déja plus sur Paris une semaine apres la sortie...Vision de Shadow Spirit de Masato Harada, un film apparement de serail killer japonais auquels j'ai entrave quedalle, il a fallu qu'un pote m'explique pour savoir de quoi ça parlais vraiment. L'esthétqiue était sympa tout ça mais passer un film complexe a la narration trész éclatée a une heure du mat' c'est ptetre pas la meilleur chose à faire. Une petite journée en somme apres la débauche de bon film de ce début de Bifff. Lundi c'est aprem shopping au centre commercial bruxellois, petite moisson de skeud avant de s'enfiler X-Cross de Kenta Fukasaku, le fils de qui vous savez, en sa présence. L'affiche et le trailer m'avait fait de l'oeil et au final le film est tres cool et tiens les petites promesses que j'avais placée en lui. Une histoire un peu à la Kitamura m^lant jeune bimbo, malédiction médiéval, foret chiottes public, boogeyman et téléphone portables. Un chassé croisé a la naration alternée entre deux point de vue. Les deux amies se sépare et alternativement on suit le parcours de l'une et de l'autre afin de reconstituer le parcours et l'histoire de chacune. Tres ludique avec un esprit manga pas dégueulasse et quelques scène de fight tres bien troussée X-Cross relève le pari de la petite série B haut la main et s'est avéré une bonne surprise. On sent naître la patte de Kenta et a la vision de ses deux dernies films on se rends compte que Battle Royale II était a 90% le fil de son illustre géniteur. S'en suit une séance de question/reponse et de dédicaces avec Kenta qui me dira que son prochain film sera Sukeban2 suite de son Sukeban a.k.a YoYo Girl Cop. On termine la journée avec The Devil Dare Me To. Film neo zélandais mettant en scène une rouipe de cascadeurs bras cassé et un enfant au destin exceptionnel. Une bonne comédie même si elle n'exploita pas completement tout le potzentiel de son pitch et des tronches cassées de ses acteurs. L'ensemble est drôle et parfois loufoque mais manque un peu de folie et de white trash attitude à mon gout.

La journée de Mardi débute par le fameux et fumeux I Know Who Killed Me featuring Lindsay Lohan. La salle sera en feu durant tout le long du film multipliant les vannes et les quolibets mérités a l'encontre de ce film d'une bétise totale. Rarement vu un pitch aussi bancal. Silvertson pille sans vergogne De Palma et Argento, résultat tout tombe à plat tellement le film est mal écrit et construit. Mention spécial au petit ami de Lindsay Lohan qui a vraiment un trés beau rôle, trés interessant...bref un ratage totale, qui pour moi justifie totalemnt sa réputation de navet intégral. Un futur classique des secondes parties de soirées de TF6 et RTL9. Reste un grand moment de rigolade lors de chaque cri "Bleu" retentissant lorsqu'un un obljet de la dite couleur est visible à l'écran. Enfin cette séance s'est vue attribué mon prix de la meilleure vanne grâce à la vanne de "la chatte rasée". Ceux qui ont vu le film comprendront j'explique pour les autres (La mere possède un chat sphinx donc dépourvu de tout poil sur le corps...oui c'est con mais c'a ma bien fait marrer). Hop apres ca direction la salle 2 pour Pop Skull qui sur papier à tout pour plaire. Un film de Bad trip qui vire à l'horreur shooté en dv pour un budget de 2000$ mais au final on se tape juste un drame existantialiste sur un pauvre gars qui pour se remettre d'une rupture absorbe des cachetons qui le feront bad triper...DV dégueulasse, pas de sous titres, en même temps pour le peu et l'ineptie des dialogues du film c'est pas bien grave, un long trip arty rythmé par une bande son composée de rock hype...Un film de fin d'anne de l'IAD ou de la Femis étalé sur 90 minutes. Un vrai supplice. pour se remettre de ces neux navetons un bon Ittenbach a minuit dans la grande salle. Ittenbach à toukours un des meilleurs spécialiste mondiaux en effets spéciaux mais aussi l'un des pires réalisateurs...mais les amateur de barbque et de gore qui tâche (dont je fait partie) l'apprécient beaucoup. Sur Dard Divorce ce bon Olaf s'est pris pour Tony Scott et réalise son True Romance à lui...c'est excessivement mal réalisé, mal écrit et éclairé au Zippo, les acteur sont tous au plus mauvais mais qu'à cela ne tienne les scène gores viennent remettres les pendules a l'heure. Tres grande scène que celle du tueur se désappant completement afin de découper un cadavre face caméra les couilles et la queue a l'air...grand moment de communion avec son public. Un film totalement Z donc totalement indispensable.

Mercredi c'est relâche et la suite des aventures du Bifff au prochain numéro...


Salut,

En fait je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi en ce qui concerne l'ambiance (pour la nuit du fantastique, je n'ai pas été aux autres événements) je trouve que l'ambiance était vraiment pas mal le public sortaient des vannes tout le temps j'ai pas arrêté de me marrer (plus que d'avoir peur) et si tu te souviens notre ami Pablo était souvent cité laugh.gif , mais bon c'est la première fois que j'ai l'occasion d'y aller et donc je ne connais pas l'ambiance des autres année.
J’ai quelque vidéo sur youtube

http://www.youtube.com/watch?v=QP46kv9yvX4

http://www.youtube.com/watch?v=mRMD7UTMidY

http://www.youtube.com/watch?v=ynlx4gPY1sw

http://www.youtube.com/watch?v=zKiLngVOM4k

http://www.youtube.com/watch?v=fINTsRUDHsE

http://www.youtube.com/watch?v=CLR_7SW7BjY

http://www.youtube.com/watch?v=M3YIZCk088s

http://www.youtube.com/watch?v=g-G07pHJk8c

a+
Evil Seb
CITATION(killerbees @ 09 4 2008 - 19:35) *
Salut,

En fait je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi en ce qui concerne l'ambiance (pour la nuit du fantastique, je n'ai pas été aux autres événements) je trouve que l'ambiance était vraiment pas mal le public sortaient des vannes tout le temps j'ai pas arrêté de me marrer (plus que d'avoir peur) et si tu te souviens notre ami Pablo était souvent cité laugh.gif , mais bon c'est la première fois que j'ai l'occasion d'y aller et donc je ne connais pas l'ambiance des autres année.
J’ai quelque vidéo sur youtube

C'est toujours sympa et delirant comme ambiance mais je me souviens de quelques éditions ou c'était vraiment la fête dans la salle de Passage 44 surtout la Nuit avec ballon, rouleau de PQ et lors d'un film de vampire asiat, tout un groupe de personne imitant les vampires sauteurs sur scène devant l'écran. Pendant la projo de Versus à l'époque j'avais passé la moitié du film debout tellement c'était le bordel. Mais bon la j'avoue je fait un peu mon vieux combattants mais tous les habitués te diront la même chose. Mais cca m'empechera d'y passer 10 jours tous les ans^^

Pour prendre une comparaison à la con. La Passage 44 c'était les vieux stade avec les gradin en place debout, le Bifff au T&T c'est les nouveaux grands stades avec que des places assises.
Aniya_san
CITATION
Le Corbeau d’Or : 13 BELOVED de Chookiat Sakveerakul


Cool cool.gif
Movieboy
Pitain Evil Seb, t'as quand même pas de bol en milieu de semaine, tu as réussi à louper DOOMSDAY et SHIVER (facile l'un des meilleurs films du festival), tout ça pour aller mater POP SKULL et manger des frites...

Bon en même temps je la ramène pas, j'ai effectivement vu un paquet de films (et de bouses, faut le dire, dont le trèèèès long SHADOW SPIRIT), mais j'ai loupé quelques uns des meilleurs moments aussi : REC, DAI NIPPONJIN, MACHINE GIRL, DIARY OF THE DEAD... Les deux premiers jours, en fait.

Je reviendrais d'ailleurs sur les films vus plus tard...
jason13thh
Evil Seb je t'ai attendu pendant une demi heure on s'était donné rendez vous , t'étais où ??

dry.gif
Evil Seb
CITATION(jason13thh @ 10 4 2008 - 23:16) *
Evil Seb je t'ai attendu pendant une demi heure on s'était donné rendez vous , t'étais où ??

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Ben je sais pas, j'ai pas mal trainer a l'endroit convenu pourtant...j'étais avec un pote.
jason13thh
CITATION(Evil Seb @ 11 4 2008 - 10:31) *
CITATION(jason13thh @ 10 4 2008 - 23:16) *
Evil Seb je t'ai attendu pendant une demi heure on s'était donné rendez vous , t'étais où ??

dry.gif

Ben je sais pas, j'ai pas mal trainer a l'endroit convenu pourtant...j'étais avec un pote.



Je t'ai pas vu (avec ta description en tout cas) désolé, tant pis...

Aniya_san
CITATION(jason13thh @ 11 4 2008 - 11:12) *
CITATION(Evil Seb @ 11 4 2008 - 10:31) *
CITATION(jason13thh @ 10 4 2008 - 23:16) *
Evil Seb je t'ai attendu pendant une demi heure on s'était donné rendez vous , t'étais où ??

dry.gif

Ben je sais pas, j'ai pas mal trainer a l'endroit convenu pourtant...j'étais avec un pote.



Je t'ai pas vu (avec ta description en tout cas) désolé, tant pis...


Il n'avait pas son masque... icon_mrgreen.gif
jason13thh
Wè ça doit être ça icon_mrgreen.gif
Jean Carpentier
Les nuits du corbeau (1)

Je préfère le préciser d’entrer de jeux, cette chronique n’a en aucun cas l’intention de vous parlé de la totalité des films projetés durant cette quinzaine consacré au cinéma fantastique. N’étant qu’un être humain et n’ayant pas de pass press (ce qui est encore plus handicapant que d’être humain !), je n’ai pas pu tout voir mais j’y étais quelques fois et c’est de ces moments dont je vous parlerai.

Pour moi, le festival n’a réellement commencé que le vendredi 28 mars à 20h (j’ai loupé la soirée d’ouverture donc pas vu The eye !). Après avoir galéré longtemps pour trouver la navette qui me mènerait à bon port, j’ai enfin pu profiter de cette vingt-sixième édition du BIFFF. La salle de projection est bondée et Alex de La Iglesia est déjà sur scène. Après nous avoir entonné la traditionnelle chanson, il tente timidement de nous présenter son dernier rejeton en date: Crimes à Oxford. C’est drôle, on a l’impression qu’il s’excuse presque du film qu’il est venu nous refourguer. 1h43 plus tard, on comprend mieux le « malaise » du réalisateur ibérique, même si on est loin du zéro pointé, le flegme britannique n’a pas l’air de réussir à notre amigo déjanté. Hormis un super plan-séquence illustrant l’équation du meurtre et une sublime Leonor Watling, pas grand-chose à se mettre sous la dent. J’ai même trouvé John Hurt insupportable, c’est dire. Il faut, toutefois, saluer la volonté du cinéaste de se renouveler et puis il est tellement sympa Alex....

La soirée s’est poursuivie avec ce qui s’apparentait, à mes yeux, au plat de résistance : le Diary of the dead de Romero. Dès la séquence d’ouverture, on est rassuré sur l’état de santé du godfather of zombie : Diary of the dead enterre Land of the dead ! Avec une économie de moyens et d’effets qui force le respect, George nous offre ni plus ni moins qu’une leçon de mise en scène radicale lorsqu’il s’agit d’instaurer un climat apocalyptique. La suite est tout aussi réjouissante même si une certaine baisse de régime se fait sentir à certains moments. Quoi qu’il en soit, on passe un très bon moment devant cette énième déclinaison du mythe du zombie version caméra subjective. Comme à chaque fois chez le cinéaste, le film d’horreur cache bien plus qu’un rollercaster effrayant tournant à vide. Le sujet du film c’est avant tout l’omniprésence de l’image et l'appropriation des medias par monsieur et madame tout-le-monde. Romero traîte de ce nouveau statut d’envoyés spécial que chacun de nous peut acquérir avec son téléphone portable. L’expansion des nouvelles technologies et de ses modes de communication a pris d’assaut les préocupations de nombreux réalisateurs ces derniers temps : de Cloverfield à Redacted en passant par Rec dont je vous reparlerai plus tard, souriez vous êtes filmés partout ! Il faut encore saluer l’intelligence de Romero tant la manière dont il aborde cette thématique est particulièrement pertinente dépassant ainsi l’aspect : effet de mode. Aucun doute là-dessus, Diary of the dead vous prendra aux tripes.

Pour finir la soirée en beauté, le Japon nous a offert une œuvre totalement barrée et jouissive comme elle seule en a le secret, j’ai nommé : Machine girl. Voilà un grindhouse movie, un vrai ! Assumant pleinement son esprit z, le métrage accumule les morceaux de bravoures totalement barges pour notre plus grand plaisir de cinéphile déviant. Gore à souhait, Machine girl est contrebalancé par des séquences tellement cul-cul qu’elles en deviennent incroyablement drôles. Multipliant les référence sans rester coincé dedans, c’est un vrai délire de geek qui nous est proposé. Des ninjas aux allures de Bioman, des yakuzas totalement tarés, une Asami magnifique avec son bras mitrailleur , des combats de dingues, je continue ? Attention, le film de Noboru Iguchi n’est pas à mettre devant n’importe quel public, fan de de comédies sur les trentenaires et de ch’tis sympas passez votre chemin, ici ça charcle !

À suivre
Movieboy
Damned, ça avait vraiment l'air très bien, cette projection de MACHINE GIRL (tout comme celle de REC, apparemment) !

Tant pis, j'y suis finalement resté 10 jours, et j'ai vu à la place tout ça :

DOOMSDAY : bon je pourrais poster une critique plus longue vu que le film de Marshall fait l'actualité, mais je dirais juste que passé la déception de voir que le film n'était qu'un hommage au mixer des titres cultes des années 80 (et de leur musique, mon dieu...), je me suis bien fendu la poire. L'ouverture est dantesque, la scène avec les camions d'intervention aussi, et je suis plutôt amateur de la partie médiévale, même si on a plus d'une occasion de se gratter la tête. Quand au final, c'est juste du sous-mad max 2, comme en italie, mais avec la thune en plus.
4/6

SHADOW SPIRIT : interminable trip japonais qui se passe après-guerre. Pêle-mêle, on y trouve un exorciste, un médium, un écrivain serial-killer, un savant fou, une fille sans membres, un binoclard philosophe, une sidekick nunuche, un flic cinéphile... bon en fait j'ai plus retenu les personnages que l'intrigue : normal, vu que j'ai rien compris à la chose !
1/6

X-CROSS : petite bisserie nippone signée par le fils Fukasaku, ca commence tout en tension, avec un récit original fragmenté en deux, puis ca se barre en sucettes avec l'intervention d'une fille increvable avec des ciseaux géants. Rien que pour ça, le film vaut le coup, d'autant que sa présence est totalement injustifiable narrativement !
3/6

LE PRINCE DE CE MONDE : ben c'est belge, ambitieux mais navrant, on dirait du Jean Rollin meets Claude Chabrol avec des acteurs en roue libre (Dreyfuss en sataniste chanoine avec des cheveux en corne, génial...) et un rythme pachidermique. Poubelle.
0/6

EDEN LOG : Ben, euh... C'est joli, certes (et encore), mais ça aurait pas pu durer une heure de moins ? Non ?
2/6

THE DEVIL DARED ME TO : Panard monstrueux pris avec ce film néo-zélandais à l'humour gras, qui cause cascades et morts poilantes, à mi-chemin entre Jackass et les ZAZ. C'est frais, c'est de mauvais goût, c'est à se pisser dessus (surtout les scènes de prison).
5/6

I KNOW WHO KILLED ME : Bon okay, c'est pas un chef d'oeuvre, loin de là. Mais je trouve quand meme quelques qualités à ce lohan-flick, principalement dûes aux vélléités artistiques de son réalisateur, qui étoffe stylistiquement son film en sachant à mon avis qu'il illustre un script totalement débile. Respect.
3/6

SHIVER : Facile l'une des quatre claques du festival, un survival-suspense espagnol qui n'aura pas le même buzz qu'un REC alors qu'il se montre tout aussi flippant (quoique n'ayant pas vu REC...). Une maison qui grince, des bois sombres, un village chelou, et un jeune héros apeuré et qui doit se cacher de la lumière pour survivre. Pas foncièrement renversant a priori, mais c'est exécuté avec une maîtrise et un sens du cadre qui donnent la banane.
5/6

THE VANISHED : Fantômes. Enfants. Japon. Plans fixes. Zéro ambiance. Piquage de nez. Rffzzzzz
0/6

TIMECRIMES : Deuxième film espagnol vu au Bifff, deuxième bonne claque derrière la nuque, cet avatar de RETROACTION possède un scénario à la logique fascinante, même si ardue à dénouer. En gros, c'est l'application filmique du ruban de Moebius, avec quelques digressions très cul, et un dénouement depalmesque apaisé qui fout le malaise. Bonnard.
5/6

THE BROKEN : Bon ben pas grand-chose à dire, c'est Body Snatchers 2, et pour deux scènes vraiment flippantes (la douche et le coup de fil), c'est zéro tension vu qu'il se passe rien (et qu'on nous explique rien non plus). Sean Ellis est un bon réalisateur, il serait ptet temps qu'il mette en scène des vrais scénarios ?
2/6

ON EVIL GROUNDS : la curiosité trash de la semaine, un film autrichien réalisé avec des bouts de ficelle, mais qui au final, se révèle assez unique en son genre. Un serial-killer ramolli du bulbe enterre un Roméo grande gueule dans son jardin, jusqu'à la tête, en attendant que la Juliette (une sado-maso fleur bleue !) vienne à son secours. Le Roméo observe l'histoire sans pouvoir bouger, pendant que l'autre se branle au téléphone, ou démastique des flics au fusil de chasse. Puis Juliette arrive et les deux jouent à Tex Avery dans la maison, en se poursuivant avec des haches. C'est drôle, c'est con, c'est bon.
4/6

GONG TAU : le retour du Cat.III, with a vengeance ! Herman Yau lâche les chiens dès la première bobine, avec une explosion de bambin traumatisante. Après, c'est plutôt plan-plan, l'actrice qui joue la mère donne envie de sortir le fusil, et puis ca se réveille à la fin, pour un déluge de gore et de scato plutôt tendu. La magie noire, franchement, c'est crade ! (PS : en bonus, la plus belle paire de seins du Bifff, moment d'émotion...)
3/6

DARK FLOORS : Les Kiss du pauvre (Lordi donc) réalisent leur propre film fantastique, avec des moyens mais sans scénario. La vision du chanteur en démon des ténèbres prouve qu'un costume de rocker sataniste est plus marrant sur scène que dans un film.
2/6

POSTAL : Ah bah ca y est, c'est vu ! On pourrait s'étendre des pages là-dessus, mais Uwe Boll a définitivement réalisé un petit film culte sur ce coup-là. Pas qu'il révèle des dons insoupconnés de metteur en scène, mais la farce est si grosse, l'humour si jusquauboutiste, le bordel anarchiste tellement assumé qu'on prend quand meme un petit pied. Après, c'est sur, ca vaut pas une intégrale South Park...
4/6

FLICK : Petit film briton pas bien pourvu en thunes, mais qui force l'admiration. Un zombie rock'n'roll revient à la vie pour démastiquer les loubards qui lui ont pété la tronche sur la piste de danse. On peut adhérer ou non à l'esthétique rétro-rouge du réalisateur, à ses embardées lynchiennes et au rôle zarbi de Faye Dunaway (une flic ayant couché avec Elvis et qui se balade avec la main du robot de Riptide !). Mais le tout donne un cachet unique à cette petite production pas comme les autres.
4/6

MOTHER OF TEARS : Madre de dios... Passé un générique imposant où tout le monde gueule dans la salle ("Ouééééé, Mozer oph tearzzzz !!!"), le ridicule reprend ses droits au bout de cinq minutes. Pas de doute, Argento a les yeux embrumés et une envie de faire du gore qui pue en tête. Ca charcle bien, mais c'est nul, nul de chez nul, sans aucun humour ni second degré (involontaire ?), le père trouve encore le moyen de filmer sa fille à poil, et la mascarade s'achève avec un éclat de rire qui sonne comme du foutage de gueule, au moins autant que la pitoyable chanson de fin.
0/6

THE RAGE : Du gore, en veux-tu, en voilà, dans cette bande Z azimutée où le Wishmaster himself transforme des cobayes pas volontaires en zombies finis. Sympa, mais un peu abrûtissant à force d'approximations.
2/6

ISLAND OF LOST SOULS : Gros coup de coeur pour ce "Harry Potter" danois, un film pour enfants vraiment bien foutu, où une ado sorcière affronte un méchant sorcier sur une île perdue. La musique claque comme du John Williams, les SFX en imposent, l'humour est bien vu et pas débilitant...un vrai plaisir.
5/6

FRONTIERE(S) : Nan, mais d'accord, c'est un vrai survival, mais c'est quand même mal joué, mal filmé, et approximativement scénarisé (le contexte extrême droite au pouvoir, putain, j'en ris encore). Le Bihan est tellement over the top qu'il m'a bien calmé pour le coup. Jouer tout un film en gueulant, ça doit être cathartique quand on joue dans DISCO juste après...
2/6

EXTE HAIR EXTENSIONS : Boaf, bon sujet pour un délire japonais (les cheveux qui tuent !), mais ca s'étire sur deux heures, alors qu'on aurait pu en faire un simple sketch. Fun, donc, mais oubliable.
2/6

JACK BROOKS MONSTER SLAYER : Après Doomsday, deuxième ode aux années 80, côté "latex monsters" cette fois. Le héros du titre est plutôt sympa dans le genre "à part" (c'est un plombier sujet à de subits accès de colère), mais c'est Robert Englund, dans un rôle sur mesure qui emporte le morceau. En professeur mutant, il m'a arraché les plus gros rires de la quinzaine, parfois avec une simple idée de gag visuel. Sinon, c'est bien torché, plein de craignos monsters et de bonne humeur. A quand la suite ?
4/6

VEXILLE : nouvel opus du réalisateur d'APPLESEED, et même maestria technique, mise au service d'un scénario politico-futuriste. Ca tape fort sur le Japon, ce qui va à contre-courant de la tendance patriotique du moment, et quelques pures scènes de SF (dont une avec la musique que dans le final de THE MIST) arrachent la rétine. Bonne surprise.

13 BELOVED : grand prix du festival et grosse claque thailandaise, mix entre THE GAME et CHUTE LIBRE, qui va jusqu'au bout de son concept tordu (un type doit remporter 13 épreuves pour gagner une fortune, mais chacune d'entre elles l'emportent plus loin dans l'amoralité). C'est atrocement bien vu, on pourra chipoter sur la conclusion, mais l'ensemble est terrassant parce qu'il joue sur le côté ludique du pitch, tout en accentuant le malaise du spectateur-voyeur. Là bas, le film est décrit comme une réponse à l'invasion de la télé-réalité, qui vient juste d'arriver. C'est pas chez nous qu'on montrerait des mecs au bout du rouleau faire pleurer des gosses pour remporter un jeu !
6/6

THE COTTAGE : Nouvel exemple anglais de mariage réussi entre comédie et horreur. Un petit côté SEVERANCE pour la rencontre avec des bouseux psychopathes (et le coup du piège à loup), mais sinon, c'est surtout une petite réussite avec des personnages brillamment écrits, une économie de moyens qui fait qu'on ne s'ennuie pas une seconde, et des moments gorasses à souhait. Yabon !
4/6

THE SUBSTITUTE : Petite comédie fantastique pour enfants venue du Danemark. En gros, c'est THE FACULTY au collège, avec des poules en guest-star et une jolie idée d'alien anthropomorphe et connecté à une boule de métal qui fait office de vaisseau spatial. Les enfants sont très bien aussi.
3/6

THE FALL : Déception pour le nouveau Tarsem Singh, un somptueux livre d'images qui se révèle bien creux et larmoyant, et échoue là un del Toro y parvient, c'est-à-dire à émouvoir en associant l'innocence et la cruauté des contes le tout dans un contexte adulte. Un futur hit pour les écrans plats haute définition, mais malheureusement pas un grand moment de cinéma.
2/6

SHADOWS IN THE PALACE : Un film de fantômes coréen pour finir ! Un de plus, mais en costumes, mixé à une enquête sherlockholmsienne, façon BLOOD RAIN. Casting presque exclusivement féminin, donc difficile de repérer au fil de l'histoire chaque personnage, vu qu'elles sont toutes habillées et coiffées presque pareilles ! L'excessive complexité du scénario n'aide pas. Mais une bonne atmosphère quand même.
4/6

et donc, pas vu : THE DEVIL'S CHAIR, THE SIGNAL, EPITAPH, SHUTTER... a priori, pas que des chefs d'oeuvre. Mais je verrais THE MACHINE GIRL, en tout cas ! Un jour !


Evil Seb
CITATION(Jean Carpentier @ 11 4 2008 - 12:34) *
une Asami magnifique avec son bras mitrailleur , des combats de dingues, je continue ?

J'vais rectifier en disant que le rôle titre et joué et bien joué par Minase Yashiro. Asami c'est l'autre, l'experte en mécanique auto^^
Jean Carpentier
CITATION(Evil Seb @ 16 4 2008 - 16:52) *
CITATION(Jean Carpentier @ 11 4 2008 - 12:34) *
une Asami magnifique avec son bras mitrailleur , des combats de dingues, je continue ?

J'vais rectifier en disant que le rôle titre et joué et bien joué par Minase Yashiro. Asami c'est l'autre, l'experte en mécanique auto^^


Merci et sinon la maman yakuza, c'est qui?

Elle est bien wallbash.gif je trouve...
molasar
Sans oublier...:

http://cine-cure.skynetblogs.be/archive-week/2008-15
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