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Version complète : BIFFF 2007
Mad Movies > Forums Discussions > Débats
Pages : 1, 2
Syd
La daube d'hier :
-In the name of the king, en avant-première mondiale et en présence d'Uwe Boll HAHAHA !!! Comment a-t-il trouvé $65 000 000 et un casting pareil pour tourner cette bouse sans nom ? Le médiéval fantastique dans tout ce qu'il a de plus cliché..........
1/6 (Parce qu'on a bien rit à certains passages).

-Death Note 1 : bien que ne l'ayant pas lu, je trouve qu'on voit trop les ficelles du manga original (ados machiavéliques, répercutions internationales, retournements répétitifs etc.) Mais l'ambiance reste sympa et la musique est bien exploitée. En revanche, le Dieu de la Mort est numériquement super raté (même Roger Rabbit eut été plus crédible).
3/6

-The Abandonned : bon petit film claustro, même si assez convenu dans l'ensemble. L'aspect faille temporelle n'est pas assez développé/expliqué. Nacho Cerda réussi néanmoins à rendre l'ensemble trippant. On ne s'emmerde pas.
4/6

-Ferryman : le film du jour. Un excellent dosage de fantastique, d'humour, de gore, d'auto-dérision... et visuellement léché (même si -décidément- le personnage de la mort/Charon est visuellement raté : on dirait un Uruk Haï sorti de son oeuf du Seigneur des Anneaux...).
4,5/6

-End of the line : ambiance angoissante sympa. Les allumés chrétiens sont bien barrés. Les "héros" sont assez crédibles, pas caricaturaux. Les yeux des démons sont rouge-phare-de-vélo mais on les apprécie quand même. Avez-vous capté l'importance des muffins ?
4/6
Evil Sam
Vu également hier The abandonned, In the name of the king et End of the Line.

Alors, le premier était bien foutu, il y a une super ambiance bien inquiétante et angoissante. Je suis bien rentré dans l'atmosphère morbide du film. 4/6

Le second est une nouvelle daube à mettre à l'actif de ce tâcheron d'Uwe Boll. 0/6

Et le troisième était bien, vu le petit budget que c'est, c'est une belle réussite dans l'ensemble. C'est violent, y a des gosses qui crèvent et c'est aussi marrant. 3.5/6 Mais j'ai rien capté à cette histoire de muffins?! huh.gif C'est quoi l'importance des muffins?? Hein? Hein? unsure.gif
Vermithrax Pejorative
CITATION(Syd @ 12 4 2007 - 11:56) *
La daube d'hier :
-In the name of the king, en avant-première mondiale et en présence d'Uwe Boll HAHAHA !!! Comment a-t-il trouvé $65 000 000 et un casting pareil pour tourner cette bouse sans nom ? Le médiéval fantastique dans tout ce qu'il a de plus cliché..........
1/6 (Parce qu'on a bien rit à certains passages).


Fais tout de même gaffe icon_mrgreen.gif

-----> http://www.youtube.com/watch?v=tqbVb-W7GqI
Evil Seb
Hop de retour d'une dizaine de jour de Bifff intensif. Un festival mitigé...pas tres fan du nouveau lieu(loin de tout, pas de crache thunes a 2 bornes a la ronde,...) ni de la salle (plus grande donc moins d'ambiance et surtout disparition de la course de rafting et de quelques gimicks propre au projection,...mais bon la je fais un peu mon vieux con^^).

Bon la programation pas extraordinaire cette année non maisq quelques bon trucs quand même, j'en reparle bientôt avec un compte rendu complet ninja.gif
Slimdods
Dog Bite Dog sur grand ecran, ça devait péter quand même!
Evil Seb
CITATION(Slimdods @ 16 4 2007 - 12:53) *
Dog Bite Dog sur grand ecran, ça devait péter quand même!

Ouaip ca petait sa mère...et le film est encore 10 a 20% meilleur par rapport à la vison dvd.
Evil Seb
La Colline à Des Yeux II de Martin Weisz
Bon ben comme prévu cette séquelle n’arrive pas au petit orteil du film de Aja. Pour prendre une comparaison foireuse ce deuxième épisode est au film de Aja ce que The Cave est à The Descent. Tout est moins bien, les personnages, des G.I en goguette dans le désert sont insignifiant, une psychologie tellement torchée qu’on retiens à peine le nom de chacun. Donc absolument aucun moyen de s’identifier à qui que ce soit et on se fout royalement de savoir qui va crever ou pas. Pareil traitement pour les mutants, ceux-ci étaient très bien écrits dans le premier opus, ici, rien du tout, les mutants sont justes des mutants sans aucun caractère, rien du tout. Le scénar a subi le même traitement, linéaire, prévisible à souhait, toute personne ayant vu deux films du genre dans sa vie sait exactement ce qu’il va se passer et à quels moments, en gros on s’emmerde. Pour ce qui est de la violence, la aussi on est loin de La Colline…ya du gore oui, mais du gore cheap et pas une violence viscérale et agressive comme le tandem des frenchies a su le faire. En gros le film part d’un bon concept : des G.I débutants au prises avec des mutants, au final un film raté même si quelques scènes sympa sorte du lot.
2/6

Night Of The Beast.

Un beau foutage de gueule si je peux me permettre, aucun bon film dont deux énormes merdes...pas cool Freddy!! dry.gif

Primeval de Michael Katleman
Très mauvais. Déjà c’est pas un film de monstres, ben ouais 10 minutes d’un croco géant en CGI ça fait pas un film de monstre. La chasse au croco n’est qu’un gentil prétexte trouvé par le réal pour faire passer son message politique à trois centimes. Donc voila on a droit a des images d’Epinal de l’Afrique, musique africaine à l’appui bien sur pour appuyer le coté ethnique du projet. On greffe un scénar hyper attendu la dessus, en gros une troupe de journaleux parti faire un article sur le croco géant se retrouve confronté a l’horrible corruption de l’Afrique et tout le tintouin habituel. Le tout est très mal filmé et parsemé d’images en DV complètements inutiles. Ouais au final un gentil « survival » grand public qui plaira à Papa-Maman grâce à son exotisme de pacotille. Circulez y’a rien a voir. Puis appelez un croco géant mangeur d'homme c'est la loose...
1/6

Mulberry Street de Jim Mickle
Deuxième film de la nuit. Le seul film dont je ne savais rien du tout, aucun acteur vaguement connus, pareil pour le réal et aucune idée du scénar non plus. Première mauvaise surprise le film est tourné et projeté en vidéo. C’est vilain, très vilain. La photo est dégueulasse et basée presque exclusivement sur des filtres jaunes et verts du plus moche effet. L’histoire ? Un vague mix entre les rats de Manathan de Mattei et 28 Jours Plus Tard de Danny Boyle mais moins bis que le premier et moins maitrisé que le second ce qui fait qu’on s’ennuie ferme et que nos paupières commencent à faire lourde. Faut dire qu’il est trois heures du matin et qu’on sest taper deux vieilles bouses avant…
1/6

Kaw de Sheldon Wilson.
Un des film que j’attendais vu que Wilson m’avait bien scotché avec son Shallow Ground vu au Bifff ya deux ans. Wilson ne transforme pas l’essai malheureusement et signe une gentille série B qui ne devrait pas aller plus loin que le marché du direct to DVD. Une pâle copie des Oiseaux de Hitchcock tourné dans la campagne ricaine. Ce Kaw est emballé avec soin et sérieux, Wilson a toujours un bon sens de la mise en scène mais tout ça est vraiment trop cheap, décors sans âme et surtout sfx foireux. Une nuée de corbeaux en CGI c’est vraiment pas la joie. Un film décevant qui ménage malgré tout son petit suspense de temps à autres mais bon c’est vraiment très maigre…
2/6

Vampire Cop Ricky de Si myung Lee.
Une comédie fantastique coréenne dans la tradition je dirais. C'est-à-dire que sa part un peu tous les sens sans qu’on sache vraiment pourquoi. Une scène fantastique est suivie d’une scène de baston qui est elle-même suivie d’une scène de comédie grasse enchaînée avec une scène dramatique. Mais le mélange des genres est une spécialité du cinéma locale. Ce Vampire Cop Ricky ne déroge pas à la règle et donne lieu a un gros gloubiboulga d’influences. Chacun y trouvera son compte et sera réceptif à l’une ou l’autre scène mais au final on ne sent pas vraiment de lien solide entre tout ça. Le film est aussi un peu long, surtout vers la fin mais apporte son lot de bons moments. Mon avis est peut être faussé par le fait que j’ai vu ça a 6h du mat avec un regard et un cerveau plus tout à fait frais.
3/6


Aachi & Ssipak de Bum-bin Joe
« A Shit City, un seul critère permet de déterminer la valeur d’un être humain : l’activité de ses sphincters. Dans une ville où la seule source d’énergie est le fruit d’un travail intestinal bien mené, tous les individus ont une puce implantée dans le rectum et chaque démoulage est récompensé par une sucette contenant une puissante drogue, favorisant le transit. » Voila pour le pitch de ce dessin animé survolté, transgressif et régressif. Un film barré mais indiscutablement fun, blindés de références cinématographiques ; La Haine (le perso principal est une caricature de Vinz, Basic Instinct, Misery et surtout True Romance dont la fameuse gunfight est citée en quasi intégralité. Il faut parfois s’y retrouver dans ce scénar parfois confus mais même dans ses moments un peu plus faibles, le film est porté par une énergie et un envie jamais feinte. Les scènes d’actions sont dantesques, à ce titre la scène d’intro est hallucinante de maîtrise et d’inventivité. De l’action, du caca, de l’énergie a revendre. Du très bon, et c’est un madnaute réfractaire au cinéma d’animation qui parle.
4/6

A.P.T de Byung-ki Ahn
Ahn on commence à connaître. Phone et Bunshinsaba était de bons films dans leur genre : le film d’horreur « à l’asiatique ». Une fois de plus, rien de nouveaux sous le soleil, on est dans de l’ultra balisé. De l’ultra balisé certes, mais bien fait. Tous les soirs à 21h56, quelqu’un meurt dans un immeuble. On se doute très vite du fond de l’histoire, à savoir un fantôme revanchard aux longs cheveux noirs. Pas de quoi sauté a plafond. Toutefois le film est plutôt bon, mis en scène avec application et sérieux, scénar vu et revu mais sommes toute assez carré, interprétation intéressante, esthétisme léché tout ça tout ça mais vraiment aucune originalité. C’est comme si on mangeait un plat dont on connaît tous les ingrédients par cœur. Si c’est bien préparé c’est toujours bon mais ça devient lassant. C’est exactement le cas ici. Tous les réfractaires au films de fantômes au cheveux longs passeront leurs chemin, les amateurs par contre n’y trouverons pas grand-chose à redire.
3/6

Jade Warrior de Antti Jussi-Annila.

Le voila enfin ce fameux wu xia finlandais produit en collaborations avec la Chine. La bande annonce avait attiré l’œil de films de bastons asiatiques. Et ben la bande annonce était complètement mensongère…sur un film de deux heures, on doit avoir droit à trois minutes de bastons en tout et pour tout, ce qui est bien peu. Et encore des bastons molles et sans originalité. Ca passe encore si l’heure cinquante sept restante était d’un excellent calibre mais c’est pas le cas du tout. On doit se farcir un scénar confus parsemé de flash backs et de flashs forwards difficilement compréhensible, un semblant de légende nordiques et un lien avec la Chine complètement capilotracté. La réalisation est télévisuelle, le tout manque de rythme et de souffle, les acteurs sont anti charismatique. Le perso principal ressemble à un mix entre Gary Oldman, Jerry Cantrell avec le charisme de l’intestin grêle de Steven Segal. Deux heures très mauvaises et emmerdantes compilées en un mix indigeste de Nightwatch, Matrix et The Blade…
1/6

Unholly Women de Keita Amemiya Takuji Suzuki & Keisuke Toyoshima

Un film à sketches japonais. Le film a skecthes est toujours un exercices casse gueules, les franches réussites sont assez rares. Ce Unholly Women n’en est pas une, mais ce n’est pas non plus un énorme ratage.

Rattle Rattle ouvre le bal. Une histoire de fantôme revanchard de plus, si ce n’est que celui ci est particulièrement néfaste et tenace. Pas moyen de s’en débarrasser. Ce premier segment est le moins bon des trois pour une raison principale : son fantôme. Quand on fait un film de monstres, le monstre c’est 50% du succès du film et ici le fantôme est d’un ridicule sans nom, franchement c’est pas possible quoi, il est trop moisi ce fantôme. Collé des cheveux long sur le visage de Popeye le marin imitant De Niro et vous aurez une vague idée du look général. Le reste st pas mieux, les décors sont vraiment trop cheap, ok c’est du V cinéma mais quand même, la comédienne principale est livrée a elle-même et alors la fin…la fin c’est un grand moment de n’importe quoi…Très très mauvais.

Hagane suit le très mauvais Rattle Rattle. Et la on joue dans une autre cour. Déjà on sort des sentiers (re)battus du film d’horreur à l’asiatique. Ici on est plus dans l’absurde horrifique je dirais. Le film mets en scène une femme dont on ne voit que les jambes, son tronc et sa tête sont cachés par un sac en toile de jute. Ca me faisait un peu penser à Jennifer d’Argento mais tourné par Tsukamoto. La mise en scène est très bonne a mi chemin entre l’expérimentation et la mise en scène plus conventionnelle, l’histoire, si on en accepte le postulat de base se tiens. Enfin bref in très bon segment, de loin le meilleur de cette anthologie.

The Inheritance ferme la bal avec à nouveau une histoire de fantôme, mettant cette fois en scène une famille et un jeune garçon. Un film de facture honnête, très classique dans son approche et son esthétique, le film est bien fait, bien écrit bien joué mais il est vraiment temps d’arrêter avec ces films de fantômes maintenant. J’en ai vu tellement que j’en viens à tout mélanger. J’ai vu celui ya une semaine et j’ai déjà oublier sa résolution c’est dire.

Unholly Women vaut surtout pour le segment Hagane. Plus original, plus maitrisé et c’est celui qui s’accomode le mieux des limites du V-cinéma.
3/6


C'est tout pour cette fois...la suite au prochain numéro.
Evil Sam
CITATION(Evil Seb @ 16 4 2007 - 11:51) *
Hop de retour d'une dizaine de jour de Bifff intensif. Un festival mitigé...pas tres fan du nouveau lieu(loin de tout, pas de crache thunes a 2 bornes a la ronde,...) ni de la salle

Bon la programation pas extraordinaire cette année non maisq quelques bon trucs quand même, j'en reparle bientôt avec un compte rendu complet ninja.gif


Pour le crache thunes, il y en avait un dans le bâtiment juste en face rolleyes.gif Et je trouve qu'ils se sont pas mal débrouillé à amménager ce nouvel endroit. Pour une première, je trouve que ça va.
Au sinon, pour la salle, le gros bémol c'est la visibilité des sous-titres électroniques. Ca c'est la merde.
Et j'ai l'impression que t'as vu les plus mauvais films aussi...

Bon alors, les derniers films vus:
Broken: un petit film sans le sou bien viscieux et gorasse. Vu le budget, c'est pas mal. Même si c'est parfois ridicule (notamment la coupe de cheveux du tueur! laugh.gif ) 3/6

Jade Warrior: chiant à mourir. J'me suis cassé après 1h. ?/6

The Return: chiant à mourir. Je suis resté jusqu'à la fin mais j'ai regretté. 0/6

The Host: excellent! Le film de monstre qui déchire sa maman. Toutes les apparitions du monstre sont géniale, les persos sont excellents, la mise en scène superbe. 5/6

Unknown: bof. C'est pas le casting de feu qui sauve le film. Il se passe pas grand chose, ça manque d'ambition,... Vite oublié. 2/6

Hot Fuzz: la comédie de l'année! Ou quand les types de Shaun of the dead détournent les actioners à la Michael Bay. Grandiose! Hilarant! La fin est énorme! Les meurtres sont aussi graphiques que dans un épisode de Itchi & Scratchi! Putain, j'ai hâte de le revoir! 5/6

Nightmare detective: un Tsukamoto mineur. Mais ça reste pas mal, malgré un final bordélique et peu compréhensible. 4/6

The Unseeable: Wisit Sasanatieng s'attaque au film de fantôme classique. Beaucoup de clichés dans ce film lent mais dont se dégage une certaine atmosphère romantico-spectrale. 3/6
LeFab
Eh bien! On dirait que 25è anniversaire = 25% de bons films! Du coup je suis pas déçu de ne pas y être allé! closedeyes.gif
Evil Sam
Bé moi, je ne regrette pas d'y être allé (et d'y retourner ce soir pour voir Black Sheep).
D'autant que j'ai pu y rencontrer/croiser Christopher Lloyd, Dario Argento, Lloyd Kaufman, William Lustig, Brian Yuzna, Dominique Pinon, James Gunn ou encore la sublime Laura Harring wub.gif
ICE_T_62
CITATION(Evil Sam @ 16 4 2007 - 16:11) *
Bé moi, je ne regrette pas d'y être allé (et d'y retourner ce soir pour voir Black Sheep).
D'autant que j'ai pu y rencontrer/croiser Christopher Lloyd, Dario Argento, Lloyd Kaufman, William Lustig, Brian Yuzna, Dominique Pinon, James Gunn ou encore la sublime Laura Harring wub.gif


Et voilà, moi qui ne pouvait pas y aller et les rencontrer je suis encore plus déçu. T'as décidé de me pourrir ma journée ou quoi? wallbash.gif

dry.gif

ninja.gif
vendetta
Ah bin j'ai croisé Christopher Lloyd ainsi que Lloyd Kauffman également. Je t'ai ptet croisé sans m'en rendre compte, sam.
Evil Seb
Je ne regrette pas non plus, seulement bon j'ai conu de meilleurs Bifffs quoi. Sinon dégouter par l'annulation de Tsukamoto... dry.gif
Evil Sam
Wé, très déçu aussi par l'annulation de Tsukamoto...
Bon allez, en route pour Tour et Taxis (et ce, pour la dernière fois, snif)!
Evil Seb
Death Note de Shusuke Kaneko.
Bon alors je commence par dire que je ne connaissait absolument pas le manga duquel est tiré ce film et qu’avant de le voir je m’étais repus de critiques négatives sur cette adaptation., c’est donc avec un peu d’appréhension que je me rends dans la salle de projection. Finalement j’ai bien aimé ce film, ne connaissant rien du manga, de l’histoire ni des persos je me suis laissé porter par le scénario et ce concept simplissime mais très efficace. On retrouve un esprit manga via les personnages, les jeunes ados surdoués sont des personnages récurrents dans ce type de littérature (notamment le perso de L. que j’aime beaucoup), les flics aussi et quelques péripéties parfois limite crédible viennent encore accentuer cette impression. Si on passe outre les quelques invraisemblances scénaristique, l’ensemble se tiens et se laisse suivre avec intérêt je trouve, on se prends au jeux et on se laisse porter par l’intrigue. Apres bien sur c’est pas non plus un film extraordinaire, il comporte son lot de défauts comme une interprétation parfois aléatoire, des sfx pas toujours au top, le Dieu de la Mort est « bizarre » on va dire mais bon ça ne viens pas trop gâcher le plaisir d’autant plus que le tout est bien emballé par Kaneko qui se contente de bien dérouler les péripéties sans en faire des tonnes. Un bon gros film qui devrait bien cartonner auprès des ados.
4/6

Death Note II de Shusuke Kaneko
Grosso modo pareil que pour le premier épisode. Après la fin ouverte du premier opus j’avais hâte de suivre les aventures du Death Note et de son propriétaire. Kaneko reprends les choses la ou il les avaient laissées à la fin du premier épisode. Poussant encore plus son concept de base, cet épisode se laisse suivre comme un épisode de serial en fait. On retrouve les mêmes persos, les mêmes situations mais poussées à leur paroxysme. On peut encore être rebuter par l’incrédibilité de certaines situations, la facilité parfois déconcertante avec laquelle L. déjoue les plans de Light. Cet épisode pose plus de questions du type « un grand pouvoir entraîne…blabla vous connaissez la suite » et mets en parallèle la soif de justice de Light etles moyens qu’il mets en œuvre pour y arriver. Le tout se complique encore avec l’apparition d’un second livre, et les allées et venue entre ses deux livres sont parfois un peu bordélique mais malgré ça, on se laisse prendre au jeu et certaines scènes ménage un bon suspense qui tiens en haleine jusqu’au bout. Une fois encore on ressens l’esprit manga dans la dernière partie du film et ses moult rebondissements à n’en plus finir mais bon. En plus dans cet épisode ya Erika Toda et ça c’est bien.
4/6

The Abandonned de Nacho Cerda.
J’ai du raté les dix premières minutes pour cause de rencontre avec Shusuke Kaneko donc bon peut être ça à jouer sur ma réception du film mais je ne pense pas, c’est juste que j’essaie de trouver une excuse pour laisser une seconde chance au film de Cerda vu que la vision de celui-ci s’avéra être la grosse déception du festival. Un avis apparemment partagé par la plupart des personnes présentes dans la salle. Les points positifs d’abord : la mise en scène de Cerda est toujours excellente et maîtrisée jusqu’au bout des ongles par l’espagnol, l’esthétique est parfaite aussi, des teintes sombres et humides pour la maison, des teintes plus pâles pour l’extérieur. A ce niveau la rien à redire, on peut même parler de fidélité a « l’école espagnole ». Maintenant un beau film ne fait pas un bon film et c’est la que le bât blesse. L’histoire est sans intérêt, encore un film de fantômes classique au possible avec pour seule nouveauté une petite perturbation du continuum espace temps. Il ne se passe pas grand-chose, la plupart du temps on suis une héroïne apeurée se balader dans des couloirs humide et sombre. Cerda ne parviens pas à mettre du rythme et à intéresser le spectateur à son histoire. Puis pour un film fantastique, c’est à aucun moment flippant ni même angoissant, juste chiant, chiant et chiant. Un exercice de style vain dans lequel Cerda démontre qu’il sait manier la caméra mieux que quiconque mais bon ça on le savait déjà plus ou moins. Beau mais chiant.
2/6

In The Name Of The King de Uwe Boll.
Pour moi sans conteste le grand moment du festival. Pas le film en lui-même bien sur mais plutôt la rencontre publique de Uwe Boll, un grand moment de surréalisme comme seul la Belgique peut en fournir mais ca j’y reviendrais plus tard. D’abord le film, bon ben un Boll on sait ce que c’est. Mais pour une fois, on peut déceler un mieux, j’ose le dire, In The Nmae Of The King, fausse adaptation de Dungeon Siege est son meilleur film. En même temps vu la tronche des précédents c’était pas difficile. Le premier quart d’heure est même bon, Uwe prends son temps et présente ses personnages, Statham, Forlani, Perlman, tout le casting défile et viens faire coucou à la caméra. J’avoue que passée ses quinze première minutes j’était surpris, le film était plutôt bon puis arrive la première scène d’action et la, c’est le drame, l’accident bête. On retrouve Uwe dans toute sa splendeur. Des scènes d’actions illisibles, incompréhensible même, un découpage complètement a la ramasse, des plans aléatoires et un montage plus qu’épileptique, et pourtant c’est un fan de Bay qui vous dis ça. Le tout saupoudré de sfx dont la qualité passe de Weta à Paintbrush…en même temps ya 25 boites différentes qui ont bossé sur le projet. Les acteur eux aussi sont divisé en deux catégories : les infâmes (Matthew Lillard insupportable de cabotinage, Ray Liotta qui se demande toujours en quoi consistais son rôle, Burt Reynolds, Reese Davies qui a du se chopper une paralysie faciale depuis LOTR…) et les plutôt pas mal (Perlman, Statham et les filles Sobieski et Forlani). Donc voila au finla on a un pauvre film foireux mais quand même cinématographiquement parlant le moins mauvais de Uwe.

Maintenant la rencontre de Uwe Boll avec une vingtaine d’heureux élus dont moi et le moins qu’on puisse dire c’est que le Uwe il est vachement « pissed off » et doit plus avoir trop de potes dans le milieu. Il commence par un laïus de quinze minutes sur les States post 11/09 , sûrement énervé qu’on veuille lui interdire Postal, qui quoiqu’on en dise à l’air vachement fun, il se met a gueuler et a taper sur tout ce qui ressemble de près ou de loin a un ricain. Ensuite il critique un peu l’Academy des Oscars e disant qu’il ne plébiscitent que des films de merdes (Brokeback, la vie des autres,…tout le monde en prends pour son grade). Il estime que tous les films récents sont grosso modo mauvais et que lui seul fait de « movies with balls. Pourquoi faire des films sur la Stasi ou « fucking Hitler, they’re fuckin’death, I made movies about George Bush and Ussama Ben Laden ». Ensuite le meilleur pour la fin, d’abord il réponds au questions concernant ses fameuses bastons contre les critiques en donnant comme argument que lui quand on l’attaque il répond alors que la majorité des autres réals se contente de parler dans les magazines et qu’il cassera encore la gueule à qui veut. Les ricains c’est fait, les journalistes c’est faits, les films récents c’est fait maintenant il lui reste a placer une ou deux petites phrases assassins à l’encontre de ses pairs. Je n’ai malheureusement pas bien compris ce qu’il disait sur Tarantino, tout mort de rire que j’était mais par contre il n’a pas raté Clint Eastwood et son diptyque sur la « guerre » qui pour Uwe sont des films inutiles, sans intérêt et dont on connaît la fin avant même de les avoirs vus, il ajoutera aussi que Clint n’est pas un bon réal et que Michael Bay est un « arrogant asshole » qui fait des films d’actions. Tout ça sans oublier de répéter que même si ses films ne marchent pas en salle, il reste un gros vendeur de dvd et que si toute la salle se marrait durant les scènes d’émotions c’est que l’ambiance du festival fait que le public n’est pas réceptifs a ce genre d’émotions tout en assurant que lorsqu’on regardera le dvd seul chez soi on en aura les larmes aux yeux. Ah j’espère qu’il ne changera jamais ce Uwe.

Daywatch de Timur Bekbamentov.
Ouhlala que c’est mauvais. En gros et pour résumer brièvement le même que Nightwatch mais en pire. Un maelström d’influences diverses complètement foiré et totalement à la ramasse. Tout est a jeter dans ce Daywatch, la réal qui se la pète à fond a coup de ralentis matrixien, le design est ridicule, sans déconner on dirait une parodie de Kad et O, des mecs qui se bastonnent en peignoir de bain, des chemises a fleurs, des look de clodos, des chapka élimées, tout est a jeter. La musique est infâme elle aussi et passe du coq à l’âne sans qu’on retienne un seul thème, le réal ne maîtrise absolument pas sa mythologie, les personnages font tout et leur contraire, la majorité des scènes ne font absolument pas avance le film, bien au contraire, après deux heures de films on se retrouve exactement au même point qu’aprés les vingt première minutes de Nightwatch. Les persos font des trucs sans que personne ne sache vraiment pourquoi. Une bonne projo parce que bonne ambiance en salle, les vannes fusaient mais très mauvais film.
1/6

Poultrygeist de Lloyd Kaufman
Comme toujours avec Troma on sait à l’avance ce qu’on va voir mais on est malgré tout jamais déçu et ce fut une nouvelle fois le quoi avec Poultrygeist, portnawak comme seule la boite de Kaufman et Herz sait en faire. Le film était d’ailleurs projeter en première mondiale sur un grand écran, c’est à signaler. Le film restera dans les annales du Bifff tant il transgresse tous les interdits niveau sexe, gore et scatologie/scatophile. Kaufman reprends pile poile les même ingrédients que Citizen Toxie, ajoute des scène musicales et emballé c’est pesé, une nouveau délie made in Troma est né ! En plus du gore et du sexe, les films Troma sont aussi ouvertement anarchistes. Tout le monde en prend pour sa gueule, les républicains, les démocrates, les cathos, les juifs, les musulmans, les gays, les lesbiennes, les écolos, les chasseurs, les gros, les bimbos, les moches, les handicapés, les indiens,…pesonne n’est épargné. Au niveau des scènes cultes on retiendra les nombreuses effusions gores dues aux arrachage de tête à coups de becs géants, l’enculage de poulet mort, l’explosion de merde d’un gros obèse qui n’est pas sans rappeler Street Trash et la scène d’intro bien sur mettant en scène un fist fucking mortel ! La classe selon Troma quoi.
5/6

Hot Fuzz de Edgard Wright.
Le film de ce 25é Bifff (avec The Host mais je l’avais déjà vu donc ça compte pas vraiment). Hot Fuzz nouveau méfaits des ptits gars de Shaun of The Dead pour ceux qui auraient vécu dans une grotte ses six derniers mois, débourre sévèrement et envoie le bois bien comme il le faut. Apres s’être attaqués au zombie flick, ils dynamitent aujourd’hui le budy-hard boiled cop –movies avec talent, humour, brio et génie (j’ose le mot). Pour bien parodier un genre, il faut avant tout bien le connaître et le maîtrisé, et il ne fait aucun doute que Edgard Wright connaît ses classique sur le bouts des doigts allant même jusqu'à réhabilité un sommet du genre (dont je suis fan) vomi par la grosse majorité du public. C’est avec joie que je me suis pris cet hommage en pleine face. Pour le reste on est en terrain connu, l’humour est toujours présent, le film est globalement plus drôle que Shaun et les tics de mise en scène de Wright sont encore accentué (montage cut, zoom sonore et visuel, séquences surdécoupées ) la scène d’intro en est d’ailleurs le parfait exemple. Les comédiens sont excellents (big up a Tim Dalton incroyable dans son rôle de boss de supermarché) le tandem Pegg-Frost fonctionne à merveille, leur rencontre au commissariat est a se pissé dessus. Pegg st crédible en flic hard boiled avec ses faux airs de David Morse fringué en swat et le cure dents Chow Yun Fat au bec ! Pour moi Hot Fuzz est meilleur que Shaun,, faut dire que j’aime beaucoup ce dernier mais je suis pas un fan hardcore. Ces mecs la ont tout compris au cinéma qu’on aime !
5,5/6, j’attends de le revoir pour mettre un 6.

Nightmare Detective de Shynia Tsukamoto.
Voila le film que j’attendais le plus de ce festival. Tsukamoto, un de mes réalisateurs préféré. Depuis quelques films Tsukamoto a fait évolué son style vers des horizons moins « cybernétique » ai-je envie de dire. La grosse coupure s’est faite avec Gemini et Snake Of June mais surtout avec Vital dont je ne suis absolument pas fan. Haze son dernier film en date remettait quelque peu les pendules à l’heure mais ce Nightamre Detective emprunte lui aussi nouvelle direction. Apres l’ère underground cyber punk, l’ère auteurisante, Nightmare Detective semble ouvrir une ère plus classique voire même plus péjorativement « grand public ». Mais attention on parle malgré tout toujours de Tsukamoto, ND n’est pas un film pour toute la famille, entendons nous bien. Seulement on voit poindre ci et la quelque envie de simplicité chez Tsukamoto, son film est somme toute linéaire et de facture classique même si chaque plan respire la style de son auteur, camera portée, montage, scènes oniriques, filtres bleus, plan urbain sortis tout droit de Tokyo Fist mais le tout est cette fois mixés avec beaucoup de gros plans sur les yeux des personnage, beaucoup de champs contre champ basé sur le regard des protagonistes introduit pour montrer que la confrontation est avant tout psychologique la ou avant Tsukamoto basait les relations entre ses personnages sur le plan physique. A ce titre la comédienne principale, l’idol Hitomi n’est peut être pas le choix le plus judicieux. Il démontre bien l’envie d’ouverture de son cinéma à un public plus large, la gamme de jeu de son actrice est limitée à une expression. On la sent parfois peu à l’aise dans le genre fantastique. Autre point noir, le personnage titre très peu exploité malheureusement, il est perçu plus comme un moyen utilisé par la police pour résoudre l’enquête que comme un vrai personnage a part entière. Le film explore toujours les thèmes chers au réalisateur comme le rapport a la mort, l’aliénation due a la société japonaise et le suicide social ou physique cette fois ci. Nightmare Detective est donc bien un film de Tsukamoto mais un Tsukamoto encore différent qui emprunte une voie qui personnellement me plait moyen. J’espère toujours un retour à la fureur des premiers films de Shynia.
4/6

Voila, ce sera tout pour aujourd’hui, suite au prochain numero…
ouaisbiensur
CITATION(Evil Seb @ 17 4 2007 - 11:48) *
Hot Fuzz de Edgard Wright.
Pour bien parodier un genre, il faut avant tout bien le connaître et le maîtrisé, et il ne fait aucun doute que Edgard Wright connaît ses classique sur le bouts des doigts allant même jusqu'à réhabilité un sommet du genre (dont je suis fan) vomi par la grosse majorité du public.


je me trompe ou il y a une subtile référence à un opus maudit de l'arrogant asshole (oui oui celui où on balance des cadavres) ? icon_mrgreen.gif
Evil Seb
CITATION(ouaisbiensur @ 17 4 2007 - 12:01) *
CITATION(Evil Seb @ 17 4 2007 - 11:48) *
Hot Fuzz de Edgard Wright.
Pour bien parodier un genre, il faut avant tout bien le connaître et le maîtrisé, et il ne fait aucun doute que Edgard Wright connaît ses classique sur le bouts des doigts allant même jusqu'à réhabilité un sommet du genre (dont je suis fan) vomi par la grosse majorité du public.


je me trompe ou il y a une subtile référence à un opus maudit de l'arrogant asshole (oui oui celui où on balance des cadavres) ? icon_mrgreen.gif

Huhu celui la même icon_mrgreen.gif
Evil Sam
Bordel de merde Evil Seb! Après avoir lu ton avis sur Poultrygeist, je regrette encore plus de ne pas avoir pu assister à la projo wallbash.gif

Au sinon, pour Uwe Boll, c'est vrai que c'était drôle de le voir et de l'entendre. Pour le plaisir v'là une tof de ce sacré personnage:


Au sinon, mes deux derniers films de ce 25è BIFFF:

Black Sheep: on voulait des moutons-zombies, on a eu des moutons-zombies! Pas véritablement de surprise mais du fun et du délire du début à la fin. Amusant. Et la petite Danielle Mason, elle est toute mimi je trouve. wub.gif 4/6

Shadow Puppets: y a rien à sauver dans ce film où différents personnages amnésiques se retrouvent enfermés dans un hôpital/asile et sont confrontés à une ombre tueuse. La réalisation est plate, les comédiens pitoyables, les effets spéciaux mauvais, le scénario est merdique, il n'y a aucune idée, bref, c'est hyper naze. 0/6

Voilà, le BIFFF c'est aujourd'hui que ça se fini et pour ma part je vais en rester là. La clôture ne m'inspire pas trop (Disturbia), donc je vais rester tranquillement chez moi ce soir et repenser aux meilleurs moments de ce BIFFF 2007 (et aussi faire le tri de toutes les photos prises sur place). Vivement l'année prochaine!
Dabdas
Allez, il est plus de 21h, on a le droit de balancer le palmarès!

XXVth Brussels International Festival
of Fantastic Film Awards

Compétition Internationale du Long Métrage

Le Jury:
Présidé par:
Brian Yuzna (USA)
et composé de
James Gunn (USA), Laura Harring (USA), Shusuke Kaneko (Japan),
Daniel Knauf (USA), William Lustig (USA),
Dominique Pinon (France), Sabu (Japan)

a attribué

The Golden Raven
(Le Corbeau d’Or)

à

The Host

directed by
Bong Joon-Ho (South Korea)

‘The Host’ combines the best of fantastic elements,
creates a great monster and tells us a very great story


Two Silver Ravens
(Corbeaux d’Argent)
sont attribués à

Black Sheep

directed by
Jonathan King (New Zealand)

‘for its splaterrific fun’

&

The Restless

directed by
Cho Dong-Ho (South Korea)


‘for its compelling visual design’

The Pegasus
(Le Pégase )
Prix du Public
est attribué à

Death Note

directed by
Shusuke Kaneko (Japan)

Le prix du Public du 25e Festival est décerné par les abonnés du festival.

Compétition Européenne du Long Métrage

Le Jury
a attribué

The Silver Méliès
(Le Méliès d’Argent)
à

DEAD IN 3 DAYS

directed by
Andreas Prochaska (Austria)

‘For the originality of his point of view, the dynamic direction, and the well balanced casting of non professionals in a film that reminds us of Michael Haneke’s ‘Funny Games’ –a film edited by Andreas Prochaska.’

Prix du 7e Parallèle

Le Jury
a attribué

The 7th Orbit Award
(le Prix du 7e Parallèle)
à

Brand Upon the Brain

directed by:
Guy Maddin (Canada / USA)

‘Le jury a particulièrement apprécié le ton original de ce film très personnel. Sorte d’auto fiction psychanalytique à la fois légère et audacieuse, maîtrisée sur les plans cinématographique et poétique.’
jason13thh
Je n'y suis allé que hier et j'irai encore voir un film ce soir, j'aurais voulu voir plus mais pas assez de thune.
J'ai maté Hot Fuzz, une parodie de film d'action bien bien fun (des producteurs de l'excellent Shaun Of The Dead)
C'est un film anglais donc c'est un humour particulier mais de mon côté il a fait mouche.
Après j'ai maté Nightmare Detective du toujours spécial Tsukamoto , d'après le Mad Movies (magazine dédié au fantastique) il parait que c'est son film le plus commercial. Il n'en reste pas moins que ce n'est pas vraiment pour le grand public.

Après ces deux films j'ai maté 4 épisodes des Masters Of Horror (dont un épisode de Argento et et de Carpenter)

Le meilleur étant selon moi celui de Argento: Pells, le Carpenter était bien jusque dans les 10 dernières minutes, là ça part en vrille complétement.

Ce soir je vais voir Black Sheep, film de Nouvel Zélande, précédé d'une bonne réputation, verrai ça.

Sinon hier (dimanche) après midi on a pu voir le jury icon_mrgreen.gif il y'avait Lustig, Gunn, Pinon, Harring (Mulholland Drive) Yuzna (président du jury) et deux autres (des réals japonais, que je ne connais pas)

J'ai posé une question à Lustig avec le micro :-) je voulais savoir si il allait réaliser un des épisodes des MOH, il a répondu que si Mick Garris lui proposerait pourquoi pas.

Sam (du forum Mad Movies, un madnaute compatriote) m'a pris en photo avec Gunn, très sympa par ailleurs, je lui ai demandé ce sera quoi son prochain film et il a dit un thriller.

Et surtout surtout vendredi soir...y'avait Mister Argento présent :-) :-) :-) j'ai aussi fait une photo avec lui et il m'a dédicacé le spécial Mad Italie :-)

Dès que je peux je vous montrerai les photos prisent par Sam (encore merci Sam mon pote)

J'ai trouvé tous les membres du jury sympa, sauf que Harring souriait tout le temps, ça faisait pas naturel et Pinon plus renfermé.




Evil Seb
The Host Grand Prix: normal. A part Hot Fuzz, il avait pas vraiment de concurrent. Content aussi du prix du Public de Death Note que j'avais bien aimé! Cool vivement l'an prochain.

Sinon il m'a sembler apercevoir Séveon et Christophe Lemaire durant quelques séances de ce Bifff (la Troma notamment)
jason13thh





Vala les images promises, encore merci à Evil Sam smile.gif



Gunn tire la tronche lol mais c'est uniquement pour se marrer hein. Il est très cool, bien sympa.

J'ai aussi vu Lustig, Laura Harring (Mulholland Drive) j'aurais du lui demander pour un ptit bisou pfffff, j'ai déconné.

J'ai un peu causé avec Pinon aussi.

molasar
Compte-rendu de la soirée "Masters of Horror" ici:

http://www.sinart.asso.fr/sueursfroides/index. php?fiche=611

http://www.sinart.asso.fr/sueursfroides/index. php?fiche=626

http://www.sinart.asso.fr/sueursfroides/index. php?fiche=602

http://www.sinart.asso.fr/sueursfroides/index. php?fiche=612

http://www.sinart.asso.fr/sueursfroides/index. php?fiche=617
Evil Seb
CITATION(jason13thh @ 18 4 2007 - 18:22) *
[url=http://img378.imageshack.us/my.php?image=img1772pn2.jpg][img]
Gunn tire la tronche lol mais c'est uniquement pour se marrer hein. Il est très cool, bien sympa.

Wé il est vachement cool James Gunn, mais cette année la majorité du Jury était sympa et cool. Lustig voulait s'acheter le Mad avec la retro sur Joe Spinell, il était tout ému de voir ca^^
Dirty Flichty
CITATION(Dabdas @ 17 4 2007 - 21:52) *
Le Jury:
Présidé par:
Brian Yuzna (USA)
et composé de
James Gunn (USA), Laura Harring (USA), Shusuke Kaneko (Japan),
Daniel Knauf (USA), William Lustig (USA),
Dominique Pinon (France), Sabu (Japan)

Hé bé, si on compare la gueule du jury à celui de Gérardmer, ça fait quand même bien pitié chez les vosgiens.
Là c'est juste exceptionnel.
jason13thh
Bé oui c'est pas de la merde chez nous à Bruxelles icon_mrgreen.gif surtout que c'était la 25ième édition.
chaoticlock
CITATION(Evil Sam @ 16 4 2007 - 14:34) *
Broken: un petit film sans le sou bien viscieux et gorasse. Vu le budget, c'est pas mal. Même si c'est parfois ridicule (notamment la coupe de cheveux du tueur! laugh.gif ) 3/6


Oui, il me faisait penser à Titeuf le tueur!
(mais vu que c'est le film d'un copain, je vais pas trop critiquer..)
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