Y'a un truc qui s'apelle le film à sketch, on en a déjà vu et je ne vois pas en quoi Grindhouse avec deux histoires différentes serait traumatisant culturellement.
C'est peut-être très con ce que je dis mais je le vois comme ça.
Pour le reste, même si il y a deux histoires différentes, elles font partie d'un tout et c'est cet ensemble qui doit être vu en une fois pour se faire une idée de l'ensemble.
Car contrairement au genre capable de mettre deux films n'ayant rien en commun, les deux films ont été conçus pour coexister dans la même séance.
Donc le diviser en deux me parait peu judicieux voila tout.
C'est peut-être très con ce que je dis mais je le vois comme ça.
Pour le reste, même si il y a deux histoires différentes, elles font partie d'un tout et c'est cet ensemble qui doit être vu en une fois pour se faire une idée de l'ensemble.
Car contrairement au genre capable de mettre deux films n'ayant rien en commun, les deux films ont été conçus pour coexister dans la même séance.
Donc le diviser en deux me parait peu judicieux voila tout.
Non mais on est d'accord, personne ne défend le pretexte du distributeur, quoi qu'on en pense ca veut dire qu'on va payer 2 fois plus pour voir le truc (même si l'avantage de ne pas se taper le Rodriguez est peut être appréciable... c'est la deuxiéme fois que je le fais, excusez moi).
Néanmoins je ne parlerais pas de films à sketches pour Grindhouse: le double feature c'est de coller deux films différents ensemble, le film à sketches on a déjà expliqué ce que c'est (même si dans la démarche de Tarantirodrigol il y a aussi ce coté "on décide à l'avance de le faire")... Et vous pouvez me citer des films de ce genre avec moins de 3 sketches? C'est un peu le standard/minimum (cf les films Omnibus d'animation japonaise, et les films européens)?
A mon avis muf le probléme c'est que là, même en te tenant à des petites choses (logo Shaw Bros & autres) tu raménes le débat sur l'essence même du cinéma de Tarantino, et plus particuliérement Kill Bill et ce dernier projet (les films venant avant était certes hautement référentiels mais plus "cohérents" dans leur univers, Kill Bill -que j'aime bien- ca ressemble à un catalogue), à savoir cette dimension "geek" (et même de branlette geek) qui commence à devenir légérement usante (si le seul horizon de l'art c'est de parler de lui même, on est dans la merde). Enfin je crois...