Vu Kiss me deadly (AKA En quatrième vitesse).
Une bombe ! Un très grand polar "badass" porté par un excellent anti-héros qui ne fait pas dans la dentelle (magnifiquement interprété par Ralph Moeller... Euh Meeker, désolé...), une ambiance envoûtante (rien que la scène d'auto stop, au tout début, prend à la gorge), des enjeux énormes, des seconds rôles savoureux, des salves de violence sadique carrément suprenantes pour l'époque (la scène de torture au début fait l'effet d'un éléctrochoc... Bien qu'elle soit en hors champ) et, surtout, un final dantesque dont la mise en image, à la lisière du fantastique pur et dur, à sans aucun doute traumatisé Steven Spielberg qui le citera ouvertement lors du climax des Aventuriers de l'arche perdue.
C'est chouette, en ce moment j'enchaîne les putains de bons films/6 !
Voila
Une bombe ! Un très grand polar "badass" porté par un excellent anti-héros qui ne fait pas dans la dentelle (magnifiquement interprété par Ralph Moeller... Euh Meeker, désolé...), une ambiance envoûtante (rien que la scène d'auto stop, au tout début, prend à la gorge), des enjeux énormes, des seconds rôles savoureux, des salves de violence sadique carrément suprenantes pour l'époque (la scène de torture au début fait l'effet d'un éléctrochoc... Bien qu'elle soit en hors champ) et, surtout, un final dantesque dont la mise en image, à la lisière du fantastique pur et dur, à sans aucun doute traumatisé Steven Spielberg qui le citera ouvertement lors du climax des Aventuriers de l'arche perdue.
C'est chouette, en ce moment j'enchaîne les putains de bons films/6 !
Voila
C'est vrai que les déchainements de violence surprennent carrément (la scène de torture me revient justement à l'esprit là avec la fille qui hurle comme une damnée... Hostel et son sadisme Formule 1 peut définitivement allé se rhabiller !).