Jean François Davy encore avec l'un des plus beau générique du monde:


Exhibition 2 (1978) est cette fois-ci un portrait de l'actrice porno Sylvia Bourdon (vue dans le cultissime
Sexe qui parle).
Mais autant le premier volet était touchant, autant celui-ci est déplaisant et ultra-glauque.
Davy avoue dans les bonus s'être fait "manipulé" par Mlle Bourdon, qui s'"invente" en direct, face caméra, un personnage excessif et complètement malsain.
Les scènes où elle martyrise un vieil homme sont très très limites. Parce que oui, la demoiselle était une dominatrice sado.
Le film est au final l'antithèse du premier.
Beccarie se livrait littéralement, entièrement et sincèrement à Davy, alors que Bourdon joue avec lui, espérant surement que le film aurait le même retentissement et le même succès que le premier volet...
Avec ces deux opus, Davy fût finalement à la fois le précurseur de la télé-réalité version Mireille Dumas (Beccarie style) et, grâce à Bourdon, le précurseur de la trash-tv version... (ah non ça existe pas encore je crois, ça va pas tarder).
Bonjour.