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Version complète : Le topic nécrologique
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Rottweiler
Arg ça me rend super triste  :(

Petit canaillou va...
Jerry Lewis
Le petit canaillou n'est plus.... :cry:


En tous les cas, sa contribution à la comédie nanarde "made in France" n'est plus à prouver :

Image IPB  Image IPB  Image IPB

Les Dalton (2003), de Philippe Haim
Droit dans le mur (1997), de Pierre Richard
Ma femme me quitte (1995), de Didier Kaminka
Liberté, égalité, choucroute (1984), de Jean Yanne
Le Téléphone sonne toujours deux fois (1984), de Jean-Pierre Vergne
Mon curé chez les thaïlandaises (1983), de Robert Thomas
[b]On l'appelle catastrophe (1983), de Richard Balducci
[b]Ca va pas être triste (1982), de Pierre Sisser  Jack Renard
[b]Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ
(1982), de Jean Yanne
Pour cent briques t'as plus rien... (1982), de Edouard Molinaro
Le Bahut va craquer (1982), de Michel Nerval
[b]Qu'est-ce qui fait craquer les filles ? (1982), de Michel Vocoret
[b]T'es folle ou quoi ? (1981), de Michel Gérard
[b]Voulez-vous un bébé Nobel ?
(1980), de Robert Pouret
Les Surdoués de la première compagnie (1980), de Michel Gérard
[b]Général.. nous voilà (1978), de Jacques Besnard
[b]Arrête ton char... bidasse! (1977), de Michel Gérard
[b]Un oursin dans la poche
(1977), de Pascal Thomas
Trop c'est trop (1974), de Didier Kaminka
Y'a un os dans la moulinette (1974), de Raoul André
[b]C'est jeune et ça sait tout (1974), de Claude Mulot  
[b]Salut Berthe!
(1968), de Guy Lefranc  


Tchao Darry !!!  :wink:
dam
snif.
Vermithrax Pejorative
CITATION(Jerry Lewis)
Le petit canaillou n'est plus.... :cry:  


En tous les cas, sa contribution à la comédie nanarde \"made in France\" n'est plus à prouver :

Image IPB  Image IPB  Image IPB

Les Dalton (2003), de Philippe Haim
Droit dans le mur (1997), de Pierre Richard  
Ma femme me quitte (1995), de Didier Kaminka  
Liberté, égalité, choucroute (1984), de Jean Yanne
Le Téléphone sonne toujours deux fois (1984), de Jean-Pierre Vergne  
Mon curé chez les thaïlandaises (1983), de Robert Thomas
[b]On l'appelle catastrophe (1983), de Richard Balducci  
[b]Ca va pas être triste (1982), de Pierre Sisser  Jack Renard
[b]Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ
(1982), de Jean Yanne
Pour cent briques t'as plus rien... (1982), de Edouard Molinaro
Le Bahut va craquer (1982), de Michel Nerval  
[b]Qu'est-ce qui fait craquer les filles ? (1982), de Michel Vocoret
[b]T'es folle ou quoi ? (1981), de Michel Gérard
[b]Voulez-vous un bébé Nobel ?
(1980), de Robert Pouret
Les Surdoués de la première compagnie (1980), de Michel Gérard  
[b]Général.. nous voilà (1978), de Jacques Besnard
[b]Arrête ton char... bidasse! (1977), de Michel Gérard
[b]Un oursin dans la poche
(1977), de Pascal Thomas  
Trop c'est trop (1974), de Didier Kaminka  
Y'a un os dans la moulinette (1974), de Raoul André  
[b]C'est jeune et ça sait tout (1974), de Claude Mulot    
[b]Salut Berthe!
(1968), de Guy Lefranc  


Tchao Darry !!!  :wink:


Dans ta petite liste (qui ne contient pas que des nanars) tu aurais pu citer "Augustin, Roi du Kung-fu", dans lequel il fut vraiment excellent. Je verse aussi ma larme. je l'aimais bien le Darry. J'étais toujours assuré d'un fou-rire quand il relâchait ses fils de téléphone dans "Palace"...
Malec
Je l'avais vu assez récemment (trois mois ?) dans l'émission Thé ou Café, et c'est vrai qu'il était mal en point le petit père.
J'ai vu peu de ses films (le dernier doit être Augustin), mais sa disparition me fait de la peine. sad.gif
LMD
Il faut savoir que la carriére un peu particuliére de Darry Cowl à été en partie modelée par sa chére passion du jeu. De son propre aveu, complétement rincé, il lui arrivait de signer pour n'importe quoi... d'ou ses crédits quand même complétement folklorique des années 70

Sinon je trouve ça bien dommage.
seward
hé ben merde.
Au revoir Darry...
darklinux
RIP  :cry:
Beurk
:cry:
naamlock
repose en paix darry
steve locker
Entendu hier soir le témoignage de Mocky qui confessait voir complètement disparaître sa bande dont faisait partie Cowl (avec les Bourvil, Maillan, Poiret ...).
Cliché de dire ça, mais une époque est bel et bien en train de s'éteindre et avec Cowl, cette idée de saltimbanque dilettante qui écumait tous les genres de comédies de la popu à la vacharde des années 50 aux 70 (dont on ne fait et fera jamais plus...).
RIP.
jason13thh
R.I.P. Darry Cowl  :cry:
Ripley
RIP
:cry:
horseloverfat
y avait une chouette émission sur inter, une rediff d'une interview de lui.
Le passage où il explique qu'il cachetonait à mort pour payer ses dettes de jeu est excellent.
Il avait l'air rigolo, et d'avoir bien profité le bougre !
(et accèssoirement joué avec TOUT les plus grands !)
TonyX
repose en paix.
Beurk
CITATION(horseloverfat)
y avait une chouette émission sur inter, une rediff d'une interview de lui.
Le passage où il explique qu'il cachetonait à mort pour payer ses dettes de jeu est excellent.
Il avait l'air rigolo, et d'avoir bien profité le bougre !
(et accèssoirement joué avec TOUT les plus grands !)


Et puis moi je me rappelle le passage où il est devenu très sérieux chez Ardisson... le public a eu du mal à suivre mais pourtant c'était le cas... C'était le moment où il racontait qu'en voiture dans le sud de la France avec une amie actrice, ou je sais plus quoi, il a croisé un "OVNI"... Vu la réaction du public, il a insisté sur le sérieux de l'histoire en racontant que son amie avait eu très peur et était tombée dans les pommes face à cette rencontre.

Alors Darry Cowl reste le principal témoin crucial et crédible parce qu'il y a des trucs avec quoi on peut pas déconner... et on le sentait bien dans le ton de Darry lors de cette émission.

Voilà Darry était le témoin que Mulder cherchait en plus d'être un acteur qui est un peu passé à côté d'une carière qui aurait pu être plus maitrisée qu'une partie de roulette...

C'est le sentiment que j'ai eu (et que j'ai encore plus maintenant), en le voyant dans ce magnifique film Augustin roi du Kung Fu...

EDIT : euh je me demande si c'était bien chez Ardisson... vu qu'il a joué du piano... hmmmm ma mémoire flanche...
Mac Ready
So long...
RIP

:cry:
Batman Begins
La voix des Shadoks est décédé hier après-midi

:cry:

http://www.commeaucinema.com/afp.php3?Depe...122514.cs2r5o0q
Elric
Je n'étais pas fan, mais je reconnais qu'après l'auteur des Shadoks, c'est un petit monde qui s'écroule... RIP sad.gif
Denver
Arf'...

RIP Monsieur!
Ripley
:cry:
Puisse l'esprit des shadoks, lui survivre !

"S'il n'y a pas de solutions, il n'y a pas de problèmes" proverbe shadok
quarx
Ah merde ! J'aimais beaucoup cet acteur complètement décalé.

RIP.
Karibou
Merde.
Je l'avais adoré en Darth Vader dans Star Wars

Image IPB



R.I.P Grand bonhomme.
Unclekersey
On perd toujours un peu de notre jeunesse quand ces VOIX s'en vont...Mais respect aussi pour ses films où il incarnait toujours les 3 ème ou 4 ème rôle........
RIP sad.gif
punisher
Il incarnait aussi le réceptionniste du Palace. Une voix aux inflexions uniques, à jamais associée aux Shadok. RIP.
babarorhum
Je suis très triste d'apprendre cette nouvelle, il faisait partie des comédiens français que j'aimais particulièrement surtout dans ses roles dans Rabbi Jacob et La meilleur façon de marcher. Rest in Peace!
CarboniZer
vraiment malheureux de cette nouvelle, c'est vraiment quelqu'un d'important qui s'en va. J'en suis trés triste, cinema, theatre, et bien sur sa voix. Rest in Peace, Sir.
darklinux
RIP je me sent vieux ....
:roll:
davidemge
Putain, c'est con !
Il fait pas encore très chaud pourtant !
dam
Ga Bu Zo MU  :( .
picounet
Piéplu, c'était une voix, une présence, un humour.
170 pièces - 40 films et pas mal de télévision.

Quelques images me sont venu en tête, issues de ses films.

- Une scène du film "Le paltoquet" où il joue aux cartes en faisant un délire sur les "trous du cul".  :lol:

- Sa prestation dans "le charme discret de la bourgeoisie" de Bunuel où il est un officier un poil envahissant.

- Le voisin gateau de Miou Miou où il se prend la tête avec Clavier et qu'il le gifle dans "Dites Lui que je l'aime" de Miller.

RIP  :cry:
bradaviel
:cry: RIP
Ced
le comissaire andreoni de rabbi jacob quand même !!! merde !!! sad.gif

et comme dirait l'autre "la plus grave maladie du cerveau c'est de réfléchir" autre proverbe shaddok

bye bye
Kurtz
Glenn Ford


L'acteur américain d'origine canadienne Glenn Ford, qui avait joué dans des dizaines de films de l'âge d'or de Hollywood, dont "Gilda" avec Rita Hayworth, est mort mercredi à son domicile de Beverly Hills (Californie, ouest) à l'âge de 90 ans.

S'exprimant sous couvert de l'anonymat, un policier de la ville des stars à l'ouest de Los Angeles, a confirmé la mort de Ford, qui était malade depuis des années, ayant souffert notamment de problèmes circulatoires et cardiaques.

De son vrai nom Gwyllyn Samuel Newton, l'acteur, né en 1916 à Sainte-Christine au Québec, avait émigré avec sa famille en Californie en 1924 avant de monter sur les planches, puis de faire son trou à Hollywood à l'orée de la Seconde Guerre mondiale. Il était alors sous contrat avec le grand studio Columbia.

Interrompue par la guerre durant laquelle Ford sert dans les Marines, sa carrière reprend en feu d'artifice dès 1946 avec "Gilda" de Charles Vidor, dont la scène de "strip-tease au gant" fera de Rita Hayworth une icône. Dès 1940, ce tandem était réuni dans "The lady in question" du même Vidor, et il s'était reformé en 1948 dans "Les amours de Carmen" et "L'affaire de Trinidad" en 1952.

Cheveux gominés, sourire impeccable, costume immaculé, Ford est l'incarnation du jeune premier à la fin des années 1940, avant d'être celle du "Monsieur Tout-le-monde" en mûrissant, lorsqu'il enchaîne les films avec les maîtres de la capitale du cinéma dans les années 1950.

Il sera l'interprète principal de Fritz Lang dans les films noirs "Règlements de comptes" (1953) et "Désirs humains" l'année suivante, où il dévoile un côté plus sombre de son talent.

Au début des années 1960, Vincente Minnelli l'emploie avec le même bonheur dans "Les quatre cavaliers de l'Apocalypse", drame sur fond de nazisme, puis dans "Il faut marier papa", comédie où il incarne un jeune veuf que ses enfants veulent remarier.

Il retrouve une Rita Hayworth vieillissante pour une cinquième fois dans "Piège au grisbi" de Burt Kennedy en 1965.

Parallèlement, Ford est un cow-boy très convaincant dans "L'homme de nulle part" (Delmer Daves, 1956), "Trois heures dix pour Yuma" (idem, 1957) et "Cow boy" l'année suivante, toujours avec Daves.

Son nom figure également au générique des films classiques "La ruée vers l'ouest" (1960) et "Paris brûle-t-il?" (1966). Travaillant plus souvent pour la télévision après 1970, il figure encore à cette époque dans des films à gros budget, où Hollywood a beaucoup recyclé ses vieilles gloires.

C'est ainsi qu'on le retrouve en contre-amiral Spruance dans le film historique "Midway", aux côtés de Charlton Heston, James Coburn, Henry Fonda et Robert Mitchum.

Rôle insolite dans une filmographie de plus de 100 titres, Ford est en 1978 Jonathan Kent, le père adoptif du "Superman" Christopher Reeve dans le premier opus de cette série promise à un grand succès.

Glenn Ford, qui avait reçu un Golden Globe du meilleur acteur en 1962 et avait été nommé deux autres fois à ces récompenses, ne tournait plus depuis 1991, année de son dernier film, de série B, "Raw nerve".

Très affaibli par une série d'attaques cérébrales, il n'avait pas pu assister à l'hommage qui lui avait été rendu le 1er mai dernier à l'occasion de son 90e anniversaire dans la célèbre salle de cinéma Grauman, à Hollywood, le quartier historique du cinéma américain dans le nord-ouest de Los Angeles.

Il avait été marié et divorcé quatre fois, dont avec l'actrice des années 1930 Eleanor Powell, qui lui a donné un enfant, Peter, également devenu acteur.
davidemge
bon ben so long alors...ça défile en ce moment !

seward
rip, Glenn.
grand acteur.
jason13thh
RIP Cow Boy.

babarorhum
RIP

Dire qu'il n'en reste plus beaucoup des acteurs de ces merveilleuses periodes du Cinéma Américain. L'unique restant c'est le grand Kirk Douglas.
simidor
RIP sad.gif
Martin Quatermass
C'est horrible mais je le croyais déjà disparu...

RIP Monsieur. sad.gif
El Pistolero
un grand.
rip
Elric
Pas mieux.

RIP.
Kurtz
CITATION(babarorhum @ 01 9 2006 - 01:12) *

RIP

Dire qu'il n'en reste plus beaucoup des acteurs de ces merveilleuses periodes du Cinéma Américain. L'unique restant c'est le grand Kirk Douglas.


il y a aussi Richard Widmark, Jack Palance...et sans doute d'autres que j'oublie.
et puis toutes les actrices, à commencer par Olivia de Havilland.
babarorhum
Ah bah tu vois tu m'apprends quelque chose, j'étais persuadé que Widmark avait disparu. Palance, ok, mais il avait pas la stature d'un Douglas. Quant à Olivia De Havilland, je savais qu'elle était toujours vivante. Il y a aussi Tony Curtis, et puis Cyd Chariss aussi. Il en reste d'autres, mais bon on les compte sur les doigts de la main.
Bateman
Le réalisateur belge du film "C'est arrivé près de chez vous" est décédé mardi 6 septembre.

Né en 1966, Rémy Belvaux était le frère du réalisateur Lucas Belvaux ("La raison du plus faible") et du metteur en scène Bruno Belvaux ("Modèle déposé").

Rémy Belvaux avait notamment lancé la carrière de son compatriote Benoît Poelvoorde. Les circonstances de son décès ne sont pas encore connues.

Dans "C'est arrivé près de chez vous", une première réalisation
immédiatement élevée au rang de film-culte, dont il avait également co-écrit le scénario, Rémy Belvaux incarnait "Rémy", le journaliste de télévision accompagnant "Ben", l'inoubliable tueur en série joué par Poelvoorde, dans ses pérégrinations morbides.

Rémy Belvaux s'était ensuite tourné vers la réalisation de films de
publicité et habitait Paris. Ces dernières années, ses spots pour les marques SFR et Charal lui avaient valu des récompenses dans les festivals spécialisés.

Source: France2.fr
picounet
Quel choc ! Il était jeune... blink.gif
Elric
Arf... sad.gif

Bordel... RIP mec...
davidemge
Putain, ma journée se termine pas bien. Je suis anéanti. sad.gif sad.gif
Redux
Vous allez voir que France télévision va préférer diffuser ses publicités plutôt que C'est arrivé près de chez vous afin de lui rendre hommage.
Martin Quatermass
sad.gif

"Auteur avec André Bonzel et Benoît Poelvoorde de la comédie culte "C'est arrivé près de chez vous", le cinéaste belge Remy Belvaux est décédé ce 5 septembre, à l'âge de 40 ans.


Sale blague. On a appris ce mercredi le décès, survenu ce mardi 5 septembre, de Remy Belvaux, co-réalisateur (avec ses acolytes André Bonzel et Benoît Poelvoorde) du décapant C'est arrivé près de chez vous en 1992.

Né à Namur en 1966, frère de l'acteur et cinéaste Lucas Belvaux (La Raison du plus faible), Rémy Belvaux fait ses débuts dans l'animation avant de suivre des études de cinéma à l'Insas. C'est dans ce cadre qu'il rencontre deux joyeux lurons nommés André Bonzel et Benoît Poelvoorde. Tous trois réalisent en 1987 un court métrage loufoque intitulé Pas de C4 pour Daniel Daniel avant de se lancer dans l'aventure C'est arrivé près de chez vous. Tourné en noir en blanc pour un budget dérisoire, ce bijou d'humour noir aux allures de faux reportage, dans lequel une équipe de télé suit les pas d'un serial killer bavard et attachant, fait sensation à la Semaine de la Critique à Cannes en 1992 et ne tarde pas à acquérir le statut d'oeuvre-culte. Face au trublion Benoît Poelvoorde, Remy Belvaux, avec son look d'ado attardé et son air hirsute, y joue lui-même le rôle de l'intervieweur du tueur.

Après ce retentissant coup d'essai, le cinéaste se consacre à la réalisation de films publicitaires, signant des spots remarqués pour SFR, Total ou Charal. Loin d'avoir perdu son sens de la provocation, il fut en 1999, aux côtés de son compatriote Noël Godin, l'un des quatre "entarteurs" de Bill Gates...

Julien Dokhan avec AFP
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