J'aurais du poster petit à petit, mais voilà en vrac:
Dans
la première émission ils parlaient de Dahan comme le Martin Lutherking du paf, alors que ses discours ouvertement violents le placeraient franchement plus du côté d'un Malcom X. On dit "Spielberg" et pas Chpielberg(et y parait que c'est "Docteur" Uwe Boll qui faut dire maintenant, si si, il insiste pour qu'on rappelle qu'il a un doctorat en littérature

).
Début de
la quatrième émission"Si vous n'êtes pas une blonde platine, ni une bombe latine, un bon conseil: changez de chaîne".
Déjà citer du Diam's
Et comme ils ne doivent pas avoir un public très féminin, ni au dessous de la barre des 12 ans et demi, ce jour là il y a du en avoir beaucoup qui ont changé de chaîne pour ne plus revenir.
Pour l'épisode 8La force tranquille, c'est à l'ouest comme référence. Comparer Dahan à un vieillard cancéreux

, et je ne parlerais pas de politique.
Quoi que frisson break c'est un peu une "rupture tranquille", plus "people". Parce que faire des références à la culotte de Lindsay Lohan c'est d'un très mauvais goût(du genre de ces journaux qu'on lit dans les chiottes). Et la censure aussi,qui est déjà un principe bien con, mais alors en plus utiliser la tête de Dahan pour masquer une foune.
La tête du procureur facho dans "Inside deep throat" j'aurais compris, mais là...
Et ça n'est pas en faisant référence à Clara Morgane qu'ils relèvent le niveau.
Sortir des trucs qui existent pas aussi, c'est pas drôle, et ça donne l'impression que l'environnement intellectuel du chroniqueur se rapproche du néant(ou alors qu'il a un poste de télé bloqué sur Cauet TV)
Je parle du site des fans de la ligne verte et de "question pour un champion" le film. Pour parler de ressemblance avec julien Lepers, il y avait quand même
Russell Evans dans
La classe américaine(et là ils ont quand même raté l'occasion de parler d'un film "geek" par excellence)
Ils parlent aussi de David Mamet comme "un des plus grand scénariste américain de tout les temps". Ca fait un peu gratuit quand on ne parle pas de son apport à ce métier ou de l'évolution, des différentes écoles d'écriture.
Dahan aussi avait un peu ce travers à nous balancer des "Chef d'oeuvre AB-SO-LU" à tout bout de champs, mais c'est pénible et ça ne veut plus rien dire à force.
J'ai une impression plus générale d'entendre une suite d'adjectifs qualificatifs, voir de superlatifs, en place d'une critique, et je crois que c'est cette mécanique qui rend les intonations de la voix très prévisibles et donc monotone. Le résultat c'est qu'on se détache complètement de ce qui est dit pour se concentrer sur les images, plus parlantes paradoxalement.
Encore une fois Yannick Dahan balançait aussi de temps en temps tout un tas d'adjectifs comme s'il vendait un bidon de lessive, mais c'était condensé dans une phrase après une petite critique.
Pour moi en gros, ça ne parle plus vraiment de mise en scène, de cadrage, des enjeux thématiques des scénarios et comment ils sont exploités ou non.
On n'aura plus droit non plus à une mise en perspective de la place d'un film dans l'histoire officielle ou non du cinéma, pour voir ce qu'il apporte de plus par rapport aux autres.
Parce que dans ce genre là, faire un parallèle entre la suite des Indiana Jones et une prélogie de SF, ça ne me semble pas pertinent.