Ha oui excuse. En fait ca me fait rire mais c'est une erreur que beaucoup ont commis à l'époque (même récemment d'ailleurs, je me suis souvent d'une allusion de Dahan allant dans ce sens même s'il reconnaissait la différence des deux séries).
En fait B5 à commencer un an aprés DS9 mais il faut savoir que son pilote à était diffuser la même semaine que celui de DS9. Donc l'idée de copie est un peu grosse. Maintenant, il faut savoir que le script de B5 à circuler pendant une dizaines d'année dans les différent studio avant de trouver preneur et il est certain que la Columbia (proprio de Star Trek) l'ai eu en mains.
Quand à savoir s'il ont dit non puis s'en sont servi pour poser les bases de DS9 mystere. Au final de tout de façon on à deux grandes séries mais ca m'a fait rire de relire dans ce vieux numéro cette bourde.
Voili, voilou. Ha oui pour l'anecdoct, Straczynski (le créateur de B5) a appris la mise en chantier de DS9 par l'acteur Walter Koenig (alias Tchekov l'un des acteur de la série classique de Star Trek)
Version complète : Les perles de la critique
Pages : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49
merci a toi. 
CITATION(Lord-Of-Babylon @ 15 8 2006 - 19:29) 
En fait B5 à commencer un an aprés DS9 mais il faut savoir que son pilote à était diffuser la même semaine que celui de DS9. Donc l'idée de copie est un peu grosse. Maintenant, il faut savoir que le script de B5 à circuler pendant une dizaines d'année dans les différent studio avant de trouver preneur et il est certain que la Columbia (proprio de Star Trek) l'ai eu en mains.
Ce serait pas plutôt la Paramount ?
Oui 
(en l'écrivant je sentais bien que je disais une connerie)
(en l'écrivant je sentais bien que je disais une connerie)
hum t'as eu chaud hein babylon ????
CITATION(Lord-Of-Babylon @ 15 8 2006 - 23:02)
je sentais bien que je disais une connerie
comme souvent quoi... plus les choses changent plus elles restent les mêmes
CITATION(Lord-Of-Babylon @ 15 8 2006 - 23:02)
(en l'écrivant je sentais bien que je disais une connerie)
Oups ! on dirait bien que tu as fait une perle dans le topic des perles !
CITATION(Luigi Lose @ 16 8 2006 - 03:07)
CITATION(Lord-Of-Babylon @ 15 8 2006 - 23:02)
(en l'écrivant je sentais bien que je disais une connerie)
Oups ! on dirait bien que tu as fait une perle dans le topic des perles !
CITATION(Hutch @ 16 8 2006 - 17:20)
CITATION(Luigi Lose @ 16 8 2006 - 03:07)
CITATION(Lord-Of-Babylon @ 15 8 2006 - 23:02)
(en l'écrivant je sentais bien que je disais une connerie)
Oups ! on dirait bien que tu as fait une perle dans le topic des perles !
l'encourage pas malheureux tu ne sais pas de quoi sont capables ces gens là...
Ha ouiais mais en fait vous n'etes qu'une bandes de connards au final
(nazi en plus je suis sur)
(nazi en plus je suis sur)
CITATION(Lord-Of-Babylon @ 16 8 2006 - 18:19)
Ha ouiais mais en fait vous n'etes qu'une bandes de connards au final
(nazi en plus je suis sur)
"Talk to the hand boy !"
CITATION(Lord-Of-Babylon @ 16 8 2006 - 18:19)
Ha ouiais mais en fait vous n'etes qu'une bandes de connards au final
(nazi en plus je suis sur)
et alors? nous aussi on a le droit a une seconde chance non?c'est pas parce qu'on a fait une connerie ya 10 ans...
La parisien n a pas aimé Miami Vice parce que sa ne ressemblais pas a la serie ....
CITATION(darklinux @ 17 8 2006 - 10:28)
La parisien n a pas aimé Miami Vice parce que sa ne ressemblais pas a la serie ....
Telerama non plus d'ailleurs
CITATION
CONTRE
Lourd et bruyant
La première chose que fait Colin Farrell, flic soi-disant génial infiltré auprès d’un caïd de la drogue, c’est de lui piquer sa femme. Curieuse façon de passer inaperçu. Jamie Foxx ne fait pas mieux : au vu et au su des méchants, il invite sa petite amie dans un night-club, ce qui leur permet de l’enlever instantanément. Même James Bond, qui n’était pas très fute-fute question déguisements, aurait honte d’eux. Si Colin Farrell et Jamie Foxx étaient les héros de péripéties fantaisistes, voire parodiques, comme l’était la série TV – pas si géniale que ça, d’ailleurs –, leur incompétence prêterait à sourire. Mais Michael Mann se veut réaliste, l’univers des flics infiltrés jusqu’à la compromission dans des milieux interlopes l’a toujours passionné. Il a, donc, résolument fait de la série souriante un drame sombre, fatal, romantique, shakespearien. Et ennuyeux à périr (l’ennui n’est pas un critère de réussite ou d’échec, au cinéma, on le sait, mais il devrait l’être, parfois).
Durant plus de deux heures, donc, un flic au regard bovin et son acolyte s’embrouillent et nous engluent dans un scénario balourd, ballot, prévisible et, d’ailleurs, plus de mille fois vu, que ce soit au cinéma ou dans des séries télé de seconde zone. Suspense inexistant. Humour zéro. Musique tonitruante. Sentimentalisme indécent de cucuterie (inoubliable, la scène d’hôpital où toute l’équipe de gros bras attend, pantelante, le retour à la vie de la copine de Jamie Foxx). Quant à la réalisation, pataude, répétitive, elle se contente d’alterner de longues explications verbeuses avec des moments d’action plus bruyants que spectaculaires. Et qu’on ne parle pas de mise en scène – à moins que quelques cadrages sophistiqués suffisent, désormais, à passer pour du style.
Pierre Murat
Lourd et bruyant
La première chose que fait Colin Farrell, flic soi-disant génial infiltré auprès d’un caïd de la drogue, c’est de lui piquer sa femme. Curieuse façon de passer inaperçu. Jamie Foxx ne fait pas mieux : au vu et au su des méchants, il invite sa petite amie dans un night-club, ce qui leur permet de l’enlever instantanément. Même James Bond, qui n’était pas très fute-fute question déguisements, aurait honte d’eux. Si Colin Farrell et Jamie Foxx étaient les héros de péripéties fantaisistes, voire parodiques, comme l’était la série TV – pas si géniale que ça, d’ailleurs –, leur incompétence prêterait à sourire. Mais Michael Mann se veut réaliste, l’univers des flics infiltrés jusqu’à la compromission dans des milieux interlopes l’a toujours passionné. Il a, donc, résolument fait de la série souriante un drame sombre, fatal, romantique, shakespearien. Et ennuyeux à périr (l’ennui n’est pas un critère de réussite ou d’échec, au cinéma, on le sait, mais il devrait l’être, parfois).
Durant plus de deux heures, donc, un flic au regard bovin et son acolyte s’embrouillent et nous engluent dans un scénario balourd, ballot, prévisible et, d’ailleurs, plus de mille fois vu, que ce soit au cinéma ou dans des séries télé de seconde zone. Suspense inexistant. Humour zéro. Musique tonitruante. Sentimentalisme indécent de cucuterie (inoubliable, la scène d’hôpital où toute l’équipe de gros bras attend, pantelante, le retour à la vie de la copine de Jamie Foxx). Quant à la réalisation, pataude, répétitive, elle se contente d’alterner de longues explications verbeuses avec des moments d’action plus bruyants que spectaculaires. Et qu’on ne parle pas de mise en scène – à moins que quelques cadrages sophistiqués suffisent, désormais, à passer pour du style.
Pierre Murat
Télérama a mis un pour et un contre en fait.
CITATION(darkseid @ 17 8 2006 - 14:52)
Télérama a mis un pour et un contre en fait.
c'est ce que j'avais cru comprendre, à quand un contre et un contre pour télérama ???
CITATION(darkseid @ 17 8 2006 - 14:52)
Télérama a mis un pour et un contre en fait.
http://www.telerama.fr/cine/film.php?id=271925
arretez de descendre télérama gratuitement.
y'a assez d'arguments valables comme ça.
CITATION(dam @ 17 8 2006 - 15:42)
arretez de descendre télérama gratuitement.
Ah non je pourrais pas te le descendre gratuitement chez toi faudrai me payer, par contre pour l'envoyer à la poubelle
CITATION(Manna Marie Weasley @ 17 8 2006 - 14:47)
CITATION(darklinux @ 17 8 2006 - 10:28)
La parisien n a pas aimé Miami Vice parce que sa ne ressemblais pas a la serie ....
Telerama non plus d'ailleurs
CITATION
CONTRE
Lourd et bruyant
La première chose que fait Colin Farrell, flic soi-disant génial infiltré auprès d’un caïd de la drogue, c’est de lui piquer sa femme. Curieuse façon de passer inaperçu. Jamie Foxx ne fait pas mieux : au vu et au su des méchants, il invite sa petite amie dans un night-club, ce qui leur permet de l’enlever instantanément. Même James Bond, qui n’était pas très fute-fute question déguisements, aurait honte d’eux. Si Colin Farrell et Jamie Foxx étaient les héros de péripéties fantaisistes, voire parodiques, comme l’était la série TV – pas si géniale que ça, d’ailleurs –, leur incompétence prêterait à sourire. Mais Michael Mann se veut réaliste, l’univers des flics infiltrés jusqu’à la compromission dans des milieux interlopes l’a toujours passionné. Il a, donc, résolument fait de la série souriante un drame sombre, fatal, romantique, shakespearien. Et ennuyeux à périr (l’ennui n’est pas un critère de réussite ou d’échec, au cinéma, on le sait, mais il devrait l’être, parfois).
Durant plus de deux heures, donc, un flic au regard bovin et son acolyte s’embrouillent et nous engluent dans un scénario balourd, ballot, prévisible et, d’ailleurs, plus de mille fois vu, que ce soit au cinéma ou dans des séries télé de seconde zone. Suspense inexistant. Humour zéro. Musique tonitruante. Sentimentalisme indécent de cucuterie (inoubliable, la scène d’hôpital où toute l’équipe de gros bras attend, pantelante, le retour à la vie de la copine de Jamie Foxx). Quant à la réalisation, pataude, répétitive, elle se contente d’alterner de longues explications verbeuses avec des moments d’action plus bruyants que spectaculaires. Et qu’on ne parle pas de mise en scène – à moins que quelques cadrages sophistiqués suffisent, désormais, à passer pour du style.
Pierre Murat
Lourd et bruyant
La première chose que fait Colin Farrell, flic soi-disant génial infiltré auprès d’un caïd de la drogue, c’est de lui piquer sa femme. Curieuse façon de passer inaperçu. Jamie Foxx ne fait pas mieux : au vu et au su des méchants, il invite sa petite amie dans un night-club, ce qui leur permet de l’enlever instantanément. Même James Bond, qui n’était pas très fute-fute question déguisements, aurait honte d’eux. Si Colin Farrell et Jamie Foxx étaient les héros de péripéties fantaisistes, voire parodiques, comme l’était la série TV – pas si géniale que ça, d’ailleurs –, leur incompétence prêterait à sourire. Mais Michael Mann se veut réaliste, l’univers des flics infiltrés jusqu’à la compromission dans des milieux interlopes l’a toujours passionné. Il a, donc, résolument fait de la série souriante un drame sombre, fatal, romantique, shakespearien. Et ennuyeux à périr (l’ennui n’est pas un critère de réussite ou d’échec, au cinéma, on le sait, mais il devrait l’être, parfois).
Durant plus de deux heures, donc, un flic au regard bovin et son acolyte s’embrouillent et nous engluent dans un scénario balourd, ballot, prévisible et, d’ailleurs, plus de mille fois vu, que ce soit au cinéma ou dans des séries télé de seconde zone. Suspense inexistant. Humour zéro. Musique tonitruante. Sentimentalisme indécent de cucuterie (inoubliable, la scène d’hôpital où toute l’équipe de gros bras attend, pantelante, le retour à la vie de la copine de Jamie Foxx). Quant à la réalisation, pataude, répétitive, elle se contente d’alterner de longues explications verbeuses avec des moments d’action plus bruyants que spectaculaires. Et qu’on ne parle pas de mise en scène – à moins que quelques cadrages sophistiqués suffisent, désormais, à passer pour du style.
Pierre Murat
Encore un aka de BigM
(il est partout décidément ce connard de merde)
Donc ils aiment pas c'est qu'ils ont tord ? O.O
CITATION(DreamSquare @ 17 8 2006 - 18:41)
Donc ils aiment pas c'est qu'ils ont tord ? O.O
Tu as tout compris!
Tiens ? Le crapaud est toujours là, à croasser sur son nénuphar.
Ha la la, Pierre Murat ! Toute ma jeunesse !
L'homme qui a pris d'assaut les chaînes de télé pour tenter de convaincre toute la France de ne pas aller voir les films d'Oliver Stone, qui a fait tout ce qu'il a pu pour nous détourner du David Cronenberg des années 80 à coups d'insultes systématiques à son public. (c'est marrant qu'il trouve que le scénario de Miami Vice "s'englue", il trouvait déjà que la mise en scène de Faux Semblants "s'engluait". Il a un problème avec les trucs gluants, c'est curieux pour un batracien)
Quand j'allais prendre un café chez n'importe quel prof de gauche, j'étais toujours certain et heureux de trouver un Télérama quelque part, et d'avoir mon indispensable fix de Pierre Murat hebdomadaire.
Grâce à lui, j'ai pu apprendre pourquoi Hollywood produisait systématiquement de la merde; j'ai compris que les spectateurs de films d'horreur étaient des dégénérés psychopathes; les consommateurs de dessins animés japonais des pédophiles; que le message des films était toujours "lourd" (chez les yankees exclusivement); qu'il n'y avait rien de pire qu'un film de divertissement ambitieux (comprenez "qui pête plus haut que son cul"); que quand on parlait de cinéma populaire chinois ou japonais, il fallait toujours s'assurer un petit clin d'oeil raciste pour rassurer le lecteur; que le mot "mise en scène" était indissociable des notions de "gratuité", "pub", "clip", "effet", "semblant de style", et surtout, surtout, qu'il n'y avait qu'un seul langage pour s'exprimer sur le Cinéma: celui de la haine.
On en fait plus des comme ça. Du bon vrai critique intransigeant, censeur, prédicateur, qui voue aux gémonies, condamne tous ces merdeux de pêcheurs qui s'adonnent aux plaisirs de l'écran à brûler dans les flammes de l'enfer, tourne en ridicule tous ces cinéastes dangereux, immoraux et tentateurs; a toujours une super idée pour vous empêcher de prendre du plaisir à un film (je crois que c'est lui qui révélait la mort et la résurrection de Mastrantonio dans Abyss, la tournant en ridicule, afin d'ôter tout effet de surprise au malheureux spectateur qui se serait tout de même laissé tenté par cette merde de gros film américain qui pue)
Tous ces petits zgegs des Inrocks, Teknicrass, Libé; tous ces amateurs de site internet tendance peuvent retourner en classe. Ils ont encore beaucoup à apprendre avant d'espérer atteindre un tel accomplissement, et devenir ces Torquemada de la plume assassine qu'ils rêvent tous d'être.
Pierre Murat, c'est plus de trente ans de combat, de militantisme acharné, de rectitude et de constance, pour imposer au monde un message unique, répété à l'envi et sous toutes les métaphores possible, et qui exige de nous un seul commandement : "N'ALLEZ PAS AU CINEMA !!!"
Ha Pierre Murat. Comme tu me manques mon chéri. Je ne savais pas que tu exerçais toujours. Je n'ai hélas presque plus de profs de gauche dans mon entourage. Je crois qu'il va falloir que je m'abonne à Télérama.
Ha la la, Pierre Murat ! Toute ma jeunesse !
L'homme qui a pris d'assaut les chaînes de télé pour tenter de convaincre toute la France de ne pas aller voir les films d'Oliver Stone, qui a fait tout ce qu'il a pu pour nous détourner du David Cronenberg des années 80 à coups d'insultes systématiques à son public. (c'est marrant qu'il trouve que le scénario de Miami Vice "s'englue", il trouvait déjà que la mise en scène de Faux Semblants "s'engluait". Il a un problème avec les trucs gluants, c'est curieux pour un batracien)
Quand j'allais prendre un café chez n'importe quel prof de gauche, j'étais toujours certain et heureux de trouver un Télérama quelque part, et d'avoir mon indispensable fix de Pierre Murat hebdomadaire.
Grâce à lui, j'ai pu apprendre pourquoi Hollywood produisait systématiquement de la merde; j'ai compris que les spectateurs de films d'horreur étaient des dégénérés psychopathes; les consommateurs de dessins animés japonais des pédophiles; que le message des films était toujours "lourd" (chez les yankees exclusivement); qu'il n'y avait rien de pire qu'un film de divertissement ambitieux (comprenez "qui pête plus haut que son cul"); que quand on parlait de cinéma populaire chinois ou japonais, il fallait toujours s'assurer un petit clin d'oeil raciste pour rassurer le lecteur; que le mot "mise en scène" était indissociable des notions de "gratuité", "pub", "clip", "effet", "semblant de style", et surtout, surtout, qu'il n'y avait qu'un seul langage pour s'exprimer sur le Cinéma: celui de la haine.
On en fait plus des comme ça. Du bon vrai critique intransigeant, censeur, prédicateur, qui voue aux gémonies, condamne tous ces merdeux de pêcheurs qui s'adonnent aux plaisirs de l'écran à brûler dans les flammes de l'enfer, tourne en ridicule tous ces cinéastes dangereux, immoraux et tentateurs; a toujours une super idée pour vous empêcher de prendre du plaisir à un film (je crois que c'est lui qui révélait la mort et la résurrection de Mastrantonio dans Abyss, la tournant en ridicule, afin d'ôter tout effet de surprise au malheureux spectateur qui se serait tout de même laissé tenté par cette merde de gros film américain qui pue)
Tous ces petits zgegs des Inrocks, Teknicrass, Libé; tous ces amateurs de site internet tendance peuvent retourner en classe. Ils ont encore beaucoup à apprendre avant d'espérer atteindre un tel accomplissement, et devenir ces Torquemada de la plume assassine qu'ils rêvent tous d'être.
Pierre Murat, c'est plus de trente ans de combat, de militantisme acharné, de rectitude et de constance, pour imposer au monde un message unique, répété à l'envi et sous toutes les métaphores possible, et qui exige de nous un seul commandement : "N'ALLEZ PAS AU CINEMA !!!"
Ha Pierre Murat. Comme tu me manques mon chéri. Je ne savais pas que tu exerçais toujours. Je n'ai hélas presque plus de profs de gauche dans mon entourage. Je crois qu'il va falloir que je m'abonne à Télérama.
Un petit aparté suite à la critique du Mann par Télérama, et notamment cette curieuse remarque où le copain à L'Archiviste regrette un "humour zéro" dans le film : je sais pas ce qu'ils ont chez Télérama avec ça mais j'ai + ou - remarqué que c'est pas la première fois que le "manque d'humour" dans un film est une caractéristique rédhibitoire chez eux. Ils en voudraient partout, en fait (pour qu'on puisse un peu prendre nos distances vis à vis des films qu'on regarderait de haut et au second degré ; pour alimenter un complexe de supériorité nombriliste ?). Genre un des reproches fait à Silent Hill, c'est "son manque d'humour" (c'est sur que Gans s'est bien chié dessus à ce niveau, il aurait quand même du penser à foutre des nez rouges dans son film parce que là, il faut bien admettre que c'est pas très rigolo comme truc Silent Hill 
).
Quel bande de déconneurs quand même. Finalement, c'est peut être eux qui ont raison, on est peut être trop coincé du cul quand on va au ciné.
Miami Vice's Flying Circus par les Monthy Python, ca aurait peut être été bien meilleur en fin de compte .
).Quel bande de déconneurs quand même. Finalement, c'est peut être eux qui ont raison, on est peut être trop coincé du cul quand on va au ciné.
Miami Vice's Flying Circus par les Monthy Python, ca aurait peut être été bien meilleur en fin de compte
.
Moi, ce qui me surprend, c'est cette phrase: "l’ennui n’est pas un critère de réussite ou d’échec, au cinéma, on le sait [...]".
Donc, un film chiant comme la mort peut être un grand film ? Drôle de conception du cinéma...
Donc, un film chiant comme la mort peut être un grand film ? Drôle de conception du cinéma...
C'est beau, et tellement vrai
Monsieur l'archiviste autant ta descritption du journaliste est vraiment bien faite, autant j'ai du mal à comprendre pourquoi autant d'insistance autour du terme "prof de gauche"...
CITATION(KRISSS @ 17 8 2006 - 20:45)
Monsieur l'archiviste autant ta descritption du journaliste est vraiment bien faite, autant j'ai du mal à comprendre pourquoi autant d'insistance autour du terme "prof de gauche"...
Tout simplement parce que c'est dans cet univers que j'ai fait l'expérience du conformisme, du conservatisme et d'une certaine forme de rigidité bourgeoise (et aussi plein de trucs tout à fait positifs que je me garderais bien d'évoquer parce que j'aime bien râler). Si j'avais grandi dans un milieu sarko-facho, j'imagine que j'y aurais sans doute connu la même expérience, mais j'ignore si on y trouve aussi facilement Télérama.
Et puis "prof de gauche" c'est un tag quoi ! Comme "CSP+" dont j'ai paraît-il lancé la mode sur ce forum. Promis je vais essayer de renouveller mon stock de termes fourre-tout à copier-coller dans mes posts interminables.
Non mais soyons clairs : la critique de Pierre Murat dans le dernier Télérama, c'est de la merde en barre.
C'est rarissime que je dise un truc pareil, même si j'aime bien fighter sur les forums et jouer les avocats du diable (voir ma signature), je critique rarement les critiques des journalistes, après tout chacun ses goûts et sa vision d'un film.
Mais là ..... pour moi c'est juste de l'incompétence. Ou alors du fanatisme pur et dur qui ne conçoit le cinéma que dans un cadre défini et délimité une fois pour toutes (au hasard : la nouvelle vague française).
Non sérieux, les cinq dernières lignes sur la mise en scène, j'ai juste halluciné ...
Et surtout quand il parle des cadrages ..... non sérieux, c'est juste un incompétent.
C'est rarissime que je dise un truc pareil, même si j'aime bien fighter sur les forums et jouer les avocats du diable (voir ma signature), je critique rarement les critiques des journalistes, après tout chacun ses goûts et sa vision d'un film.
Mais là ..... pour moi c'est juste de l'incompétence. Ou alors du fanatisme pur et dur qui ne conçoit le cinéma que dans un cadre défini et délimité une fois pour toutes (au hasard : la nouvelle vague française).
Non sérieux, les cinq dernières lignes sur la mise en scène, j'ai juste halluciné ...
Et surtout quand il parle des cadrages ..... non sérieux, c'est juste un incompétent.
CITATION(Johnny Rico @ 17 8 2006 - 20:35)
Moi, ce qui me surprend, c'est cette phrase: "l’ennui n’est pas un critère de réussite ou d’échec, au cinéma, on le sait [...]".
Donc, un film chiant comme la mort peut être un grand film ? Drôle de conception du cinéma...
CITATION
“ Le plaisir et l’ennui. Le plaisir, c’est bien et
l’ennui, c’est pas bien. ” Gérard Lenne. (Télé 7 Jours)
l’ennui, c’est pas bien. ” Gérard Lenne. (Télé 7 Jours)
CITATION
“ Je souhaite m’élever contre la dichotomie du
plaisir et de l’ennui. Il m’arrive de prendre du plaisir
en m’ennuyant et de m’ennuyer en prenant du plaisir. Ce
que j’aime dans le cinéma, c’est qu’il m’aide à vivre. ”
Laurent Delmas. (Synopsis)
plaisir et de l’ennui. Il m’arrive de prendre du plaisir
en m’ennuyant et de m’ennuyer en prenant du plaisir. Ce
que j’aime dans le cinéma, c’est qu’il m’aide à vivre. ”
Laurent Delmas. (Synopsis)
la flemme de remettre ça en forme donc je vous le link tel quel:
http://vadeker.club.fr/articles/cinema/debat_critique.html
(avant qu'on m'accuse de quoi que ce soit: j'ai pas réfléchi à la question, je sais juste que je me suis déjà endormi devant ce que je considère comme des grands films, ça me semble normal, on est pas toujours au top non plus)
CITATION(dam @ 17 8 2006 - 15:42)
CITATION(darkseid @ 17 8 2006 - 14:52)
Télérama a mis un pour et un contre en fait.
http://www.telerama.fr/cine/film.php?id=271925
arretez de descendre télérama gratuitement.
y'a assez d'arguments valables comme ça.
Certes, mais le rédacteur de la critique Contre est un sombre connard. Pas parce qu'il n'a pas aimé le film, mais parce qu'il spoile comme un porc sans prévenir un passage du film ! Pas lu la critique Pour, du coup.
Le problème c'est que pour aimer les films de genre il faut être très ouvert d'entrée de jeu et accepter de se mater des nanards dans le lot, puis à force de voir des films utiliser les mêmes codes on arrive un peu mieux à comprendre qu'il y a d'ancestrales grosses et petites ficelles et que certains réalisateur sont meilleurs marionnettistes que d'autres.
Force est de constater que la presse française c'est pleins de bobos qui n'en ont que pour le cinéma prétentieux et qui dénigrent le cinéma populaire et le cinéma un peu bis tant qu'il n'est pas mou du gland, maniéré ou engagé.
C'est un peu le cinéma des artistes contre le cinéma des artisans, et pour avoir cotoyé de l'artiste pendant mes études, j'avoue que je préfère de plus en plus la compagnie des artisans qui font du cinéma bien emballé dans un papier cadeau familier et pour lequel on en a pour son argent, c'est même bien plus difficile de faire un bon film de genre qu'une mixture pseudo-intello.
A part Mad Movies je ne vois pas d'autre presse papier avec laquelle je sois en accord, peut être parceque je n'ai jamais surfé sur cette nouvelle vague, que Truffaut, Rohmer et Godard ne sont pas mes idoles et que leur mise en scène n'est, à mon sens, pas du tout bandante. Désolé de ne pas être chauvin mais ma vague c'est plus les barbus américains des 70's (Depalma en tête de liste), alors déjà si on n'a pas les mêmes modèles de départ on risque de ne pas aimer le même cinéma la presse française et moi, car on ne va pas juger avec les mêmes références.
Le problème de la critique est le même problème que pour un spectateur lambda : souvent les gens ne remettent pas les films dans leur contexte et dans leurs objectifs, ils crient un peu vite au nanard parceque le film utilise de grosses ficelles et sous-estiment constament les réalisateurs non médaillés par la profession. Par exemple de l'humour référentiel au genre passe souvent pour de l'humour involontaire (ça c'est valable pour beaucoup de films d'horreur d'avant la vague Scream par exemple).
Ce qui est bien avec le cinéma c'est que chacun veut utiliser ce média de manière différente, et le gros problème du critique c'est qu'il préfère se la jouer à démolir des films qui ne correspondent pas à ses critères plutôt que de situer le propos du film, son ton, son ambition et de voir si il remplit son contrat ou pas, ce qui serait un avis plus juste, merde c'est son boulot à la base ! Pour peu que la critique d'un film fantastique soit rédigée par un gars qui n'aime pas ou qui ne connait pas le genre ça devient vite n'importe quoi.
Et comme je ne peux plus me fier ni à la presse (sauf à Mad Movies la plupart du temps) ni à l'avis général des spectateurs et bien je regarde des films au hasard et si c'est bien je me met en quête du DVD. En fait les films, plus on en voit et plus on en aime, et on fini toujours par aimer des films avec lesquels on n'était pas sur la même longueur d'onde lors du précédent visionnage.
... Bon et puis je lis des avis sur des forums spécialisés (comme ici), c'est une très bonne solution pour remplacer la presse, au moins le film est chroniqué dans son univers.
Force est de constater que la presse française c'est pleins de bobos qui n'en ont que pour le cinéma prétentieux et qui dénigrent le cinéma populaire et le cinéma un peu bis tant qu'il n'est pas mou du gland, maniéré ou engagé.
C'est un peu le cinéma des artistes contre le cinéma des artisans, et pour avoir cotoyé de l'artiste pendant mes études, j'avoue que je préfère de plus en plus la compagnie des artisans qui font du cinéma bien emballé dans un papier cadeau familier et pour lequel on en a pour son argent, c'est même bien plus difficile de faire un bon film de genre qu'une mixture pseudo-intello.
A part Mad Movies je ne vois pas d'autre presse papier avec laquelle je sois en accord, peut être parceque je n'ai jamais surfé sur cette nouvelle vague, que Truffaut, Rohmer et Godard ne sont pas mes idoles et que leur mise en scène n'est, à mon sens, pas du tout bandante. Désolé de ne pas être chauvin mais ma vague c'est plus les barbus américains des 70's (Depalma en tête de liste), alors déjà si on n'a pas les mêmes modèles de départ on risque de ne pas aimer le même cinéma la presse française et moi, car on ne va pas juger avec les mêmes références.
Le problème de la critique est le même problème que pour un spectateur lambda : souvent les gens ne remettent pas les films dans leur contexte et dans leurs objectifs, ils crient un peu vite au nanard parceque le film utilise de grosses ficelles et sous-estiment constament les réalisateurs non médaillés par la profession. Par exemple de l'humour référentiel au genre passe souvent pour de l'humour involontaire (ça c'est valable pour beaucoup de films d'horreur d'avant la vague Scream par exemple).
Ce qui est bien avec le cinéma c'est que chacun veut utiliser ce média de manière différente, et le gros problème du critique c'est qu'il préfère se la jouer à démolir des films qui ne correspondent pas à ses critères plutôt que de situer le propos du film, son ton, son ambition et de voir si il remplit son contrat ou pas, ce qui serait un avis plus juste, merde c'est son boulot à la base ! Pour peu que la critique d'un film fantastique soit rédigée par un gars qui n'aime pas ou qui ne connait pas le genre ça devient vite n'importe quoi.
Et comme je ne peux plus me fier ni à la presse (sauf à Mad Movies la plupart du temps) ni à l'avis général des spectateurs et bien je regarde des films au hasard et si c'est bien je me met en quête du DVD. En fait les films, plus on en voit et plus on en aime, et on fini toujours par aimer des films avec lesquels on n'était pas sur la même longueur d'onde lors du précédent visionnage.
... Bon et puis je lis des avis sur des forums spécialisés (comme ici), c'est une très bonne solution pour remplacer la presse, au moins le film est chroniqué dans son univers.
N'emepche que MIAMI VICE, ça manque de super héros en collants pour attirer les jeunes et de teletubbies pour plaire aux enfants...
C'est nul: -00000/6
C'est nul: -00000/6
CITATION(gwegz @ 18 8 2006 - 11:23)
N'emepche que MIAMI VICE, ça manque de super héros en collants pour attirer les jeunes et de teletubbies pour plaire aux enfants...
C'est nul: -00000/6
C'est ce que je redoutais !! J'irais pas, alors !!
CITATION(L'archiviste @ 17 8 2006 - 20:09)
Tiens ? Le crapaud est toujours là, à croasser sur son nénuphar.
Ha la la, Pierre Murat ! Toute ma jeunesse !
L'homme qui a pris d'assaut les chaînes de télé pour tenter de convaincre toute la France de ne pas aller voir les films d'Oliver Stone, qui a fait tout ce qu'il a pu pour nous détourner du David Cronenberg des années 80 à coups d'insultes systématiques à son public. (c'est marrant qu'il trouve que le scénario de Miami Vice "s'englue", il trouvait déjà que la mise en scène de Faux Semblants "s'engluait". Il a un problème avec les trucs gluants, c'est curieux pour un batracien)
Quand j'allais prendre un café chez n'importe quel prof de gauche, j'étais toujours certain et heureux de trouver un Télérama quelque part, et d'avoir mon indispensable fix de Pierre Murat hebdomadaire.
Grâce à lui, j'ai pu apprendre pourquoi Hollywood produisait systématiquement de la merde; j'ai compris que les spectateurs de films d'horreur étaient des dégénérés psychopathes; les consommateurs de dessins animés japonais des pédophiles; que le message des films était toujours "lourd" (chez les yankees exclusivement); qu'il n'y avait rien de pire qu'un film de divertissement ambitieux (comprenez "qui pête plus haut que son cul"); que quand on parlait de cinéma populaire chinois ou japonais, il fallait toujours s'assurer un petit clin d'oeil raciste pour rassurer le lecteur; que le mot "mise en scène" était indissociable des notions de "gratuité", "pub", "clip", "effet", "semblant de style", et surtout, surtout, qu'il n'y avait qu'un seul langage pour s'exprimer sur le Cinéma: celui de la haine.
On en fait plus des comme ça. Du bon vrai critique intransigeant, censeur, prédicateur, qui voue aux gémonies, condamne tous ces merdeux de pêcheurs qui s'adonnent aux plaisirs de l'écran à brûler dans les flammes de l'enfer, tourne en ridicule tous ces cinéastes dangereux, immoraux et tentateurs; a toujours une super idée pour vous empêcher de prendre du plaisir à un film (je crois que c'est lui qui révélait la mort et la résurrection de Mastrantonio dans Abyss, la tournant en ridicule, afin d'ôter tout effet de surprise au malheureux spectateur qui se serait tout de même laissé tenté par cette merde de gros film américain qui pue)
Tous ces petits zgegs des Inrocks, Teknicrass, Libé; tous ces amateurs de site internet tendance peuvent retourner en classe. Ils ont encore beaucoup à apprendre avant d'espérer atteindre un tel accomplissement, et devenir ces Torquemada de la plume assassine qu'ils rêvent tous d'être.
Pierre Murat, c'est plus de trente ans de combat, de militantisme acharné, de rectitude et de constance, pour imposer au monde un message unique, répété à l'envi et sous toutes les métaphores possible, et qui exige de nous un seul commandement : "N'ALLEZ PAS AU CINEMA !!!"
Ha Pierre Murat. Comme tu me manques mon chéri. Je ne savais pas que tu exerçais toujours. Je n'ai hélas presque plus de profs de gauche dans mon entourage. Je crois qu'il va falloir que je m'abonne à Télérama.
Merci.
CITATION(L'archiviste @ 17 8 2006 - 21:32)
Tout simplement parce que c'est dans cet univers que j'ai fait l'expérience du conformisme, du conservatisme et d'une certaine forme de rigidité bourgeoise.
Oui, ben bizzarement pas moi, c'est plutôt l'inverse et j'ai eu l'impression que ton terme généralisais un peu, alors je voulais savoir si c'était le but ou non. Mais en même temps je suis prêt à te croire...
CITATION(KRISSS @ 19 8 2006 - 16:36)
CITATION(L'archiviste @ 17 8 2006 - 21:32)
Tout simplement parce que c'est dans cet univers que j'ai fait l'expérience du conformisme, du conservatisme et d'une certaine forme de rigidité bourgeoise.
Oui, ben bizzarement pas moi, c'est plutôt l'inverse et j'ai eu l'impression que ton terme généralisais un peu, alors je voulais savoir si c'était le but ou non. Mais en même temps je suis prêt à te croire...
Pour ma part, c'est au sein du milieu artistico-"gauchiste" (entre guillemets parce que 92% ne savent même pas ce qu'est le socialisme. Pour eux ça se résume à mettre des chemises en coton à carreaux le dimanche) que j'ai également été confronté au conformise, au conservatisme, à la rigidité bourgeoise et même au révisonnisme.
Mais quand je leurs signalais la chose on me répondait en chorale que j'étais parano (tu sais, comme dans les journaux italiens dans les années 30...).
Si ça se trouve l'archi est parano.
CITATION(nicco @ 19 8 2006 - 17:19)
Pour ma part, c'est au sein du milieu artistico-"gauchiste" (entre guillemets parce que 92% ne savent même pas ce qu'est le socialisme. Pour eux ça se résume à mettre des chemises en coton à carreaux le dimanche) que j'ai également été confronté au conformise, au conservatisme, à la rigidité bourgeoise et même au révisonnisme.
Mais quand je leurs signalais la chose on me répondait en chorale que j'étais parano (tu sais, comme dans les journaux italiens dans les années 30...).
Si ça se trouve l'archi est parano.
Bien sur que s'étiquetter est parfois une manière de s'intégrer ou de se faire entendre, certain pensent que le "socialisme" inclue le caractère, la façon de vivre etc etc... alors qu'il y a une véritable conscience politique derrière (que certains oublient complètement dans la vie de tout les jours).
je ne pense pas que toi ou l'archiviste sois parano, moi j'ai bossé dans des lycées et des collèges et j'ai rencontré des gens de gauche qui reniaient tout ce qui passait de peur qu'on touche à l'école (époque de la loi Allègre). Le problème c'est que c'est les gens qui l'ouvrent le plus qui n'ont finalement pas grand chose à dire ( je généralise pas sur ce coup, c'est une remarque pour l'établissement) mais quand j'étais moi même élève (7 ans dans le même établissement on devient un vétéran à contre coeur), j'ai pu découvrir une sorte de microcosme intéréssant ou les professeurs sont capables de parler de leur matière et de jouer un rôle jusqu'au bout (celui de professeur) et en même temps de faire évoluer les choses en parrallèle (relation prof élève mis de côtés quand il le faut)
Pour l'exemple, la loi Allègre à l'époque faisait évoluer l'enseignement (je crois qu'il intégrait des cours d'informatique et la supression de certaines matières) d'une manière peu conciliante. Peut t'on parler à ce stade d'évolution ???
CITATION(L'archiviste @ 17 8 2006 - 20:09)
Tiens ? Le crapaud est toujours là, à croasser sur son nénuphar.
Ha la la, Pierre Murat ! Toute ma jeunesse !
L'homme qui a pris d'assaut les chaînes de télé pour tenter de convaincre toute la France de ne pas aller voir les films d'Oliver Stone, qui a fait tout ce qu'il a pu pour nous détourner du David Cronenberg des années 80 à coups d'insultes systématiques à son public. (c'est marrant qu'il trouve que le scénario de Miami Vice "s'englue", il trouvait déjà que la mise en scène de Faux Semblants "s'engluait". Il a un problème avec les trucs gluants, c'est curieux pour un batracien)
Quand j'allais prendre un café chez n'importe quel prof de gauche, j'étais toujours certain et heureux de trouver un Télérama quelque part, et d'avoir mon indispensable fix de Pierre Murat hebdomadaire.
Grâce à lui, j'ai pu apprendre pourquoi Hollywood produisait systématiquement de la merde; j'ai compris que les spectateurs de films d'horreur étaient des dégénérés psychopathes; les consommateurs de dessins animés japonais des pédophiles; que le message des films était toujours "lourd" (chez les yankees exclusivement); qu'il n'y avait rien de pire qu'un film de divertissement ambitieux (comprenez "qui pête plus haut que son cul"); que quand on parlait de cinéma populaire chinois ou japonais, il fallait toujours s'assurer un petit clin d'oeil raciste pour rassurer le lecteur; que le mot "mise en scène" était indissociable des notions de "gratuité", "pub", "clip", "effet", "semblant de style", et surtout, surtout, qu'il n'y avait qu'un seul langage pour s'exprimer sur le Cinéma: celui de la haine.
On en fait plus des comme ça. Du bon vrai critique intransigeant, censeur, prédicateur, qui voue aux gémonies, condamne tous ces merdeux de pêcheurs qui s'adonnent aux plaisirs de l'écran à brûler dans les flammes de l'enfer, tourne en ridicule tous ces cinéastes dangereux, immoraux et tentateurs; a toujours une super idée pour vous empêcher de prendre du plaisir à un film (je crois que c'est lui qui révélait la mort et la résurrection de Mastrantonio dans Abyss, la tournant en ridicule, afin d'ôter tout effet de surprise au malheureux spectateur qui se serait tout de même laissé tenté par cette merde de gros film américain qui pue)
Tous ces petits zgegs des Inrocks, Teknicrass, Libé; tous ces amateurs de site internet tendance peuvent retourner en classe. Ils ont encore beaucoup à apprendre avant d'espérer atteindre un tel accomplissement, et devenir ces Torquemada de la plume assassine qu'ils rêvent tous d'être.
Pierre Murat, c'est plus de trente ans de combat, de militantisme acharné, de rectitude et de constance, pour imposer au monde un message unique, répété à l'envi et sous toutes les métaphores possible, et qui exige de nous un seul commandement : "N'ALLEZ PAS AU CINEMA !!!"
Ha Pierre Murat. Comme tu me manques mon chéri. Je ne savais pas que tu exerçais toujours. Je n'ai hélas presque plus de profs de gauche dans mon entourage. Je crois qu'il va falloir que je m'abonne à Télérama.
Merci beaucoup Mr l'archiviste
Je suis complètement néophyte en critique et c'est toujours bien de connaître l'histoire et le visage (non je ne dirais pas du démon) mais du cinéphile averti professionel ?
CITATION(KRISSS @ 19 8 2006 - 20:30)
CITATION(nicco @ 19 8 2006 - 17:19)
Pour ma part, c'est au sein du milieu artistico-"gauchiste" (entre guillemets parce que 92% ne savent même pas ce qu'est le socialisme. Pour eux ça se résume à mettre des chemises en coton à carreaux le dimanche) que j'ai également été confronté au conformise, au conservatisme, à la rigidité bourgeoise et même au révisonnisme.
Mais quand je leurs signalais la chose on me répondait en chorale que j'étais parano (tu sais, comme dans les journaux italiens dans les années 30...).
Si ça se trouve l'archi est parano.
Bien sur que s'étiquetter est parfois une manière de s'intégrer ou de se faire entendre, certain pensent que le "socialisme" inclue le caractère, la façon de vivre etc etc... alors qu'il y a une véritable conscience politique derrière (que certains oublient complètement dans la vie de tout les jours).
je ne pense pas que toi ou l'archiviste sois parano, moi j'ai bossé dans des lycées et des collèges et j'ai rencontré des gens de gauche qui reniaient tout ce qui passait de peur qu'on touche à l'école (époque de la loi Allègre). Le problème c'est que c'est les gens qui l'ouvrent le plus qui n'ont finalement pas grand chose à dire ( je généralise pas sur ce coup, c'est une remarque pour l'établissement) mais quand j'étais moi même élève (7 ans dans le même établissement on devient un vétéran à contre coeur), j'ai pu découvrir une sorte de microcosme intéréssant ou les professeurs sont capables de parler de leur matière et de jouer un rôle jusqu'au bout (celui de professeur) et en même temps de faire évoluer les choses en parrallèle (relation prof élève mis de côtés quand il le faut)
Pour l'exemple, la loi Allègre à l'époque faisait évoluer l'enseignement (je crois qu'il intégrait des cours d'informatique et la supression de certaines matières) d'une manière peu conciliante. Peut t'on parler à ce stade d'évolution ???
jai posez la question sur le topic consacré au " cinéma français " ; le problème est que l ' école ne remplit plus son role d éducateur et formateur d 'esprit critique ( sa ne suffit pas de lire Kant et Spinoza , il faut les comprendres )
Oui c'est possible mais je pense que ça dépend des établissement .
je me suis rendu compte au fil des années un problème assez grave, c'est que l'école en général est devenu une usine à diplome, le but étant de remplir les classes.
De ce fait, les personnes qui s'occupent des orientations (j'en ai été moi même victime) ne sont la finallement que pour boucher les trous et non pas répondre aux attentes des élèves, j'ai même vu un directeur discuter avec un CPE et lui conseille de le mettre quelque part (surtout que je connaissais l'élève) car il savait plus ou le mettre, il n'y a donc aucun suivit dans le structure même du système scolaire.
De ce fait il ne faut pas s'étonner de voir des profs démotivés quand ils se retrouvent face à un tiers de la classe absolument pas concerné par le cour qu'ils donnent. Je ne défend personne, je constate tout simplement que le système scolaire en plus d'être mal fait s'enfonce dans une spirale ou le but et de remplir certains quotas et ou les principaux intervenants de moins en moins motivés finissent par être blasés par c e problème et se laisse entrainer dans ce système (parfois à contre coeur).
Je pense que je vais arrêter le H.S
je me suis rendu compte au fil des années un problème assez grave, c'est que l'école en général est devenu une usine à diplome, le but étant de remplir les classes.
De ce fait, les personnes qui s'occupent des orientations (j'en ai été moi même victime) ne sont la finallement que pour boucher les trous et non pas répondre aux attentes des élèves, j'ai même vu un directeur discuter avec un CPE et lui conseille de le mettre quelque part (surtout que je connaissais l'élève) car il savait plus ou le mettre, il n'y a donc aucun suivit dans le structure même du système scolaire.
De ce fait il ne faut pas s'étonner de voir des profs démotivés quand ils se retrouvent face à un tiers de la classe absolument pas concerné par le cour qu'ils donnent. Je ne défend personne, je constate tout simplement que le système scolaire en plus d'être mal fait s'enfonce dans une spirale ou le but et de remplir certains quotas et ou les principaux intervenants de moins en moins motivés finissent par être blasés par c e problème et se laisse entrainer dans ce système (parfois à contre coeur).
Je pense que je vais arrêter le H.S
nan vas-y ce topic est réservé au HS en fait, je me souviens l'avoir bien fait dévier avec Ygraël et Kurtz sur la violence, le ralenti et Peckinpah
Pour rester dans le sujet :
Bertrand Tavernier & JP Coursodon dans 50 ans de cinéma américain :
sur The Thing : "L'avalanche d'effets sanglants provoque l'écoeurement et fait cruellement ressortir l'absence d'imaginaire, de rêve, sans renvoyer pour autant à une vision satirique comme chez Spielberg et Cronenberg."
Une fois de plus, la critique montre à quel point le parti-pris est impossible à éviter.
Pour rester dans le sujet :
Bertrand Tavernier & JP Coursodon dans 50 ans de cinéma américain :
sur The Thing : "L'avalanche d'effets sanglants provoque l'écoeurement et fait cruellement ressortir l'absence d'imaginaire, de rêve, sans renvoyer pour autant à une vision satirique comme chez Spielberg et Cronenberg."
Une fois de plus, la critique montre à quel point le parti-pris est impossible à éviter.
CITATION(Prosopopus @ 24 8 2006 - 12:14)
nan vas-y ce topic est réservé au HS en fait, je me souviens l'avoir bien fait dévier avec Ygraël et Kurtz sur la violence, le ralenti et Peckinpah
Pour rester dans le sujet :
Bertrand Tavernier & JP Coursodon dans 50 ans de cinéma américain :
sur The Thing : "L'avalanche d'effets sanglants provoque l'écoeurement et fait cruellement ressortir l'absence d'imaginaire, de rêve, sans renvoyer pour autant à une vision satirique comme chez Spielberg et Cronenberg."
Une fois de plus, la critique montre à quel point le parti-pris est impossible à éviter.
vanne entendus dimache au Masque et la Plume : " Miami vice a étez tourné au telephone portable "
CITATION(darklinux @ 29 8 2006 - 11:21)
vanne entendus dimache au Masque et la Plume : " Miami vice a étez tourné au telephone portable "
Quand on ne réussit pas à se démarquer, on tente toujours de sortir LA blague qui va marquer les esprits et qui colle bien à l'actualité, Laurent Gerra était spécialiste dans le domaine, "était" car depuis plusieurs années, il stagne dans l'époque qui le popularise...
CITATION(darklinux @ 29 8 2006 - 11:21)
vanne entendus dimache au Masque et la Plume : " Miami vice a étez tourné au telephone portable "
C'était pas le cas ?
CITATION(EBE @ 29 8 2006 - 20:00)
CITATION(darklinux @ 29 8 2006 - 11:21)
vanne entendus dimache au Masque et la Plume : " Miami vice a étez tourné au telephone portable "
C'était pas le cas ?
J'ai bien faillit la faire
Pour ma part, je reste sur le desormais culte "Le plus mauvais film de l'histoire du cinéma", vu dans Libé à l'encontre de ASSASSIN(S) de Kasso. Dans le genre, du grand grand grand portnawak cosmique.
Première c'etait fendu dans "c'est juste nul et con", à propos du KILLING ZOE d'Avary. C'est ce que j'appelle de la critique constructive
Première c'etait fendu dans "c'est juste nul et con", à propos du KILLING ZOE d'Avary. C'est ce que j'appelle de la critique constructive
CITATION(davidemge @ 30 8 2006 - 13:35)
Pour ma part, je reste sur le desormais culte "Le plus mauvais film de l'histoire du cinéma", vu dans Libé à l'encontre de ASSASSIN(S) de Kasso. Dans le genre, du grand grand grand portnawak cosmique.
Première c'etait fendu dans "c'est juste nul et con", à propos du KILLING ZOE d'Avary. C'est ce que j'appelle de la critique constructive
Mais qui se soucie encore de la critique ou du critique ?
Moi, je lis la critique d'un film comme ma copine lit la presse people... c'est pour voir jusqu'ou peut aller la connerie des gens !
Sinon, une bonne critique.. c'est celle qui me caresse dans le sens du poil.
Je suis cynique ? lol
Moi sur ciné live un mec qui met pour chaque film de david lynch
CITATION
Lynch, ou on aime ou on comprend pas ...
ce matin, dans 20 minutes (en parlant de kill bill vol.1):
"Tarantino rend hommage aux films de sabre de Hong Kong"
bon c'est pas une grosse perle, juste une petite flouse un peu trop forcée, mais bon, moi j'aime bien.
"Tarantino rend hommage aux films de sabre de Hong Kong"
bon c'est pas une grosse perle, juste une petite flouse un peu trop forcée, mais bon, moi j'aime bien.
CITATION(tonton @ 26 9 2006 - 14:13)
ce matin, dans 20 minutes (en parlant de kill bill vol.1):
"Tarantino rend hommage aux films de sabre de Hong Kong"
bon c'est pas une grosse perle, juste une petite flouse un peu trop forcée, mais bon, moi j'aime bien.
Je ne trouve pas que c'est une perle...
Il y'a clairement de l'hommage à Chang Cheh dans KB vol 1.
(sérieusement, je trouve que le final emprunte autant aux films de la shaw qu'aux chambarras type Lady snowblood).
Voila
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